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Semaines 570-573 (12/01-08/02/19)
La guerre internationale pour les enjeux iraniens

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen. Ce choix a surtout décidé les pays concernés notamment les grandes puissances à adopter une attitude plus ferme à propos des mollahs, leurs missiles aux objectifs terroristes. Ils ont mis fin à la guerre au Yémen et en Syrie pour obliger les mollahs à quitter ces pays. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés. Le prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple iranien a pu enfin accéder à quelques médias américains.

Les mollahs, certains qu’ils étaient perdus, ont relancé leur fausse opposition avec de soi-disant étudiants se disant partisans des ouvriers grévistes en lutte contre le régime. Mais ils n’ont pas réussi à duper ces derniers ! La neige a aussi perturbé l’usage des images d’archives pour promouvoir leur pion et a aussi aggravé les pénuries existantes. Ils ont tenté de rebondir en perturbant les négociations de paix entre les responsables afghans et les talibans ! Ils ont échoué. Ils ont repris leurs diverses menaces contre Israël. Une frappe punitive israélienne a tué le commandant de leurs actions terroristes dans le Moyen-Orient !

Enfin de compte, les mollahs ont adopté la méthode Rafsandjnian en alternant du terrorisme et du faux apaisement en relançant la fausse opposition avec le soi-disant ouvrier gréviste Bakhshi ou en démarchant les Indiens avec une offre de gaz soldé et les Irakiens avec de l’eau à gogo pour obtenir leur soutien ou mettre la pression aux Européens.

Mais leur faux opposant n’a eu aucun soutien populaire. Les Indiens et les Irakiens ont refusé de les aider. Enfin, les Européens les ont punis par des sanctions en réaction à leur terrorisme ! Ces échecs ont paniqué les leurs. Les mollahs ont ouvert un procès de corruption visant tous leurs proches. Les mollahs sont revenus au terrorisme au Yémen ! Washington en a profité pour appeler à une conférence internationale au moment du 40e anniversaire de leur arrivée au pouvoir pour créer un front international hostile à leur encontre et mettre un terme à leur régime.

C’était il y a 4 dernières semaines. Voici le récit compressé de principaux évènements de cette période juste avant l’anniversaire de l’arrivée des mollahs au pouvoir et la conférence pour les en chasser. Quatre semaines d’efforts des mollahs pour éviter l’effondrement de leur régime, mais aussi 4 semaines d’échecs tous azimuts en raison de la résistance des Iraniens, des ruptures spectaculaires au sein du régime et enfin les efforts subtils et invisibles de tous des grandes puissances pour se débarrasser d’eux et préserver leurs intérêts après cette chute.

20.02.2019

 
Semaine 569 (04-11/01/19)
Tout essayé, tout raté !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen.

Les grandes puissances ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Ils se sont aussi entendu pour les chasser de Yémen par un plan de paix onusien. Les Européens ont aussi puni les mollahs en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés.

Trump lui-même a validé Assad et la présence russe en Syrie via l’ONU pour exclure les mollahs de ce pays. Enfin il a validé l’option du changement de régime en offrant une tribune au très populaire Prince Reza Pahlavi. Les Iraniens ont salué ce choix des murs couverts de slogans en sa faveur. Les mollahs ont dû exécuter quelques hommes d’affaires agités pour empêcher leurs proches de les laisser tomber !

La semaine dernière, les mollahs ont opté pour une relance de leur fausse opposition avec de nouveaux acteurs se disant partisans des ouvriers grévistes. Mais ils n’ont pas réussi à duper les Iraniens ! La neige les a aussi empêchés de diffuser des images d’archives pour la promotion de cette fausse opposition. Elle a aussi aggravé les pénuries provoquées par manque de revenus en devises. Pour éviter la fuite de leurs compagnons, ils ont oublié leur fausse dissidence pour revenir à leur propagande primaire en se disant plus fort que jamais !

Cette semaine, les mollahs devaient célébrer la mémoire de Rafsandjani (qu’ils avaient éliminé pour avoir mis en danger leur régime par ses projets de fausses révolutions de couleur) ! La célébration ne pouvait pas avoir lieu en raison de l’insuccès de ces projets par les compagnons du régime. Les mollahs devaient surtout marquer des points contre Trump pour rassurer les leurs et les garder à leur côté !

04.02.2019

 
Semaine 568 (29/12/18-04/01/19)
Rétropédalages avant le naufrage !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonéti (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen.

Cette provocation balistique a uni tout le monde contre les mollahs. Les grandes puissances ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Les Européens les ont aussi punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés et ont souligné leur terrorisme en Europe !

Les Européens et les Américains sont parvenus à un plan de paix onusien pour exclure les mollahs du Yémen. Trump a aussi en quelques sorte fait la paix avec Assad et a offert la Syrie aux Russes pour en exclure les mollahs.

Trump a aussi validé l’option du changement de régime en permettant au Prince Reza Pahlavi d’avoir des activités anti-régime aux États-Unis ! Les Européens ont soutenu le changement de régime en apportant leur soutien aux ouvriers en lutte contre le régime ! Ces derniers ont manifesté leur satisfaction par des slogans en faveur de Reza Pahlavi.

