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Iran : La semaine en images n°237 Topo Générale. L’Etat américain a alors commencé à sanctionner les mollahs pour provoquer des pénuries et un risque de soulèvement pour les amener à cesser leur diabolisation, à lui ouvrir leur porte pour qu’il puisse revenir en Iran avec ses pions et reprendre le pouvoir via une révolution de couleur. Pour Washington, les choses devaient aller très vite car les mollahs avaient terriblement désorganisé et affaibli l’économie iranienne en s’appropriant les grandes industries et aussi en se partageant la compagnie iranienne de pétrole en plusieurs petites sociétés semi privées destiner à récupérer ses revenus. Il y avait aussi une guerre interne au sein de la caste dirigeante : Rafsandjani (le demi-frère et fondé de pouvoir de Khomeiny), avait pris le ministère de l’intérieur et les services secrets, pour éliminer les adversaires et étendre sa domination politique et économique. Le régime était affaibli et divisé. Mais les mollahs ont agi comme des maffieux, ils ont accepté Rafsandjani comme leur parrain et l’ont soutenu ses deux choix pour neutraliser l’ouverture et aussi neutraliser les sanctions. Pour neutraliser l’ouverture et aussi pour intimider Washington, Rafsandjani a opté pour l’entretien des foyers d’hostilité : prises d’otages au Liban, attentats anti-américains et anti-israéliens, soutiens au groupes hostiles aux Etats-Unis, menaces de guerre régionale. Pour neutraliser les sanctions, Rafsandjani a opté pour la menace de fermeture du détroit pétrolier d’Ormuz et la création d’un front d’alliés anti-sanctions fidélisés par l’importation massive de leurs surplus à prix d’or ce qui a ruiné le pays et détruit la production iranienne, provoquant un chômage et une pauvreté irrépressibles. Quand toutes les réserves cumulées par le Shah ont été épuisées, pour continuer cette politique de monnayage des protections, Rafsandjani (devenu grâce à la présidence du Conseil de Discernement le patron officiel du régime) était en difficulté. Il a baissé le taux officiel du dollar pour acheter le soutien des autres mollahs-affairistes. Il a joué la carte de l’apaisement avec son ami Khatami. Mais il a profité de l’apaisement pour entretenir les foyers d’hostilité en surarmant le Hezbollah. Enfin, il a relancé la politique de monnayage des protections en vendant des contrats d’exploitations pétrolières à très bas prix à un nombre grandissant de pays notamment via ses propres sociétés pétrolières! La fuite en avant dans des mesures de plus en plus clientélistes ont totalement ruiné le pays et ont entraîné la rupture progressive des divers serviteurs du régime… Ces choix ruineux n’ont pas neutralisé les sanctions. La fausse modération de Khatami a également énervé Washington. Il a parlé de la menace nucléaire pour augmenter ses sanctions. Rafsandjani avait échoué. Pour se maintenir et préserver sa fortune, il a offert des postes clefs à son ennemi Larijani et pour réussir, il a mis en place Ahmadinejad pour radicaliser ses menaces. Il a imprimé des billets privés pour ses amis affairistes (nouveaux Bazaris) et a complété la politique de monnayage des protections par la mise en vente de 50% des grandes entreprises iraniennes aux étrangers !
