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10 - 14.09.2008
Iran : Victory ! Polygamy won’t be eased !

If we believe Delphine Minoui, the mullahs regime press-core, the Iranian Islamic feminists, lead by Shirin Ebadi, would have managed to cause the fail of a new law adoption that would ease polygamy. Victory ! Polygamy won’t be eased and it will stay as it is.


10 - 04.09.2008
Iran : Victoire ! La polygamie ne sera pas facilitée !

Si l’on en croit Delphine Minoui, l’attachée de presse du régime des mollahs, les féministes islamiques iraniennes menées par Shirin Ebadi auraient réussi à faire échouer l’adoption d’une loi qui facilitait la polygamie. Victoire ! La polygamie ne sera pas facilitée et restera telle qu’elle est.


10 - 17.11.2017
Semaine en images n°506 :
Le domino létal de Tillerson

En cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui avaient été menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient très vite renoué avec le terrorisme notamment en Syrie pour intimider la région et les Occidentaux et ainsi empêcher Trump de créer une coalition globale à leur encontre. Ce choix leur avait valu un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Il avait aussi rapproché Trump et Poutine pour engendrer une alliance Est-Ouest afin de pacifier le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie.

La Chine, les G20 et la France avaient vite rejoint cette alliance pour la stabilité du Moyen-Orient. Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani, agent des Talibans et d’Al Qaeda en Afghanistan et au Pakistan. Trump avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. L’opposition interne a eu le courage d’attaquer les mollahs ! Certains experts du réseau Brzezinski avaient quitté ce réseau ! Les ténors de ce réseau étaient obligés de sanctionner les mollahs, mais en pénalisant Poutine pour que leurs sanctions ne profitent pas à Trump et à ses projets.

Les Anglais, protecteurs initiaux des mollahs et exclus des plans Est-Ouest de Trump, avaient tenté de séduire ce dernier en lui proposant de contourner la résistance des ténors du réseau Brzezinski en renforçant ses liens avec les autres grandes puissances pour faire pression sur les mollahs par l’inspection de leurs bases militaires selon le règlement de l’AIEA. Trump avait suivi le conseil des Anglais et avait complété cette démarche en impliquant ces grandes puissances dans son projet contre les mollahs par la résolution 2370 du CS de l’ONU pour combattre le terrorisme islamique.

Macron avait profité de ses bouleversements en adhérant à l’hostilité du président américain au programme balistique du régime pour renforçant le rôle international de la France. Les mollahs n’avaient pu le dévoyer en offrant des contrats très avantageux aux patrons français.

L’adhésion de la France avait désespéré ces derniers. Ali Larijani (le chef du Parlement) avait comploté avec Rohani et son ministre de Pétrole Zanganeh contre les mollahs ! Ces derniers en danger avaient contré l’attaque avant d’opter pour une politique de sourire et de terrorisme selon le modèle initié par Rafsandjani, mais ils avaient échoué.

Au début du mois de septembre (2017), les tirs de missiles de la Corée du Nord, qui est le principal fournisseur et partenaire balistique des mollahs, avaient justifié la nécessité de vigilance à l’égard de leur programme balistique. Les mollahs avaient aggravé leur cas en misant sur la déstabilisation de la Syrie et avaient seulement engendré une coalition hostile Franco-Américano-Russe. Cette hostilité commune avait été confirmée lors des discours de la 72e AG de l’ONU. Les Russes avaient cependant insisté sur une action commune via le Conseil de Sécurité de l’ONU pour ne pas laisser les Américains mener seuls le jeu.

Échec de Menaces de guerre totale. Les mollahs avaient alors aggravé leur cas en prétendant avoir réussi avec succès le test d’un missile longue-portée susceptible de porter une tête nucléaire, se montrant prêts pour une guerre totale pour intimider Trump et ses alliés français et russes.

Le Conseil de Sécurité de l’ONU avait été saisi par les Français, les Anglais et les Américains pour une enquête. Pour empêcher l’adhésion des Russes, ils avaient éliminé un général russe en Syrie, menaçant de déstabiliser Poutine, pour le forcer à prendre leur partie. Ce dernier avait pris ses distances avec les mollahs en se rapprochant de leurs ennemis turcs et saoudiens. Leur agitation avait encouragé la rupture de leur plus grand acheteur pétrolier, l’Inde...

Les mollahs ainsi de plus en plus isolés avaient alors tenté de provoquer une guerre régionale contre le Kurdistan Irakien pour déstabiliser l’Irak, la Syrie et Turquie et amener ces pays et la Russie à les soutenir, mais ils avaient échoué et tout le monde avait compris leur extrême nuisance.

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La semaine dernière (06-13 Oct. 2017/14-21 Mehr 1396), Trump avait profité de cette unité contre les mollahs pour révéler une nouvelle diplomatie très hostile à leur encontre. Il les avait désignés, preuves à l’appui, comme les responsables de toutes les tentatives de déstabilisation de la région par le terrorisme et leurs missiles en vue d’intimider leurs interlocuteurs et d’assurer leur propre existence. Trump avait insisté sur la nécessité de sanctionner ce terrorisme et avait demandé la révision de l’accord de Vienne pour y inclure l’inspection de leurs bases militaires afin d’empêcher les mollahs de continuer leurs projets balistiques destinés à étendre leur nuisance.