Les mollahs ont exécuté quelques hommes d’affaires agités pour persuader tous leurs affairistes à demeurer à leur côté. Puis ils ont aussi proposé de nouvelles versions de leur fausse opposition, mais leurs compagnons n’ont pas validé cette option par peur d’aider la vraie opposition au régime.

La semaine dernière, les mollahs n’ont pas osé continuer le même schéma. Ils ont alors aussi perdu leur alliance avec les Talibans et avec les Palestiniens. Ils ont aussi perdu leur champion de terrorisme Soleimani dans une frappe Israélienne. Ils ont caché ces défaites par peur de perdre encore des alliés et ont songé à une nouvelle fausse révolution de couleur par l’intermédiaire d’un faux accident routiers pour victimiser leurs faux opposants étudiants, mais ils n’ont pas réussi à raviver leurs faux opposants. Mais ils ont continué ce plan raté, laissant entrevoir qu’ils étaient certains que leur régime était très menacé par ses ennemis de l’intérieur !

Cette semaine, ils devaient trouver la parade pour contenir cette opposition. Mais au 2e jour de la semaine (dimanche), ils avaient l’anniversaire de la fausse mobilisation qu’ils avaient inventée en 2009 pour mettre fin à leur fausse révolution de couleur qui avait échappé à leur contrôle ! Cet anniversaire qui leur rappelait leurs erreurs tactiques et stratégiques passées allait sans doute plomber le moral de leurs proches et accentuer leur panique !

23.01.2019

 
Semaines 567 (22-29/12/18) :
Adieux forcés au terrorisme !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs grâce à une belle passivité des autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1).

Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Mais ce dernier n’a pas marché et les 4+1 ont puni les mollahs en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen pour faire pression sur tous leurs adversaires.

Cette provocation balistique a uni tout le monde contre les mollahs. Ils ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Les Européens les ont aussi punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés et ont souligné leur terrorisme en Europe !

La mauvaise conduite des mollahs a aussi provoqué une refonte géopolitique massive, car les Européens et les Américains sont parvenus à un plan de paix avec les alliés des mollahs au Yémen et ont pris le contrôle du terrain avec l’accord de l’ONU. Trump a aussi déclaré la défaite de Daesh en Syrie en annonçant son retrait pour valider Assad et la présence russe en Syrie avec l’accord de l’ONU mettant fin à tout prétexte pour les mollahs de rester sur place !

Enfin il a validé l’option du changement de régime en permettant au Prince Reza Pahlavi d’avoir des activités anti-régime aux États-Unis ! Les Européens ont soutenu le changement de régime en apportant leur soutien aux ouvriers en lutte contre le régime ! Ces derniers ont manifesté leur satisfaction par des slogans en faveur de Reza Pahlavi.

La panique s’est intensifiée parmi les compagnons du régime. Les mollahs ont tenté de les intimider en exécutant quelques hommes d’affaires et aussi de les rassurer en imaginant de nouvelles versions de leur fausse opposition, mais leurs compagnons n’ont pas validé cette option par peur d’aider la vraie opposition au régime.

La semaine dernière, les mollahs ont continué le même schéma avant de proposer un retour de leurs soi-disant réformateurs et en prévision à l’échec de ce simulacre, des manœuvres offensives dans le détroit d’Ormuz. Voici le récit de ces efforts et ce qu’ils ont apporté aux mollahs !

15.01.2019

 
Semaines 565-566 (8-22/12/18) :
New Deal anti-mollahs !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des Etats-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière des Anglais.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) l’ont aidé en se gardant d’aider les mollahs à gagner des dollars nécessaires pour financer le terrorisme et se protéger !

Avant l’adoption de nouvelles sanctions par Trump, les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Mais ce dernier n’a pas marché et les 4+1 instrumentalisés par les mollahs les ont punis en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Dernièrement, cette dynamique anti-mollahs a aussi été complétée par le rapprochement de Trump avec Poutine grâce au soutien de ce dernier à MBS. La panique s’est alors amplifiée alors au sein du régime.

Les mollahs menacés de toute part ont tenté d’intimider tous leurs adversaires en testant un missile potentiellement nucléarisable de longue portée ou en menaçant encore le transit du pétrole vers l’Occident. Les Européens ont évité l’escalade souhaitée par les mollahs et les ont punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés ! Ils ont aussi enfin interprété avec rigueur la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU sans un veto russe, ouvrant la voie de nouvelles sanctions onusiennes !

Dernièrement, Washington a parlé des crimes commis par les mollahs contre leurs opposants, dont les Moudjahidines du peuple, tout en accordant la parole au Prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple ! Les Européens ont suivi la tendance en s’impliquant à lutter contre leur terrorisme notamment au Danemark et leur ingérence au Yémen. Cette rigueur anti-mollahs a aidé de centaines de milliers d’ouvriers iraniens qui luttent contre le régime.

Les mollahs se voyant en danger ont tenté de former une nouvelle fausse dissidence pour prendre le contrôle et se donner une bonne image, mais ils ont échoué. Ils sont revenus à la provocation avant de simuler l’ouverture. Voici le récit des 15 derniers jours de ces réactions désespérées qui loin de les aider ont contribué à leur décomposition !