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2008-2011 : Isolement, panique, zizanie et Guerre interne. Dès 2008, le régime a ainsi été rapidement réduit à ses 200 dirigeants, près de 15,000 responsables régionaux, 700 hommes d’affaires et 6000 nervis. Le régime pouvait chuter dans le sang. Il devait envisager de négocier avec les Américains pour obtenir des garanties de sécurité en échange d’un transfert rapide des pouvoirs vers leurs pions. Rafsandjani, le patron du régime, n’a pas pensé pour tout le régime car il a démis Larijani de ses fonctions de négociateurs nucléaires pour avoir le monopole des marchandages avec les Américains afin d’être sûr d’obtenir les meilleures garanties pour sauver sa tête, mais aussi sa fortune (et peut-être des proches alliés). Pour bénéficier de ces avantages exclusifs, Larijani a décidé de prendre le pouvoir par tous les moyens allant même jusqu’à révéler les détails de la corruption de Rafsandjani et de ses vieux alliés pour les écarter. Rafsandjani a neutralisé Larijani en éliminant son plus important lieutenant (Ali Kordan), mais Larijani restait une menace avec ses dossiers sur tout le monde. Rafsandjani devait agir vite avant qu’il ne s’en serve pour trouver des alliés contre lui. Rafsandjani devait faire fort. Il a eu l’idée folle de sauver le régime avec une fausse révolution de couleur, le Mouvement Vert (en référence à l’Islam). Ce projet a raté car le peuple a utilisé l’occasion de manifester pour scander des slogans hostiles au régime. Le régime a été en danger. Larijani a pu, grâce à ses dossiers, obtenir d’abord le Pouvoir Judiciaire puis la direction politique du régime, mais il n’a pas été officialisé car il fait peur. Il n’a donc pas pu éliminer les pions de Rafsandjani. C’est pourquoi depuis cette promotion non officielle, sa grande préoccupation a été d’utiliser le pouvoir judiciaire pour intimider Rafsandjani ou éliminer ses pions négociateurs. Les derniers compagnons du régime ont constaté que leur nouveau chef et ses lieutenants ne songeaient pas à défendre leur droit. Les précédents ne valaient pas mieux. Les derniers compagnons du régime devaient songer à leur propre avenir : le régime a été confronté une nouvelle baisse de participation à ses manifestations. En mars 2011, une nouvelle grande manifestation hostiles au régime protégée par la passivité des Pasdaran a convaincu tout le monde que ces derniers avaient changé de bord. En 2012, Washington a forcé les Européens de rompre les relations protectrices et a annoncé des mesures complémentaires lourdes pour paniquer Larijani, le pousser à s’agiter pour ses intérêts afin de déprimer davantage les derniers fidèles du régime. Le régime était condamné. Les Chinois ont prudemment suspendu leur achat pétrolier, privant le régime de 50% de ses revenus en dollar. La peur de la banqueroute et des pénuries a alors provoqué une ruée vers les denrées alimentaires et le pays (qui ne produit plus rien depuis des années) a vite basculé la pénurie et la révolte : une grande manifestation contre le régime, des appels à la grève générale au Bazar et des attaques contre la police des moeurs, dernière milice encore fidèle au régime… Les Pasdaran ne sont pas intervenus, confirmant ainsi leur adhésion à la contre-révolution. Le régime a annoncé le démantèlement de la milice en question pour mettre fin à cette humiliation. Afin de rassurer ses derniers compagnons, le régime a fait appel à ses 6000 nervis de base pour de grandes manifestations autour de ses chefs ou dans les rues. On a d’abord vu 250 individus battant le pavé à Téhéran et Ispahan, puis un nombre de moins en moins important n’osant même plus manifester dans les rues et se réunissant uniquement dans la mosquée privée du Guide. Dans ces conditions d’extrême faiblesse et d’isolement, aux cours de deux dernières semaines, le régime deux grands problèmes : il ne savait pas comment organiser la journée anti-israélienne de Qods et de vastes prières publiques dans toutes les rues du pays à l’occasion d’Eyd-é FETR ou la fin du Ramadan. Avec seulement 250 nervis à leurs côtés, les mollahs disposaient d’au plus 1000 manifestants en comptant les familles de leurs miliciens. Ils devaient donc nécessairement tout miser sur la mise en scène, des images d’archives et la propagande. A 5 jours de la journée de