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Iran : La Saga Africa des mollahs !
27.11.2006

L’économie est bonne pour les ânes... c’est du moins ce que disait Khomeiny et manifestement ceux qui poursuivent son oeuvre de destruction du pays continuent sur la même lancée !



Alors que tout le monde connaît les difficultés de l’Iran à s’approvisionner en essence et les dégâts que causent les dépenses en ce domaine, on apprend que le régime des mollahs à décidé de construire une raffinerie de pétrole non pas en Iran mais au Zimbabwe.

A la suite de la visite du président zimbabwéen, Téhéran a annoncé la bonne nouvelle : la seule raffinerie de pétrole du Zimbabwe sera remise en marche après 40 ans d’arrêt (depuis la fin de la Rhodésie) et ce par un financement gracieux de la république islamique d’Iran.

Robert Mugabe qui a ruiné son pays [1] peut être heureux et les mollahs aussi qui s’emparent ainsi de la voix de ce pays au sein de l’ONU. D’autres pays d’Afrique profitent des largesses des mollahs en échange de leur amitié pendant les débats à l’ONU. Mugabe a obtenu divers avantages : Téhéran s’est aussi engagé à développer le réseau routier de ce pays.

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| Mots Clefs | Zone géopolitique / Sphère d’influence : Pays Africains |

| Mots Clefs | Instituions : Politique Economique des mollahs |

| Mots Clefs | Institutions : Diplomatie (des mollahs) |

[1Économie du Zimbabwe | L’implication du Zimbabwe dans la guerre en République démocratique du Congo a pesé lourd sur l’économie du pays. L’inflation était de 32% en 1998, 59% en 1999 et 208% en février 2002. Le secteur de l’agriculture a souffert d’une répartition des terres mal engagés en 1999 et 2000. En 1996, 4500 fermiers blancs possédaient encore à cette date environ 30 % des terres cultivables du pays (contre 70% en 1980) cultivant blé, arachides et tabac et dont le chiffre d’affaire représentait plus de 50% du PIB. Surnommé le grenier à blé de l’Afrique, le pays participait en tant que fournisseur de denrées au Programme alimentaire mondial (PAM). Depuis, la moitié de ces terres ont été dépecées ou redistribuées en dépit du bons sens à des amis du régime ou à des fermiers noirs sans la connaissance technique pour gérer des exploitations. Le Zimbabwé est devenu client du PAM.

Le secteur touristique est également en crise et les touristes occidentaux évitent le pays, inquiets à cause des sentiments anti-blancs. Le gouvernement compte cependant attirer des touristes chinois mais ceux-ci devraient difficilement combler le vide laissé par des touristes occidentaux détenteurs de devises.

Le 31 juillet 2006, le gouvernement annonce la dévaluation de 1000% de sa monnaie. Cette dévaluation ne devrait cependant en rien enrayer la grave crise économique, où le taux chômage est d’environ 70%. La raison d’être de cette dévaluation est très vraisemblablement purement cosmétique, en faisant croire que les prix ont baissé. C’est ainsi que dans une publicité télévisé du gouvernement, on voit une femme au foyer annoncer qu’un pain « ne coûte désormais plus que 200 dollars » alors qu’auparavant il coutait 200,000. |