03.01.2019

 

Résumé illustré des semaines 562 à 564 :
Bouleversement climatique pour les mollahs !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car elle l’avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière des Anglais.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) l’ont aidé en se gardant d’aider les mollahs à gagner des dollars nécessaires pour financer le terrorisme et se protéger !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars ou de l’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats par des arrestations ou l’augmentation des prix de ces produits.

Les mollahs ont aussi tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont échoué.

Avant l’adoption de nouvelles sanctions par Trump, les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Les 4+1 instrumentalisés par les mollahs les ont punis en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les Anglais ont tenté de bloquer la victoire annoncée de Trump en disloquant son équipe par un complot visant à attribuer à MBS l’assassinat d’un agent islamiste proche de leur poulain saoudien. Mais Washington a soutenu MBS. D’autres grandes puissances ont fait de même.

Les mollahs ont alors simulé la fin du soutien au terrorisme et ont davantage déçu leurs interlocuteurs étrangers. Trump a pu déclencher ses sanctions sans aucune résistance à cette offensive économique contre les mollahs.

Les démocrates ont proposé un deal aux mollahs avant les midterms, mais ces derniers n’ont fait aucune concession, car aucun d’entre eux ne veut se sacrifier pour les autres ou pour leur cher islam ! Les Chinois se sont rapprochés de Trump. Les Russes ont annoncé des négociations avec lui en marge de la commémoration de la fin de la 1ere guerre mondiale le 11 novembre à Paris. Le prix du pétrole a baissé !

Mais cette rencontre entre Trump et Poutine a été sabotée le par Macron, cependant les deux hommes ont convenu de se rencontre 3 semaines plus tard à Buenos Aires en mage du sommet des G20 ! La panique s’est amplifiée au sein du régime. Les mollahs ont pendu deux courtiers responsables d’achats d’or des paniqués pour enrayer la ruée vers leurs trésors, mais ils n’ont pas réussi à mettre fin ou à contenir les tentatives de fuite de leurs collaborateurs ! Ils ont éliminé les dernières personnes sanctionnées par Trump pour empêcher les autres de songer à les trahir !

Voici à présent un résumé des 2 semaines de crises, de paniques et désordres, avant cette rencontre décisive à Buenos Aires et celle après celle-ci. Cette rencontre est passée inaperçue en Europe, mais elle a bien tout chamboulé pour les mollahs. Paniqués, avant et après cette rencontre, ils ont fait de très mauvais choix pour s’en sortir et ont seulement réussi à s’isoler davantage. Voici un résumé de trois semaines catastrophiques pour les mollahs !

25.12.2018

 
Semaine 561 : Dissuasion macabre !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car elle l’avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière des Anglais.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) l’ont aidé en se gardant d’aider les mollahs !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars ou de l’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats par des arrestations ou l’augmentation des prix de ces produits.

Les mollahs ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont échoué.

Avant l’adoption de nouvelles sanctions par Trump, les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Les 4+1 instrumentalisés par les mollahs les ont punis en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les Anglais ont tenté de bloquer la victoire annoncée de Trump en disloquant son équipe par un complot visant à attribuer à MBS l’assassinat d’un agent islamiste proche du prince saoudien qu’ils soutiennent. Mais Washington a soutenu MBS. D’autres grandes puissances ont fait de même et lui ont permis d’annoncer ses sanctions contre les mollahs pour les isoler pleinement. Trump a accordé des délais à certains partenaires économiques des mollahs qui avaient réduit leurs échanges et avaient éliminé le dollar de ces échanges.

Les mollahs ont alors simulé la fin du soutien au terrorisme et ont davantage déçu leurs interlocuteurs étrangers. Trump a pu déclencher ses sanctions sans aucune résistance à cette offensive économique contre les mollahs.

Les mollahs ont tenté de trouver une entente des démocrates, mais n’ont fait aucune concession, car aucun d’entre eux ne veut se sacrifier pour les autres ou pour leur cher islam ! Cette envie de deal a incité les Chinois à chercher un deal avec Trump. Les Russes ont annoncé des négociations avec lui... rapidement en marge de la commémoration de la fin de la 1ere guerre mondiale le 11 novembre à Paris. Le prix du pétrole a baissé !

Cette semaine, Trump devait parachever ses objectifs en signant une entente avec Poutine et en complétant ainsi les dispositifs pour isolement à 100% des mollahs pour les renverser !

05.12.2018

 
Semaine 558-559-560 :
Seuls au monde et en Iran !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(chantage terroriste & clientélisme |saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars ou de l’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers !

(chantage terroriste & clientélisme | saison 2) Les mollahs ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont amplifié l’hostilité de la Russie et des autres pays riverains de la Caspienne et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

La panique interne s’est amplifiée. Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils ont encore tenté de déstabiliser l’Irak et la Syrie... Trump en a profité pour proposer une réunion au Conseil de Sécurité afin d’adopter de nouvelles sanctions mondiales à l’encontre de leur terrorisme qui était unanimement condamné.