Qods, un terrible tremblement de terre a dévasté le nord-ouest du pays endommageant 530,000 habitations et faisant au moins 16,000 morts. Les mollahs ont ignoré cette tragédie pour rester concentrer sur leur propagande ! Cette attitude leur a valu une nouvelle baisse de participation parmi leurs derniers fidèles. La journée de Qods n’a réuni que 200 à 250 personnes (un quart de leurs fidèles) sur un circuit fermé et sécurisé sur un tronçon urbain de Téhéran ! Le régime était alors très embêté par Eyd-é FETR et ses grandes prières publiques. Il a oublié de parler de cette « fête » qu’il ne pouvait pas organiser : toute info sur la date de la fin du Ramadan a été soigneusement censurée et les médias ont été focalisés sur l’organisation « hors du commun » du prochain Sommet annuel des chefs d’Etats du Mouvement des Non Alignés (MNA), "Sommet" pendant lequel il devait recevoir la présidence annuelle du Mouvement. En se focalisant sur ce Sommet, le régime voulait zapper Eyd Fetr pour cacher son isolement et il espérait aussi rassurer les siens sur l’existence d’alliances susceptibles de contourner les sanctions américaines. Mais la publication de la date de la fin du Ramadan sur le site iranien de l’ayatollah Sistani, le plus important Guide spirituel des chiites, l’a fait revenir à la réalité. Pris au dépourvu, il a publié des images d’archives de prières collectives qui n’étaient nullement conformes aux règles très strictes de la prière de Fetr. Son isolement a de nouveau sauté aux yeux de ses derniers collaborateurs. Par ailleurs, Washington n’a cessé de l’humilier en s’opposant à la participation des chefs d’Etats du Mouvement des Non Alignés (MNA) notamment l’actuel président Egyptien Morsi, actuel président du MNA ou de Ban Ki-moon, avant d’humilier davantage le régime en autorisant ces derniers d’y aller à condition pour critiquer le régime chez lui pendant le Sommet ! Au même moment, les mollahs avaient repris le dialogue sur le nucléaire pour obtenir une pause dans les sanctions. Ils avaient multiplié des déclarations hostiles pour prouver à leurs derniers compagnons qu’ils n’allaient les vendre à ces négociations pour obtenir des garanties de sécurité pour eux-mêmes. Washington devait riposter. Mais puisqu’il ne veut pas anéantir le régime islamique, il s’était contenté de le menacer sans adopter des sanctions en rapport avec les déclarations très hostiles du régime. De fait, le régime ne savait si Washington allait ou pas le bousculer pendant le Sommet du MNA. La situation était difficile. Le régime a peur que le peuple profite de la présence de Ban Ki-moon et des journalistes étrangers à Téhéran pour manifester et montrer son hostilité. Il a sans cesse insisté sur ses capacités sécuritaires pour intimider le peuple et empêcher la contestation, mais se doutant de ses capacités, il a également réveillé son opposition officielle, le Mouvement Vert, pour qu’il puisse se mêler au jeu et calmer les slogans en cas de démarrage d’une action hostile. Cette semaine, le régime attendait les délégations d’experts et de diplomates pour régler les modalités des interventions pour le Sommet des chefs d’Etat de MNA qui devait avoir lieu et vendredi soir. De fait, le régime entendait utiliser ce Sommet pour affirmer qu’il avait des alliés, mais il s’attendait aussi à une possible action hostile de la part du peuple et des pro-américains. Il était excité, nerveux et tendu. Voici le récit en images d’une semaine de craintes, d’espoirs, de tensions, de frustrations et finalement de déceptions politiques et diplomatiques pour le régime des mollahs. 