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2 - 03.08.2006
France-Iran : Les conséquences internationales du rapprochement

Une réunion extraordinaire du Comité exécutif de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) consacrée au Proche-Orient se tiendra mercredi dans la capitale malaisienne, Kuala Lumpur. Cette réunion a été convoquée sur l’initiative du régime des mollahs, avec l’appui de la Malaisie, présidente de l’OCI, et de la Turquie, dont un représentant occupe le poste de secrétaire général de cette organisation.


2 - 08.09.2007
Iran : Une amende de 2,65 milliards de dollars contre les Pasdaran

Un juge fédéral américain a condamné vendredi l’Iran à verser aux familles de 241 américains tués en 1983 au Liban 2,65 milliards de dollars de dommages, la plus forte compensation jamais demandée par la justice américaine à un pays étranger.


2 - 16.08.2005
Attentat contre le Drakkar et le nouveau Ministre de la Défense des Mollahs

Mostafa Mohammad-Najjar, 49 ans, aujourd’hui Général des Gardiens de la Révolution, a participé à l’attentat contre les parachutistes français de la Force Multinationale ...


2 - 05.08.2020
Iran : Enfin la grève générale contre les mollahs !
+ une info de grande importance ajoutée à 10h35 ***

Il y a deux jours, les ouvriers de différents sites pétroliers ou gaziers et des raffineries iraniennes ont rejoint l’opposition aux mollahs en cessant de travailler pour priver ces derniers de carburants nécessaires au régime pour ses transports et pour la production d’électricité. Hier, nous avons annoncé que plusieurs villes industrielles du pays manquaient d’électricité et cela avait généré d’autres pénuries et la panique chez les nantis du régime qui lui restent fidèles pour préserver leurs fortunes. On peut à présent parler d’un « mouvement de grève générale contre les mollahs ». Voici le point sur ces offensives populaires contre le régime.


2 - 19.11.2005
Manifestation pro-syrienne du Jihad islamique (pro-mollahs)

Des milliers de Palestiniens ont participé à une manifestation organisée vendredi par le groupe radical Jihad islamique à Gaza en solidarité avec la Syrie et contre les « pressions américaines » dont ce pays fait l’objet.


2 - 05.01.2017
Iran : La semaine en images 456
Trump, une douche froide pour les mollahs

La semaine dernière (28 Octobre-4 Novembre 2016 / 7-14 Abân 1395), a commencé sous le signe de la terreur pour les mollahs, car ils étaient paniqués à l’idée de l’abandon de la politique islamiste de Washington par la mafia pétrolière américaine via Trump et n’avaient pas été capables de contrer ce projet en évoquant leur disposition à leur offrir un tube subaquatique d’accès à l’Asie Centrale pour assurer leur survie.

Les Anglais qui redoutent un deal entre les mollahs et l’Etat américain avaient alors interdit tout commerce avec les mollahs par le rapport européen Howitt au prétexte des violations des droits de l’homme par les mollahs.

Mais plus important encore, les pétroliers américains n’avaient pas accepté et n’avaient pas renoncé à l’abandon de leur islamisme, car en dehors du cas iranien, cet islamisme a engendré un grand désordre qui a poussé les Saoudiens et les Israéliens d’aller vers les Russes tandis que leurs autres alliés ont fait appel aux Anglais pour assurer leur sécurité d’où l’intérêt de Trump et ses supporters pour une alliance avec Poutine et un nouvel ordre mondial américano-russe (qui se fera sans doute au détriment des Anglais et des Chinois).

In fine, l’administration sortante inféodée à Brzezinski, le théoricien du recours à l’islamisme, n’avait pas osé défier ses patrons pétroliers occultes qui ont tourné la page de l’islamisme. Brzezinski lui-même n’avait pas osé défendre ce tube pour refuser l’option Trump afin de préserver sa propre mainmise sur la politique américaine et mondiale depuis plus de 40 ans  ! Il pouvait piéger et sacrifier les mollahs pour sauver sa propre carrière.