(chantage terroriste & clientélisme |nouvelle version) Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump, tout en lui proposant le dialogue pour aboutir à un deal sans aucune exigence de sa part. Les 4+1 instrumentalisés par les mollahs les ont punis en maintenant leur proposition de business démonétisé, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Le dollar allait manquer. La demande de dollar a augmenté. Les mollahs ont promis des dollars soldés à leurs collaborateurs paniqués à condition qu’ils investissent beaucoup d’argent dans les entreprises moribondes du régime. Mais cela n’a pas marché. Ils ont alors promis des allocations plus fortes aux plus pauvres pour les réunir autour du Guide. Mais ce fut encore un cuisant échec.

Ils ont alors simulé l’adhésion à la Convention contre le Financement du Terrorisme (CFT) pour obliger les Européens à les fréquenter. Mais leur texte était opposé à cette convention et a seulement réussi à convaincre tout le monde qu’ils ne pouvaient pas s’assagir.

Les Anglais ont tenté de bloquer la victoire annoncée de Trump en disloquant son équipe par un complot visant à attribuer à MBS l’assassinat d’un agent islamiste qui est proche du prince saoudien qui a leur soutien. Mais Washington a soutenu MBS et les autres grandes puissances n’ont pas suivi les Anglais. Parmi ces pays, les Européens ont aussi souligné le terrorisme des mollahs contre les opposants à leur régime et leurs liens avec l’Al Qaeda.

Dernièrement, les mollahs ont nié ces succès de Trump pour s’éviter plus de ruptures avec leurs collaborateurs financiers ! Surprise : une douzaine d’officiers chargés de la sécurité de ses frontières ont déserté et fui vers le Pakistan ! Les opposants au régime ont aussi profité de la situation et ont renforcé leur action contre le régime ! La panique interne s’est alors amplifiée.

Les mollahs ont demandé de l’aide à Oman, au Qatar et à la Russie et n’ont obtenu aucun soutien ! Ils ont alors autorisé leurs proches à exporter en contrebande des produits pétroliers soldés à 95% pour qu’ils restent en Iran, mais ils n’ont pas réussi à contenir la crise. Ce choix de promouvoir la corruption et le désordre a aussi convaincu leurs partenaires internationaux qu’ils ne pouvaient pas assurer leurs intérêts en Iran.

Trump a profité de l’occasion pour étendre ses sanctions contre les mollahs et à ouvrir des négociations avec les Européens pour les convaincre d’afficher leur hostilité aux mollahs pour accélérer leur chute.

Les Russes et les Chinois ont confirmé leur absence de soutien aux mollahs et leur disposition à coopérer pour arriver aussi à des arrangements avec Trump et assurer leurs intérêts en Iran ou dans la région. Trump a accordé un délai supplémentaire à tous ces pays pour retirer leurs billes d’Iran en acceptant une prolongation de 6 mois avant d’interdire tout échange par le Gafi (FATF).

Voici à présent un récit en trois volets des trois semaines qui ont suivi et ont permis à Trump de consolider sa disposition pour sanctionner les mollahs et façonner leur chute.
1. Semaine 578 : Les arrangements inattendus
2.Semaine 579 : Cascades de sanctions
3. Semaine 560 : Pas de midterms pour les mollahs

22.11.2018

 
Semaine 557 : Les rats quittent le navire !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(chantage terroriste & clientélisme / saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

(chantage terroriste & clientélisme / saison 2) Dernièrement, les mollahs, menacés leurs compagnons, ont proposé le dialogue à Trump tout en attaquant ses alliés régionaux, mais ils ne sont pas parvenus à le faire flancher. Ils ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont entraîné l’hostilité des pays riverains et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils ont encore tenté de déstabiliser l’Irak et la Syrie et ont provoqué l’hostilité des Irakiens, des Syriens et des Russes. Trump a alors proposé une réunion au Conseil de Sécurité pour adopter de nouvelles sanctions mondiales à leur encontre.

(chantage terroriste & clientélisme / nouvelle version) Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump, tout en lui proposant le dialogue pour aboutir à un deal sans aucune exigence de sa part.

Les Européens (mais aussi les Russes et les Chinois) se sont fâchés et ont puni les mollahs en maintenant leur proposition de business démonétisé, les privant de facto de tout accès au dollar comme le souhaite Trump. Ce dernier les a récompensés en les assurant de son soutien via l’OTAN. Ils ont alors évoqué le terrorisme du régime.

La demande de dollar a augmenté. Les mollahs ont promis des dollars à 8000 tomans (-60% du prix du marché ’’libre’’) à leurs collaborateurs à condition qu’ils investissent beaucoup d’argent dans les entreprises moribondes du régime. Ils entendaient limiter leur pouvoir d’achat de devises et aussi de ruiner les cambistes et d’éliminer le marché libre. Ces derniers ont fait grève et ont de facto monté les prix.

Les mollahs ont alors promis des allocations plus fortes aux plus pauvres pour les réunir autour du Guide. Mais ce fut un cuisant échec.