9 - 02.06.2007
Iran : Appel à tous les défenseurs des droits de l’homme

Hier, nous vous parlions de la partialité d’Amnesty international à propos du traitement accordé aux violations des droits de l’homme en Iran. L’actualité nous rappelle que la majeure partie des ONG sont sur la même longueur d’onde à propos de l’Iran : elles se gardent bien de condamner les aspects les plus choquants du régime des mollahs (comme l’impunité légale pour les pédophiles). Il y a derrière ce comportement peu rationnel des choix idéologiques et des enjeux géopolitiques et les ONG : leur objectif commun est de dissimuler ce qui pourrait rendre ce régime et ses dirigeants infréquentables.


9 - 25.11.2007
Iran : 81 pendaisons à venir et zéro protestation de Shirin Ebadi

Au cours de la semaine dernière, Ahmad Rouzbahani, un milicien qui dirige la police du régime des mollahs, a publié le bilan des rafles de la campagne contre les voyous. Il faut préciser que ce chiffre est celui de la seule ville de Téhéran intra-muros. Le chiffre total des arrestations dans tout le pays est bien supérieur et dépasse les dizaines de milliers.


9 - 28.02.2008
Iran : Exécution d’un ex-détenu mineur

Un ex-condamné mineur a été pendu ce matin dans la ville d’Ispahan.

(source : le quotidien Etemad)


9 - 06.07.2017
Iran : La semaine en images n°488
Tirs désespérés !

Très récemment, les mollahs agitateurs se sont retrouvés enfin très en danger, car Trump avait réussi à surmonter les oppositions de l’establishment américain trilatéraliste pro-islamiste (engendré par Brzezinski depuis une cinquantaine d’années) et créer face à eux un front mondial hostile avec une OTAN Arabe anti-islamiste, anti-terroriste et anti-mollahs aidée par Israël l’Europe et la Russie, pour aboutir à un nouveau Moyen-Orient apaisé.

Les mollahs avaient alors oublié la modération feinte via un second mandat pour Rohani pour renouer avec la propagande balistique sans réussir à faire peur à leurs nouveaux adversaires. Leur échec avait amplifié les envies de trahison, de rupture et de fuite au sein du régime.

Les cadres miliciens qui entendent trahir le régime pour sauver leur peau avaient amplifié cette crise en révélant la faillite du système bancaire et du secteur pétroliers du régime. Les mollahs avaient alors renoué le terrorisme via le réseau afghan de Haqqani espérant intimider leurs très nombreux adversaires, mais ces derniers avaient esquivé pour les priver de toute possibilité de deal négligeant leurs intérêts.

Trump avait tout de même riposté en finalisant ses sanctions pour aboutir à un embargo air-mer-banque des mollahs. Ses alliés arabes avaient rejoint cette action en commençant l’embargo bancaire des mollahs et en annonçant un embargo contre le Qatar pour ses liens avec Daesh et les mollahs (qui depuis quelques mois aident aussi cette organisation émanant des Frères Musulmans).

Les mollahs avaient alors mis en scène deux attentats à Téhéran pour dire qu’ils étaient des victimes de Daesh et non ses amis, mais aucune grande puissance ne leur avait apporté son soutien. L’establishment de Brzezinski avait pleuré pour les mollahs pour forcer Trump à reconnaître leur statut de victimes, mais ce dernier avait insisté sur leur statut de terroriste tout en apportant son soutien aux Iraniens tués dans les attentats (sacrifiés par lui dans ce False Flag). Cette opération cynique avait in fine condamné les mollahs et facilité la poursuite du projet des sanctions avec embargo par le sénat américain majoritairement pro-Trump malgré des ilots de résistances de quelques ténors des deux partis membres de l’establishment Brzezinski, comme le républicain McCain.

Les mollahs avaient alors accusé les États-Unis et l’Arabie Saoudite d’être à l’origine de ces soi-disant attentats, pour amplifier les quelques internes américaines et malgré une bonne complicité des médias du réseau Brzezinski, ils n’avaient pas pu provoquer une crise régionale pour forcer Trump à abandonner sa lutte. Ce dernier avait tenu bon et avait riposté par des révélations de l’ex-PM du Qatar et des entretiens d’Oliver Stone avec Poutine sur le rôle de l’establishment de Brzezinski dans la promotion de l’islamisme. Il avait renforcé sa position pour avancer sans entrave contre les mollahs...

© IRAN-RESIST.ORG
La semaine dernière (09-16 juin 2017 / 20-26 Khordad 1396), les mollahs se retrouvaient ainsi dans l’antichambre des sanctions destinées à provoquer leur perte. Mais les membres de cet establishment qui étaient aussi menacés avaient dans leurs propres intérêts offert une opportunité d’apaisement avec l’aide de Boeing et en proposant une rencontre entre Zarif et Kerry lors du Forum de paix d’Oslo.