06.09.2012 Iran - CDH : Les dessous du retrait de la candidature des mollahs La république islamique d’Iran qui en février dernier avait postulé pour siéger au Conseil des droits de l’homme de l’ONU a retiré sa candidature avant le vote attendu pour le mois de juin 2010 alors qu’il avait théoriquement toutes ses chances d’y accéder avec le soutien des Non Alignés. | Décodages | Iran : Le maigre bilan de la conférence des Non Alignés à Téhéran Les représentants du Mouvement des Non alignés (MNA) étaient les invités des mollahs. Chacun a dû se plier à une quadruple cérémonie pour rencontrer Ahmadinejad le président du régime, son ministre des affaires étrangères Mottaki, le responsable des négociations nucléaires Jalili mais aussi le président de l’assemblée, Larijani. La rencontre avec Ahmadinejad était du pur protocole, l’action se passait chez les trois autres maîtres de cérémonie. | Décodages | Iran nucléaire : Double déception au Conseil des Gouverneurs Après le rapport d’El Baradei qui a surpris les mollahs, Téhéran devait se soumettre à l’avis des 35 membres du Conseil des Gouverneurs de l’AIEA. Leur réunion s’est achevée sur une note négative bien inattendue pour Téhéran. Iran : 2 milliards de dollars 100% halal pour le Sri Lanka Après le Pakistan et avant l’Inde, Ahmadinejad a fait escale à Colombo, capitale du Sri Lanka, pour signer 6 accords de coopération qui assurent à ce petit pays une aide iranienne de deux milliards de dollars ! Alors que l’Iran est de plus en plus endetté, les mollahs continuent de distribuer des dollars ou d’accorder des remises sur les factures énergétiques pour s’assurer le soutien d’Etats susceptibles de les soutenir au sein du conseil des gouverneurs de l’AIEA ou encore à l’ONU. Iran : Bambang à Téhéran ! Le 4 mars dernier, l’Indonésie, membre non permanent du Conseil de Sécurité s’était abstenue de voter en faveur d’une nouvelle résolution au prétexte qu’il fallait donner plus de temps à Téhéran pour confirmer sa volonté de renforcer sa coopération avec l’AIEA. Après cette bonne action aux conséquences limitées pour l’Iran, le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono avait exprimé le souhait de se rendre en Iran pour convaincre les mollahs d’accepter l’offre occidentale des compensations économiques en échange d’une suspension de l’enrichissement. Bambang avait une autre idée en tête. Iran : Une prière de Vendredi pour contrer le TNP Le sermon de la prière du vendredi de Téhéran est une des institutions du régime des mollahs. Quelques milliers de fidèles du régime sont conviés à écouter les états d’âme des vrais décideurs du régime. Le discours ne s’adresse pas à ceux-là (bazaris, bassidjis, Pasdaran), mais aux médias étrangers et aux chancelleries des pays partenaires. Le régime dispose de 5 à 6 prédicateurs pour délivrer ses messages. Le choix du prédicateur dépend de la gravité de la situation. Le vendredi 30 novembre, nous eûmes droit au patron absolu du régime des mollahs, Rafsandjani. Iran : Les non-alignés s’alignent sur les mollahs Le régime des mollahs qui a été choisi par l’ONU pour participer au comité chargé de préparer la Conférence Mondiale 2009 de l’ONU contre le Racisme. Nous vous avions annoncé que les mollahs avaient commencé à préparer le terrain en organisant une Conférence sur « les droits de l’homme et la diversité culturelle » en présence de plus de 100 délégations de 118 Etats Membres du Mouvement des Non Alignés et de l’Organisation de la Conférence Islamique. Cette conférence s’est clôturée sur un communiqué à la hauteur des espérances de Téhéran. L’Iran, l’ordre du jour, le compromis et l’affaire du TNP Les agences de presse internationale ont largement diffusé la nouvelle selon laquelle l’Iran aurait enfin accepté un compromis. Bien des lecteurs ont dû déchanter en apprenant que ce compromis n’avait rien à voir avec la crise nucléaire et le supposé enrichissement d’uranium, mais avec un blocage délibérément provoqué par les mollahs dans un processus de révision