Ils ont alors encore évoqué leur disposition à accepter le dialogue, essayant d’inverser les rôles et obliger Trump à faire le premier pas en renonçant à ses exigences, mais ce dernier a évidemment méprisé leur demande !

La semaine dernière, les mollahs ont annoncé l’adoption d’une loi comme la Convention contre leFinancement du Terrorisme (CFT) pour obliger les Européens à les fréquenter. Mais leur texte était opposé à cette convention et a seulement réussi à convaincre tout le monde qu’ils ne pouvaient pas s’assagir. La panique des associés du régime a pris une ampleur inattendue. Les Européens se sont empressés de prendre des mesures pour souligner le terrorisme et la corruption du régime pour justifier leur alignement sur Trump. La contestation interne est devenue plus forte et plus violente.

Les Anglais ont tenté de bloquer la victoire de Trump en accusant son allié MBS d’être l’assassin d’un agent islamiste proche de leur choix pour devenir roi ! Mais Trump a bien négocié ce virage et les Européens se sont gardés d’amplifier une affaire qui semble bien obscure et ont continué à insister sur le terrorisme des mollahs et à prendre des mesures pénalisantes contre eux. L’ONU les a aidés en révélant que les mollahs aidaient le financement d’Al Qaeda somalien.

Washington a annoncé le voyage en Inde et à Luxembourg de Brian Hook, son responsable des sanctions contre les mollahs, pour mettre au point des sanctions bancaires avec les Indiens et les Banques d’affaires européennes. Les mollahs certains de vivre de nouvelles crises ont promis à leurs proches qu’ils pouvaient continuer à voler les revenus du régime ! Mais les gens du régime n’ont pas applaudi et ont prouvé qu’ils espéraient plutôt s’enfuir !

Cette semaine, les mollahs devaient gérer la ruée de leurs associés paniqués sur leurs trésors (devises et or) et encore plus de panique après la grève prévue par les instituteurs et aussi après la tournée de Brian Hook. Ils ont seulement aligné des slogans rassurants. Ils ont déçu les leurs et ont eux-mêmes aggravé leur cas bien plus que leurs adversaires de cette semaine.

08.11.2018

 
Semaine 556 : Fausses ripostes aux premières vraies sanctions européennnes !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(chantage terroriste & clientélisme / saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

(chantage terroriste & clientélisme / saison 2) Dernièrement, les mollahs, menacés leurs compagnons, ont proposé le dialogue à Trump tout en attaquant ses alliés régionaux, mais ils ne sont pas parvenus à le faire flancher. Ils ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont entraîné l’hostilité des pays riverains et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils ont encore tenté de déstabiliser l’Irak et la Syrie et ont provoqué l’hostilité des Irakiens, des Syriens et des Russes. Trump a alors proposé une réunion au Conseil de Sécurité pour adopter de nouvelles sanctions mondiales à leur encontre.

(chantage terroriste & clientélisme / nouvelle version) Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump, tout en lui proposant le dialogue pour aboutir à un deal sans aucune exigence de sa part.

Les Européens (mais aussi les Russes et les Chinois) se sont fâchés et ont puni les mollahs en leur proposant seulement un mécanisme de business démonétisé, les privant de facto de tout accès au dollar comme le souhaite Trump.

La demande de dollar a augmenté et le régime a dû augmenter son prix sur le marché libre qu’ils contrôlent à 20,000 tomans (4 fois son prix officiel) provoquant une plus grande panique parmi ses collaborateurs.

La semaine dernière Trump a obtenu le soutien ouvert des Français, des Allemands et tous les membres de l’OTAN à ses sanctions en insistant sur le terrorisme des mollahs.

Les mollahs ont nié leur échec et ont tenté de duper leurs collaborateurs et les pauvres qui les contestent. Aux plus riches, ils ont promis un dollar à 8000 tomans à condition qu’ils investissent beaucoup d’argent dans les entreprises moribondes du régime pour limiter leur pouvoir d’achat de devises et aussi de ruiner les cambistes et d’éliminer le marché libre. Ces derniers ont fait grève et ont de facto gardé les prix élevés. Le manque de dollars a obligé les mollahs à renoncer à leur projet.

Ils ont alors promis aux plus pauvres des allocations qui ne valent plus rien pour mettre fin à leur contestation et les réunir autour du Guide pour continuer leur fuite en avant. Les pauvres (miliciens qui rejettent le régime) ont intensifié leur contestation et ont aussi boycotté le grand rassemblement avec le Guide mettant en valeur l’isolement des mollahs et leurs camarades à la tête des Pasdaran.

Le dernier jour de la semaine dernière, les mollahs ont tenté de raviver leur fausse opposition dédiée à une fausse révolution de couleur, mais leurs collaborateurs ne les ont pas soutenus. Leur m-ae a accordé un entretien à la chaîne Al Jazeera pour insister sur leur disposition à accepter le dialogue, essayant d’inverser les rôles et obliger Trump à faire le premier pas en renonçant à ses exigences et ses sanctions, mais ce dernier a évidemment méprisé leur demande !

