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21 - 25.05.2009
Iran : Cannes, Prix Spécial d’un Jury encore plus spécial

Le jury de la sélection « Un certain regard » du Festival de Cannes a décerné un Prix Spécial à « On ne sait rien des chats persans » de Bahman Ghobadi. Ainsi, Cannes a encore récompensé un cinéaste iranien bénéficiant d’un passeport du régime des mollahs pour voyager à travers le monde pour donner une image édulcorée de la répression en Iran.


19 - 24.05.2007
Iran : Cannes et le réseau « Persépolis »

N’ayons pas peur des mots : il y a un double réseau « Persépolis » en France et ce double réseau est lié à l’Iran et ses maîtres. Il y a d’abord un réseau de sites et de blogs qui gèrent sa popularité et il y a surtout derrière Satrapi une énorme société de production appartenant à une femme iranienne nommée Hengameh Panahi qui fait la pluie et le beau temps dans les milieux cinématographiques d’art et d’essai et à Cannes : 3 des membres du jury sont impliqués.


16 - 02.06.2010
Panahi à Cannes : la fuite en avant d’un système à bout de souffle

Suivant un mécanisme bien huilé, nous avons une fois de plus été témoin du triomphe du cinéma des Mollahs à Cannes. Cette fois, il n’y pas eu de Palme pour un film iranien, mais le Prix d’interprétation féminine pour Juliette Binoche, actrice d’un film iranien, mais aussi animatrice du comité de soutien à un autre cinéaste iranien, Jafar Panahi. Ce prix a dégagé la voie pour que l’année prochaine, Jafar Panahi, un autre héritier du Khomeynisme reçoive sa consécration. Rien d’étonnant, puisque sur la Croisette, le client est roi et avec un portefeuille bien garni, un truand moscovite devient éminent industriel, un bédouin un prince de grande lignée ou un proxénète de Rio champion des bonnes mœurs. Alors, pourquoi un bourgeois-islamiste ne jouerait-il pas le rôle d’un activiste des droits de l’Homme ? De Palm Beach jusqu’au vieux port, Cannes n’est qu’un décor pour mettre en scène les scénarios les plus cyniques.

par Babak Khandani


13 - 18.05.2009
Iran-Cannes : Ghobadi et la persécution des Kurdes

L’Iranien Bahman Ghobadi dont le dernier film a inauguré la section un certain regard du 62ième Festival de Cannes se dit kurde et défenseur des droits des Kurdes. Il dédie d’ailleurs ses Prix cinématographiques au peuple kurde. Il s’agit d’une couverture pour tromper les médias occidentaux car ce monsieur ne dénonce jamais aucune des persécutions à l’encontre des Kurdes iraniens.


12 - 19.05.2009
Iran-Cannes : Les supercheries de Bahman Ghobadi révélées par lui-même

A l’occasion d’un entretien accordé à la section persane de la chaîne publique américaine Voice Of America, Bahman Ghobadi a tenu des propos radicalement opposés à ces déclarations à la presse française. Ce document vidéo disponible sur Youtube montre aussi des images de son film qui révèlent des supercheries dans le discours de Ghobadi.
| Arrêts sur images |


7 - 16.05.2010
Iran : La semaine en images n°117 (cf. Panahi)

Nous avons vécu une semaine bizarre. La principale info de la semaine pour tous les Iraniens a été la quintuple pendaison de dimanche dernier. Cela a fait l’actualité pendant 1 ou 2 jours sur Google news, mais ces cinq pendaisons ont été délogées des unes par le « siège vide de Panahi à Cannes ». Depuis 5 jours, on parle de Panahi comme d’un opposant alors qu’il soutient Moussavi, un islamiste pur et dur qui siège depuis 22 ans à la plus haute instance du régime. On a eu zéro image pour les 5 jeunes pendus un matin à Téhéran, mais une image de Panahi debout derrière la fenêtre de sa cellule ! Prise par qui ? Un maton ? Le directeur de la prison ? Gilles Jacob parle tous les jours à la femme de Panahi alors que tous les Iraniens savent que les conversations sont écoutées et coupées par le régime s’il le souhaite. Le régime nous offre lui-même les preuves de ses bidonnages. La semaine en images est un rendez-vous hebdomadaire pour voir le vrai Iran derrière les images sélectionnées par le régime.


6 - 17.05.2009
Iran : La semaine en images n°65

La semaine a été écrasée sous le poids des nouvelles concernant Roxana Saberi. Une femme qui en 6 ans de vie en Iran n’a jamais écrit ou réalisé un reportage sur la vraie vie en Iran : la misère, le chômage, les enfants travailleurs, ces 15% d’Iraniens qui ont des casiers judiciaires parce qu’ils se défoncent ou vivent de menus larcins, les 700,000 prisonniers dont la moyenne d’âge est de 24 ans ! Aujourd’hui on parle d’elle comme auteur d’un film engagé sur la jeunesse. Les photos de presse récoltées cette semaine nous permettent d’enguirlander ce film présenté à Cannes. (cliquez sur les images pour les agrandir)


6 - 15.05.2009
Iran : Un certain regard !

La section « un certain regard » du 62eme Festival de Cannes a débuté avec un film iranien tourné clandestinement par Bahman Ghobadi sur la vie des rappeurs de la scène de la musique underground en Iran. On ne pouvait pas mieux choisir pour un certain regard car ce film est une nouvelle œuvre de propagande du régime des mollahs pour donner une certaine image de la jeunesse iranienne, une image qui ne correspond pas à la réalité de la vie en Iran.


6 - 22.05.2007
Iran : Marjane Satrapi et sa Bridget Jones voilée

Le régime des mollahs a protesté contre la sélection du long-métrage animé de « l’exilée iranienne Marjane Satrapi », Persépolis, au Festival de Cannes, car ce film porterait un regard critique sur la révolution islamique.


6 - 24.05.2011
Iran : 2nd compte-rendu des pendaisons en 2011

La section « un certain regard » du Festival de Cannes (financé par l’Etat français) vient de primer l’iranien Rassoulof pour sa lutte en faveur de la liberté alors que ce cinéaste soutient Moussavi, l’opposant officiel, partisan d’une république islamique pure et dure et que par ailleurs, ce cinéaste vient de réaliser un film où les femmes ne sont pas des victimes comme Sakineh, mais des citoyennes actives et maîtresses de leur destin conformément à l’image officielle donnée de la condition féminine par le régime !

L’année dernière, le même festival avait primé un film qui prétendait que le seul souci des jeunes était de jouer de la musique alors que des millions de jeunes avaient quelques mois plus tôt envahi les rues de toutes les villes du pays pour crier « mort à la république islamique ». L’année d’avant, Cannes avait primé Satrapi qui faisait la tournée des médias pour défendre le port du voile, pour dégueuler sur la laïcité ou encore pour affirmer que personne en Iran ne voulait un changement de régime !

Décidément, chaque année, ce maudit festival nie la révolte du peuple iranien. On peut angéliquement parler de coïncidences, de l’indépendance des jurys, mais la présomption d’innocence très à la mode en France ne tient pas la route car la France, organisateur du Festival, ne dénonce pas ces mauvais choix et participe à la promotion des ennemis du changement de régime car cela serait synonyme de la fin de ses contrats. Mais la France ne se contente pas de nier la révolte iranienne par la diffusion d’un cinéma négationniste, elle minimise aussi le nombre de pendaisons et leur nature. Voici le second opus de notre récapitulatif des pendaisons en Iran pour ne pas oublier une dure réalité dont ne parle aucun cinéaste iranien, ni aucun Etat occidental partenaire des mollahs.




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