Ainsi la semaine de 28 Octobre-4 Novembre 2016 (7-14 Abân 1395) allait être une semaine décisive pleine de menaces inédites. Les mollahs choqués par la confirmation implicite de la fin annoncée du projet qui les avait portés au pouvoir ont commencé cette semaine difficile en prenant une position pacifiste anti-russe en Syrie se montrant prêts à offrir un grand succès diplomatique en Syrie à l’administration démocrate sortante et à Brzezinski pour obtenir leur soutien  ! Ces derniers n’ont pas accepté de dialoguer sous l’effet de ce chantage, car tout retard pouvait profiter à Trump alors en hausse dans les sondages. Mais dans leur intérêt et celui de leur candidate, ils ont profité de l’empressement des mollahs pour leur envoyer leur pion européen Mogherini avec une offre un ralliement contre Assad, leur offrant une réhabilitation partielle.

Les mollahs n’ont pu accepter, car logiquement ils auraient dû renoncer au Hezbollah qui soutient Assad, et reconnaître son terrorisme et de fait s’accuser de terrorisme en raison de leurs liens passés, perdant de facto les garanties d’immunité qu’ils espèrent.

Les mollahs étaient alors à quelques jours de l’anniversaire de leur prise en otage de l’ambassade américaine, événement qui a déclenché les sanctions américaines à leur encontre et souligne leur terrorisme chaque année par le renouvellement annuel par Washington d’un état d’urgence entre les deux pays.

Les mollahs redoutaient aussi le boycott de l’événement qui souligne leur impopularité. Ils n’ont annoncé aucune manifestation et ont commencé à négocier indirectement avec l’administration démocrate sans parvenir à un deal. Ils ont gardé secret cet échec de peur d’engendrer une très grosse panique interne. Leur interlocuteur pro-américain est resté en Iran dans l’espoir que l’amertume de cet échec et d’un nouveau boycott de la prise de l’ambassade américaine les forcent à accepter de faire des concessions de leur côté sur le Hezbollah. Les mollahs ont conclu que l’administration démocrate sortante avait besoin d’un deal pour clouer le bec à Trump alors en hausse dans les sondages. Ils ont accepté, mais en tergiversant pour déstabiliser les démocrates et les forcer à céder à leurs attentes, mais ils n’y sont pas arrivés.

Les mollahs ont alors tout misé sur la provocation anti-américaine à l’occasion de l’anniversaire de la prise de l’ambassade américaine pour déstabiliser les démocrates au coude à coude avec Trump. Leurs rivaux députés et miliciens les ont aidés pour provoquer une escalade, mais sans une mobilisation au moment de l’événement ils n’ont pu continuer.

Désespérés, ils ont alors tenté une escalade diplomatique en apportant un soutien fervent au nouveau président libanais Aoun allié politique du Hezbollah pour obtenir leur soutien, alors qu’Aoun venait d’être réélu avec le soutien de l’Arabie Saoudite et le Hezbollah n’avait guère protesté. Comme on pouvait s’y attendre Aoun et le Hezbollah n’ont guère parlé en leur faveur. Ils se sont même donnés la main pour remettre en cause la sincérité des mollahs en affirmant via Samir Geagea que leur ministre des AE avait toujours souhaité la mort du nouveau président  !

Les mollahs privés de Hezbollah risquaient de chuter par ses révélations. Toujours plus désespérés, les mollahs ont continué les manœuvres pour déstabiliser les démocrates à la veille des élections prévues pour mardi. Leur ministre des AE a aussi annonçant un voyage mardi au Liban pour saluer Aoun dans l’espoir de recoller les morceaux avec le Hezbollah et les autres groupes politiques chiites libanais avant l’élection américaine dans l’espoir de provoquer un clash néfaste pour les démocrates et leur arracher les garanties nécessaires au régime.

L’administration démocrate inféodée à Brzezinski a riposté à ces menaces en reconduisant pour un an l’état d’urgence des sanctions vis-à-vis des mollahs agitateurs, insinuant un possible renouvellement des sanctions décennales, dans l’espoir qu’ils cessent leur folle fuite qui allait bénéficier à Trump et discréditer leur diplomatie islamiste et aussi le réseau Brzezinski détruisant des milliers de carrières très lucratives  ! À présent, les mollahs avaient le réseau Brzezinski contre eux  !