Cette semaine, les mollahs devaient gérer les progrès de Trump et leurs propres échecs ainsi que le prix du dollar pour éviter que leurs députés les attaques pour prendre le contrôle de leurs trésors afin d’obtenir les fonds nécessaires à leur fuite. Puisqu’ils sont seuls, ruinés et conscients qu’ils seraient pendus pour tous leurs crimes, les mollahs ont encore rusé en faisant semblant de renoncer à leur chantage terroriste pour apaiser les relations avec les Européens sans perdre le soutien de leurs agents terroristes. Ils ont échoué, ont déçu ces derniers et tous leurs autres collaborateurs et in fine ont provoqué de nouvelles crises qui ont aggravé leur situation.

30.10.2018

 

Semaine 555 : Piège à dollars,
ennemi de l’espoir !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(Terrorisme & Clientélisme / saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

(Terrorisme & Clientélisme / saison 2) Dernièrement, les mollahs, menacés par leurs compagnons, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houthis avant de proposer le dialogue à Trump, mais ce dernier n’a pas flanché. Ils ont aussi tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont entraîné l’hostilité des Etats riverains et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

La panique a gonflé au sein du régime. Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils les ont impliqués dans un projet de réformes qui ne les a pas vraiment aidés à se consolider. Ils ont encore tenté de survivre en déstabilisant la Syrie par la déstabilisation de l’Irak. Ce choix géopolitiquement irresponsable leur a valu l’hostilité des Irakiens, des Syriens et des Russes. Ces derniers ont autorisé les Israéliens à bombarder les bases des mollahs en Syrie. Profitant de l’isolement grandissant des mollahs en raison de leur nuisance,Trump a proposé une réunion au Conseil de Sécurité en marge de l’AG de l’ONU pour adopter de nouvelles sanctions mondiales à leur encontre.

La semaine dernière, avant cette réunion, les mollahs ont mis en scène un attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump et in fine l’obliger à leur proposer un deal sans rien exiger au retour.

Trump a révélé qu’ils avaient demandé à le rencontrer. Les Européens ne leur ont rien accordé. Ils les ont de facto laissé seuls face à Trump tout en se moquant de ce dernier pour plaire à leur électorat bobo. Trump a alors bénficié de l’adhésion du Qatar à son OTAN arabe anti-mollahs. La Russie lui a rappelé son soutien en appuyant les nouvelles accusations nucléaires des Israéliens contre les mollahs !

Les mollahs désespérés ont tenté de raviver leur fausse opposition via leur opposition officielle avant d’opter pour des cadeaux financiers à leurs créanciers sans obtenir leur soutien !

Cette semaine, les mollahs devaient gérer la victoire indiscutable de Trump qui avaient déjà amplifié les agitations au sein de leur régime et la contestation contre leur régime. Ils ont nié leur défaite et promis des contrats et bons gains d’argent à leurs collaborateurs et seulement réussi à aggraver leur situation !

17.10.2018

 
Semaine 553-554 :
Bang Bang à Ahwaz... et à l’ONU !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(Terrorisme & Clientélisme / saison 1) Les mollahs, mis en danger par l’abandon des projets américains d’entente, ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leurs liens avec les Houthis. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et surtout en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar !

(Terrorisme & Clientélisme / saison 2) Dernièrement, ainsi menacés, les mollahs ont attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houthis avant de proposer le dialogue à Trump, mais ce dernier n’a pas flanché. Ils ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ils ont échoué et ont aggravé la panique au sein de leur régime.

Les mollahs ont alors pris l’option d’une fausse révolution de couleur. Leurs compagnons ont éjecté cette option par peur d’aider les vrais opposants au régime. Leurs chefs miliciens qui devaient être sacrifiés par les mollahs les ont menacés de mort ! Les députés ont remis en cause la légitimité de Rohani pour s’inviter dans le premier cercle du pouvoir et accéder aux trésors du régime ! Les mollahs ont tenté de les impliquer, mais n’ont pu mobiliser les leurs avec cette solution, mais ils n’ont pu trouver des alliés, car ils ne proposaient aucun changement digne d’intérêt.

Les mollahs ont renoué avec les provocations pour déstabiliser la Syrie via l’Irak, le seul résultat a été un mouvement national irakien contre leur présence dans ce pays et qui a aussi prouvé que leur puissance de nuisance été très largement surévaluée par eux-mêmes et leurs proches pour intimider leurs ennemis.

La semaine dernière, les mollahs ainsi diminués ont évoqué leur disposition au dialogue avec Washington, mais sans aucune concession pour éviter des conflits avec leurs chefs Pasdaran. Trump a refusé. Ils ont continué leur apaisement. Cette fois les chefs Pasdaran ont saboté leur tentative en tirant sur une base kurde en Irak !

Ils ont alors tenté de rebondir grâce à Kerry, mais ils ont seulement réussi à provoquer un mouvement américain anti-entente avec leur régime ! Kerry a été obligé de critiquer les mollahs et presque approuver Trump ! Cette drague de Kerry a aussi incité Poutine à se désolidariser de l’accord sur le nucléaire et le devoir de soutenir économiquement les mollahs et d’approuver la réunion du Conseil de Sécurité sous la direction de Trump contre les mollahs en marge de l’AG de l’ONU dans une dizaine de jours.

