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Voici pourquoi les Indiens et les Chinois lâcheront aussi les mollahs !
31.10.2005 [Théorie des Dominos]

Echaudés par la perspective des Représailles économiques du régime islamique, les Indiens se tournent vers les gisements gaziers russes.



L’Inde s’est dit prête à élargir sa présence dans le secteur énergétique russe, a déclaré jeudi (27 oct. 2005) le ministre indien des Affaires étrangères, Natwar Singh.

L’Inde participe au projet Sakhaline-1, ce qui démontre un intérêt mutuel et un potentiel de coopération. Nous sommes prêts à élargir notre présence dans le secteur énergétique russe, y compris avec nos ressources technologiques et financières a-t-il relevé. La Russie est actuellement un des plus importants fournisseurs de gaz et de pétrole de l’état Indien.

Dans le même temps, on estime à New Delhi que le chiffre d’affaires des échanges russo-indiens demeure insuffisant .

« La Russie pourrait multiplier ses exportations vers l'Inde, notamment dans le nucléaire civil, les technologies de pointe et la maintenance des équipements », a indiqué le diplomate. Deux sites nucléaires d’une puissance totale de 1000 mégawatts sont déjà en chantier.

Le ministre a relevé que la Russie et l’Inde coopéraient dans tous les domaines déterminants pour le développement de l’économie des deux pays, le maintien de la sécurité et la riposte aux nouveaux défis et dangers.

La prochaine visite en Russie du premier ministre indien sera le principal événement de l'année dans les relations bilatérales, a estimé Vladimir Poutine.

[Théorie des Dominos]

Les Chinois risquent de suivre l’exemple indien ou Russe :

L'Inde, la Russie et la Chine doivent coopérer en matière de lutte contre le terrorisme (Tchétchènes, Cachemirie), a déclaré le ministre indien des Affaires étrangères, Natwar Singh, dans une interview publiée samedi dans le quotidien russe Rossiiskaïa Gazeta.

« L’Inde, la Russie et la Chine ont intérêt à mener une coopération tripartite en matière de lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue et la criminalité transfrontalière », a-t-il dit. « L'appartenance à l'Organisation de Coopération de Shanghai confère à nos pays un énorme potentiel pour développer les contacts tripartites, y compris dans les domaines comme le commerce, l’investissement, l’agriculture, l’énergie et les technologies de pointe », a relevé M. Singh.

Il semblerait donc que l’adhésion de l’Inde à l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) soit pratiquement acquise. Et ce alors que le secrétaire exécutif de l’OCS, Zhang Deguang, a annoncé que l’organisation n’admettra pas de nouveaux membres pour le moment.

Nous rappelons que des représentants du régime des mollahs avaient assisté aux deux denières assemblées de l’OCS en tant qu’observateurs. Le régime des mollahs avait interprêté cette invitation comme un prélude à son intégration dans cette structure. Ainsi, la déclaration de l’OCS leur ferme la porte poliment.

Afin d’affirmer son leadership dans l’axe Inde-Russie-Chine, cette dernière, véritable patron de l’OCS, doit épouser en souplesse les recommandations de la communauté internationale : c’est la théorie des dominos !

Les uns après les autres, les alliés des mollahs tombent. Après les grosses pointures, viendra le tour des états de moindre importance, les alliés régionaux, les fournisseurs clandestins du domaine nucléaire (Afrique du Sud, Zimbabwe, Corée du Nord), la Turquie, les pro-islamistes d’Afrique, les infréquentables internationaux (Cuba, Venezuela) ...

  • Il faut abattre l'axe Irano-syrien !
  • Pour abattre le régime des mollahs : il faut démolir ses alliés.
  • La machine est lancée et la première cible est la Syrie ...


Cet article a été rédigé quelques heures avant le triple attentat à Dehli : il est probable que les observateurs du régime des mollahs qui ont compris que leur régime est condamné, ont voulu lancer un message à leurs deux futurs ex-alliés, les Indiens et les Russes. Si c’est le cas, le régime des mollahs précipitera sa fin car il vient de convaincre les Chinois que ce régime est impropre au nouvel ordre économique mondial.

Les Chinois ne peuvent admettre aucun retard dans leurs programmes de rénovation industrielle ou de conquêtes des marchés, ils ne peuvent admettre l’existance de fournisseurs qui leur dicteraient leur politique internationale.