2 - 28.02.2019
Semaine 574 (09-16/02/19)
Comme une poubelle en feu !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen. Ce choix a surtout décidé les pays concernés notamment les grandes puissances à adopter une attitude plus ferme à propos des mollahs, leurs missiles aux objectifs terroristes. Ils ont mis fin à la guerre au Yémen et en Syrie pour obliger les mollahs à quitter ces pays. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés. Le prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple iranien a pu enfin accéder à quelques médias américains.

Les mollahs, certains qu’ils étaient perdus, ont relancé leur fausse opposition avec de soi-disant étudiants se disant partisans des ouvriers grévistes en lutte contre le régime. Mais ils n’ont pas réussi à duper ces derniers ! La neige a aussi perturbé l’usage des images d’archives pour promouvoir leur pion et a aussi aggravé les pénuries existantes. Ils ont tenté de rebondir en perturbant les négociations de paix entre les responsables afghans et les talibans ! Ils ont échoué. Ils ont repris leurs diverses menaces contre Israël. Une frappe punitive israélienne a tué le commandant de leurs actions terroristes dans le Moyen-Orient !

Enfin de compte, les mollahs ont affirmé leur intérêt pour la tactique du terrorisme et faux semblant de Rafsandjani ou en démarchant leurs voisins pour mettre la pression aux Européens. Ils ont davantage fâché tout le monde. Les Européens les ont même punis en les sanctionnant pour leur terrorisme. Trump a profité de l’occasion pour demander une réunion extraordinaire mondiale à Varsovie avec principalement les pays de la Ligue Arabe victime du terrorisme des mollahs pour former une coalition pour les reverser !

Les autres grandes puissances ont validé cette option en refusant de reprendre leurs échanges commerciaux avec les mollahs, mais ils ont émis des doutes sur la tenue de cette conférence tout en choyant les Arabes pour les encourager sans que Trump soit déclaré l’unique champion de du nouveau Moyen-Orient sans les mollahs.

Cette semaine, les mollahs devaient célébrer le 40e anniversaire de la révolution islamique et vraisemblablement vivre un boycott cuisant, puis assister au rassemblement de leurs ennemis à Varsovie et sans doute à d’autres attaques des Européens qui cherchent à prendre en charge leur mise à mort pour compenser leur déclin naturel.


2 - 25.07.2020
Iran : 3 larges défaites régionales en 3 jours
(en Irak, au Liban et en Syrie)

Il y a quelques jours, alors que le régime était ébranlé par de nouveaux sabotages et attaques de leurs officiers rebelles, son ministre des AE s’est rendu en Irak dans l’espoir de trouver un couloir de fuite via ce pays. Le Premier ministre irakien Al Kazemi, ancien directeur des renseignements irakiens très anti-mollahs, n’avait alors pas placé le drapeau du régime derrière son représentant comme s’il ne reconnaissait plus la légitimité des mollahs. Zarif l’avait cependant invité à Téhéran pour masquer son échec. Mais sa quasi-rupture avec les mollahs a été confirmée lors de cette visite et a donné lieu à d’autres évolutions très fâcheuses pour les mollahs.


2 - 09.08.2020
Liban : Les citoyens libanais et iraniens, ensembles contre le Hezbollah et les mollahs

Les mollahs acculés par la contestation populaire, les grèves pour les renverser, les sabotages de leurs miliciens notamment des renseignements, la perte de tous leurs contrats pétroliers, la condamnation de leur ingérence régionale par les pays musulmans concernés y compris avec les les chiites irakiens, syriens et libanais et la perspective d’un retour des sanctions onusiennes, ont opté pour le rappel de leur nuisance en explosant les stocks d’explosifs du Hezbollah pour engendrer le chaos au Liban et faire reculer leurs adversaires par la crainte de nouvelles nuisances ailleurs, mais le résultat est différent de ce qu’ils espéraient. Il y a un chaos, celui du Hezbollah. On parle de la fuite de son patron vers l’Iran ! Récit chronologique.


1 - 17.09.2005
Rice invite l’Onu à la fermeté face à l’Iran

Condoleezza Rice exhorte les Nations Unies à faire preuve de fermeté dans le dossier nucléaire iranien et déclare que le Conseil de Sécurité doit agir lorsque tous les moyens diplomatiques sont épuisés.




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