Cette semaine, les mollahs devaient empêcher la panique parmi les leurs après leurs nombreux échecs sur la scène internationale. La semaine suivante, ils devaient aussi ressouder les liens avec leurs collaborateurs pour mobiliser à l’occasion des deuils chiites de Tassoua et d’Achoura et pour faire face à la réunion prévue au Conseil de Sécurité et s’éviter de nouvelles sanctions. Voici le récit abrégé de deux semaines d’efforts qui n’ont offert aucun succès aux mollahs et ont plombé leur régime bien plus que les sanctions imposées par Trump et ses alliés toujours plus nombreux.

09.10.2018

 
Semaine 552 : La dernière guerre des mollahs !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houthis pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap !

Les mollahs ont alors renoué avec le terrorisme via les Talibans, pour intimider toutes grandes puissances mais ils ont seulement réussi à s’isoler davantage. Ils ont tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ils ont échoué. Leurs associés ont commencé à acheter des devises et de l’or pour s’enfuir. Lexsmollahs ont augmenté les taux ces produits pour les retenir. Leurs députés lésés par ces prix ont remis en cause la légitimité des mollahs en critiquent le bilan de Rohani et ses ministres.

L’opposition au régime en a profité pour éliminer l’un de leurs chefs miliciens. Ils se sont alors tournés l’option d’une fausse révolution de couleur, et ont froissé leurs chefs miliciens qui devaient être sacrifiés dans ce processus ! Ces derniers les ont menacés de mort ! Mais à l’annonce de la paix entre les Talibans et Trump, les deux clans se sont unifiés pour menacer les Occidentaux ou impliquer Assad dans leurs projets, mais ils n’y sont pas parvenus. Ils ont seulement incité les Russes à assurer Assad en s’approchant des Saoudiens pour mieux isoler les mollahs !

Les députés conscients de la fragilisation du régime ont remis en cause la légitimité de Rohani pour s’inviter dans le premier cercle du pouvoir et accéder aux trésors des mollahs afin d’avoir les moyens de fuir l’Iran comme ces derniers. Les mollahs ont lâché Rohani ! Ali Larijani, le chef du Parlement, a bloqué le processus pour ne pas devoir partager son propre accès aux trésors du régime ! Les mollahs ont récupéré le coup en saluant les critiques des députés tout en les invitant à respecter leur gouvernement pour respecter leur régime.

La semaine dernière, les mollahs se sont entendus avec leurs députés et les chefs miliciens pour relancer la fausse opposition idéalement avec l’aide des Anglais. Ces derniers ont refusé. Les mollahs ont continué, mais leurs collaborateurs ne les ont pas suivis et ont paniqué à l’idée d’une révolution de couleur qui conduirait à une vraie contre-révolution !

Les mollahs, leurs chefs miliciens et leurs députés ont alors simulé la volonté d’adhérer au FATF pour obtenir le soutien des Européens tout en démarchant Assad qui pourrait être menacé par cette adhésion afin de le forcer à rompre avec les Américains et les Russes avant le sommet prévu sur la Syrie à Téhéran en fin de la semaine avec les Turcs et les Russes. Les deux initiatives ont échoué !

Les mollahs, leurs chefs miliciens et leurs députés ont simulé l’envie d’un changement via le Parlement et n’ont rien obtenu de positif ! Ils sont restés unis pour agiter l’Irak afin de déstabiliser Assad, mais le résultat a été de violentes attaques contre leurs alliés locaux et l’incendie de leur consulat à Bassorah ! Trump a aussi demandé une réunion au conseil de Sécurité de l’ONU sur leur terrorisme !

En danger par leur propre faute, ils ont cherché à enflammer le Kurdistan iranien en menaçant d’exécuter 3 opposants kurdes pour crier au risque de la séparation du Kurdistan pour démobiliser le mouvement anti-régime ! Mais les Iraniens convaincus de l’attachement des Kurdes iraniens à l’unité du pays ont rejoint ces derniers pour lancer des opérations punitives contre les mollahs et leurs derniers miliciens de terrain !

Les mollahs ont fini la semaine sur un nouvel échec, car ils n’ont pu accuser Trump de fourniture d’armes chimiques aux opposants d’Assad. Poutine a affirmé que les Anglais en été responsables ! Les mollahs ont tenté de soudoyer les Chinois et les Indiens avec divers projets très lucratifs en Iran, mais n’ont pas obtenu leur soutien face à Trump !

Cette semaine, les mollahs devaient gérer les conséquences internes et internationales de leurs énormes échecs de la semaine dernière... Ils devaient s’attendre à de belles agitations internes et à des sanctions internationales pour leur volonté de déstabiliser la région, notamment la Syrie et l’Irak. Ils devaient s’attendre à plus de sanctions pour leur participation présumée aux attentats du 11 septembre à l’occasion du 17e anniversaire de ces attentats. Ils devaient enfin s’attendre à un regain de contestation après ces sanctions souhaitées par le peuple pour en finir avec leur régime. Les mollahs étaient dans une semaine de punitions. Ils ont fait des choix radicaux qui ont encouragé leurs adversaires de les punir plus sévèrement !

