« Le président (américain George W. Bush) et le département d’Etat travaillent activement avec la communauté internationale, l’AIEA et les Nations unies pour régler par la voie diplomatique (les problèmes soulevés par) le programme nucléaire inquiétant du gouvernement iranien », a déclaré un porte-parole du Pentagone.

Moins fantaisiste que le New Yorker, un autre journal habituellement hostile à l’administration Bush, le Washington Post, qui cite aussi des analystes indépendants, précise qu’une attaque n’est pas prévue à brève échéance mais que les responsables américains considèrent qu’il s’agit d’une option « possible » et utilisent « cette menace pour convaincre les Iraniens du sérieux de leurs intentions ».

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