Le représentant de l’Iran à l’AIEA, Mehdi Akhondzadeh, a vigoureusement défendu la « bonne foi » des autorités iraniennes et leur détermination à résoudre la crise par la négociation. « L'Iran a, à de nombreuses reprises, dit qu'il était prêt à négocier afin d'éviter une confrontation à laquelle nul ne gagnerait rien  », a-t-il déclaré en faisant valoir le droit de son pays à développer et maîtriser le cycle de combustion nucléaire.

Selon lui, la résolution européenne adoptée par l’AIEA le 24 septembre, qui permet d’ouvrir la voie à une saisine du Conseil de sécurité de l’Onu, a « compromis l’esprit positif existant entre les parties ».

L’ambassadeur de Grande-Bretagne auprès de l’AIEA, Peter Jenkins, a estimé que l’Iran ne faisait pas suffisamment preuve de transparence et de bonne volonté, justifiant la fermeté de l’UE3. « Si l'AIEA produit de nouveaux rapports inquiétants sur le programme iranien ou s'il s'avère que le gouvernement iranien ne peut pas se laisser convaincre de ne pas acquérir la capacité à produire des matières fissiles, nous n'aurons d'autre solution que d'impliquer le Conseil de Sécurité », a martelé l’ambassadeur.

« La rupture des négociations » est le thème central de la théorie proposée par IRAN-RESIST. depuis la création de ce groupe et de ce site.

Nous l’avons écrit et avons essayé d’alerter les décideurs européens. Les réactions européennes sont « une comédie sans saveur ».

Aucun des experts consultés n’a jamais évoqué cette théorie ! Si l’UE veut écarter le danger d’une bombe atomique aux services des objectifs terroristes des mollahs, elle doit écouter les conseils d’IRAN-RESIST..

Nous avions exposé nos idées dans le 1er article de notre site datant du 16 Juillet 2005 car cet article avait été refusé depuis plus d’un an par toutes les rédactions. IRAN-RESIST. a été crée pour tirer les sonnettes d’alarmes et éviter au peuple iranien d’être encore et toujours le grand perdant de l’histoire.