du Traité de non prolifération ! Iran : Pourquoi l’Indonésie a voté la résolution 1747 Dans notre article du 28-03-07, nous prenions le contre-pied de l’ensemble des médias pour expliquer que cette résolution n’était non seulement pas un problème pour la république islamique mais qu’elle permettait même au régime sanguinaire de Téhéran d’en tirer des avantages. Téhéran courtise le Mouvement des non-alignés Téhéran a invité les émissaires du Mouvement des non-alignés (MNA) auprès de l’AIEA ainsi que les chefs de file du Groupe des 77 et les représentants de la Ligue arabe à Vienne à effectuer une visite en Iran du 2 au 6 février, a annoncé un diplomate iranien. Iran - Malaisie : Pas de contrat gazier dans l’immédiat L’annonce faire par l’Iran de la signature d’un contrat gazier offshore avec la SKS Malaisienne est encore un canular du régime des mollahs. Comme dans le cas d’un dernier contrat avec les chinois, il s’agit d’une option d’achat et non pas d’un contrat ferme qui permettrait à l’économie iranienne quelques investissements dans l’immédiat. Iran : Chavez s’enflamme ! Le sommet du Groupe des 15 (G15) s’est ouvert jeudi après-midi à La Havane, dans le cadre du 14e sommet du Mouvement des non-alignés (MNA) se déroulant du lundi 18 au samedi 23 dans la capitale cubaine. Ce sommet d’une seule journée a été ouvert par l’algérien Abdelaziz Bouteflika, dont le pays doit céder, à cette occasion, la présidence du groupe au régime des mollahs. C’est pourtant Chavez qui a volé la vedette à tout le monde. Ahmadinejad en Indonésie : Une visite désintéressée ? Mahmoud Ahmadinejad s’envole aujourd’hui pour Djakarta dans le cadre d’une visite officielle de près d’une semaine. L'ONU s'écrase devant l'Iran les mollahs Mahmoud Ahmadinejad ne cachait pas son plaisir hier à Téhéran, un plaisir à la limite d’indécence en annonçant que l’ambassadeur de l'Iran auprès de l'ONU venait d'être élu vice-président de la commission sur le désarmement. Les chances de l’Iran au Conseil des Gouverneurs... Les représentants du régime des mollahs sont en Afrique du Sud, d’autres émissaires seront dépêchés en Algérie, en Argentine, au Brésil, en Biélorussie, en Colombie, à Cuba, au Ghana, en Grèce, en Inde, en Indonésie, au Japon, au Sri Lanka, en Syrie, au Venezuela, et au Yémen. Les mollahs se préparent à contrer la saisine. La Résolution par les chiffres Le régime des mollahs a rejeté dimanche la résolution, approuvée par le « Board » de l’AIEA, dénonçant le texte et la division du Conseil de Gouverneurs. Nous vous proposons un tableau qui démontre que les consignes de votes des non-alignés n’ont pas été suivies et que malgré les apparences, les mollahs sont complètement isolés. 1er Coup dur pour les mollahs ! Les membres du Conseil de l’AIEA ont ajourné à jeudi leurs travaux sur les dossiers de l’Iran et de la Corée du Nord. La Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne accusent Téhéran d’avoir « violé » ses obligations et veulent saisir le Conseil de Sécurité. AIEA : Fausses Rumeurs de dissensions ? Version officielle : La posture de Robin des Bois du nucléaire adoptée par l’Iran plairait aux pays non-alignés ! Les « non-alignés » au secours des mollahs Le conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), aurait pu demander à l’Iran de suspendre à nouveau ses activités nucléaires sans en référer au Conseil de sécurité des Nations unies, dans l’espoir de favoriser une reprise des négociations. Il n’en est rien ... La France et les non-alignés : les carottes sud-américaines Les états non-alignés avaient, semble-t-il, bloqué un temps les négociations du Conseil des Gouverneurs de l’AIEA. Est-il plausible qu’ils soient capables de s’opposer à une demande française d’une résolution musclée contre les mollahs ? [Retour à l'index des mots-clés] |