Mais les mollahs, ruinés et haïs par le peuple et par leurs propres employés, n’avaient pas jugé cette option viable et avaient privilégié le clash avec Trump. Ils avaient fâché les membres de l’establishment Brzezinski, anciens ennemis devenus des amis. Ces derniers avaient oublié cette amitié intéressée pour prendre parti pour les sanctions en ajoutant cependant par Mc Cain la condition de sanctions en parallèle contre les Russes pour casser la coalition anti-islamiste.

Trump n’avait pas accepté. Les députés démocrates de l’establishment Brzezinski avaient accusé Trump de corruption, lui promettant des jours difficiles avant d’inviter son ministre des AE, Tillerson, au sénat pour la questionner sur ses projets pour l’Iran et le voir abandonner ses projets.

Tillerson s’était montré très rusé renonçant à défendre son alliance avec Poutine. Il avait alors affirmé qu’il refusait tout apaisement avec les mollahs pour aider l’opposition interne et islamiste du régime qui a la faveur de l’establishment Brzezinski. Ces interlocuteurs ne pouvaient pas le critiquer. Ils avaient été obligés de lui donner raison et soutenir pleinement l’adoption des sanctions très pénalisantes contre les mollahs au motif de leur terrorisme, leurs ingérences régionales, leur programme balistique intimidante conçue pour garantir cette ingérence et enfin pour leur violation des droits de l’homme.

Après ce coup de maitre, grâce à un sénateur allié, Tillerson avait invité le prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple au Sénat pour rencontrer Mc Cain et son alter ego démocrate afin de les coincer dans la vraie lutte contre les mollahs !

Les membres piégés de l’establishment Brzezinski avaient alors fait publier de faux documents soi-disant déclassés, pour donner une mauvaise image du Shah pour handicaper son fils et ils avaient inventé des schémas politiques inexistants pour offrir une légitimité politique certaine à l’un des adversaires de son modernisme et laïcisme, l’ayatollah Kashani, qui méprisait Khomeiny, se montrant prêt à soutenir la préservation du système religieux sans ceux actuellement au pouvoir qui n’avaient pas saisi son offre d’arrangement !

Une semaine qui pouvait sauver le régime se terminait ainsi sur des défaites lourdes avec l’adoption des sanctions très fortes et l’acquisition du principe du changement de régime par Trump et aussi par ses adversaires de l’establishment pro-islamiste ! Les mollahs étaient certains d’avoir une semaine de crises.

La semaine à venir, ils devaient gérer leur erreur d’avoir refoulé les avances des membres de l’establishment vaincu de Brzezinski, la panique de leurs compagnons due aux sanctions adoptées après cette erreur. Ils devaient aussi contenir les ambitions dissidentes que pouvait susciter l’offre de l’establishment Brzezinski pour un nouveau régime islamique sans eux. Ils devaient aussi trouver un moyen pour organiser correctement la journée anti-israélienne de Qods malgré leur manque d’effectif.

Enfin, les mollahs devaient trouver des partenaires commerciaux principalement en Europe pour éviter un avis contraire du FATF à propos de son financement de terrorisme. Les mollahs avaient une semaine difficile, car ils devaient avancer tout en évitant tout extrémisme susceptible d’alourdir les charges et les sanctions à leur encontre.

Les mollahs devaient se battre sur plusieurs fronts internes et étrangers puis qu’ils devaient tenir compte de leurs faux opposants, leurs vrais dissidents, Trump, mais aussi les émules de Brzezinski et enfin leurs partisans partout dans le monde.


8 - 12.05.2010
IRAN : BEHIND THE SCENES OF THE BOTH GREEN MOVEMENTS !

© IRAN-RESIST.ORG – March 19, 2010 | Two days ago, something amazing happened in Tehran : thousands of people went down to the streets in order to celebrate a ritual that is forbidden by the regime. They danced, they sang together what is forbidden and above all they refused to be instrumented by Mussavi’s Green Movement, this false internal opposition whose leaders sit in the leader decision-maker body of the country. The retraction was so important that the regime needed to change the colour balance of this night’s videos in order to make them green. However, the mullahs are not the only ones to colour anything in green : the Europeans and the Americans have just dedicated entire pages of their press to the Green Movement via long interviews which were made with Shirin Ebadi and Sazgara who claim to be the exiled leaders of the green opposition. | Decoding |


8 - 01.10.2005
Taslima Nasreen versus Shirin Ebadi
8 - 08.10.2005
Note supplémentaire sur « Statoil et le . . . Nobel »

Depuis l’attribution du Prix à Ebadi, deux ans ont passé au cours desquels la répression a demeuré juste en changeant d’habit, la misère et la pauvreté ont gagné du terrain et les Iraniens sont devenus encore plus résignés.




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