02.10.2018

 
Semaine 551 : Verts de peur !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houthis pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap !

Les mollahs ont alors renoué avec le terrorisme via les Talibans, pour intimider toutes grandes puissances mais ils ont seulement réussi à s’isoler davantage. Ils ont tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ils ont échoué. Leurs associés ont commencé à acheter des devises et de l’or pour s’enfuir. Lex mollahs ont augmenté les taux ces produits pour les retenir. Leurs députés lésés par ces prix ont remis en cause la légitimité des mollahs en critiquent le bilan de Rohani et ses ministres.

L’opposition au régime en a profité pour éliminer l’un de leurs chefs miliciens. Ils se sont alors tournés l’option d’une fausse révolution de couleur, et ont froissé leurs chefs miliciens ! Ces derniers les ont menacés de mort ! Mais les deux clans se sont unifiés à l’annonce de la paix entre les Talibans et Trump pour menacer les Occidentaux, mais ils n’ont réussi à les intimider. Les députés conscients de la faiblesse de leurs dirigeants ont continué à les harceler en menaçant de révoquer Rohani !

La semaine dernière, les mollahs ont opté pour l’apaisement avec les 4+1, mais ils avaient échoué. Puis, ils ont cherché à casser l’apaisement américano-syrien, mais ils ont aussi échoué ! Les députés désespérés par cet échec ont remis en cause la légitimité de Rohani ! Les mollahs ont cessé de le soutenir ! Rohani désespéré a mis la pression sur les Irakiens pour les obliger à l’aider sur le plan diplomatique, mais il a récolté un mouvement populaire contre la présence du régime en Irak qui a souligné la fragilité du régime et des miliciens !

Au même moment, les Russes ont encore sanctionné les mollahs en se rapprochant des Saoudiens à une semaine du sommet iranien du processus d’Astana. Les Anglais se sont invités dans le jeu anti-mollahs en les accusant d’aider les ennemis de la stabilité de l’Irak !

Les mollahs ont salué le sens critique de leurs députés pour s’éviter de nouvelles attaques de leur part. Les députés convaincus qu’ils pouvaient obtenir un arrangement pour accéder aux dollars des mollahs ont diminué leur pression sur ces derniers !

Cette semaine, les mollahs devaient ménager leurs députés sans fâcher d’autres bénéficiaires de leurs dollars et aussi sortir de leur isolement irako-syien pour être en mesure d’imposer leurs conditions aux Russes et le reste du monde au dernier jour de la semaine lors de la conférence du processus d’Astana à Tehran. Mais, sous la pression des menaces, ils ont fait de très mauvais choix qui les ont menés vers de plus grands périples.

25.09.2018

 
Semaine 549-550 :
La fortune des mollahs fait leur infortune

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski,, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houtihs pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap ! Ils ont renoué avec le terrorisme pour intimider tous les alliés de Trump et l’isoler, mais leur choix les a seulement convaincus de ne pas s’opposer à ses sanctions. Ils ont ainsi été à l’origine de leur isolement à 100% !

La semaine dernière, les mollahs ont arrêté quelques affairistes pour calmer leur agitation tout en jouant avec l’adoption du statut de Lac pour la Caspienne afin de faire pression sur les Russes et les Anglais intéressés par les richesses pétrolières de cette région. Mais, ils n’ont pu gagner, car tous les autres États riverains avaient décidé de nationaliser la Caspienne et d’évincer les Anglais dans leur propre intérêt et celui des États-Unis.

Leur échec a démontré leur manque de vision et a intensifié les tensions au sein de leur régime. L’assassinat de l’un des chefs Pasdaran chargé d’une des régions les plus contestataires a augmenté la panique interne.

Les mollahs ont alors mis en avant leur fausse opposition pour canaliser la contestation du peuple dans la lutte contre les Russes (et leur statut pour la Caspienne) espérant ainsi canaliser le peuple et relancer les marchandages pour l’accès à la Caspienne afin de draguer les Européens ! Mais ces derniers ont choisi la Russie !

Les mollahs ont continué l’action de leur fausse opposition. Les chefs Pasdaran ont craint que cette ouverture poussive se fasse à leurs dépens. Ils ont organisé un rassemblement où ils ont menacé de mort Rohani et ses patrons ! Ces derniers ont cessé de mépriser les députés pour les empêcher de s’allier aux chefs Pasdaran. Mais en l’absence d’une annonce de baisse du prix du dollar, les députés ont continué à attaquer Rohani !

Cette semaine, les mollahs devaient se ressaisir, redéfinir des objectifs ou des approches pour contenir ou dominer leurs adversaires d’Iran et ailleurs avant mercredi, car leur incapacité à mobiliser alors pour la fête islamique de sacrifice pouvait accentuer la panique au sein de leur régime. Pressés de réussir vite, ils ont fait de très mauvais choix en sacrifiant la raison ! Voici le récit de ces choix et leurs terribles résultats !

12.09.2018

 
Semaine 548 : Comme des chiens dans un jeu de quilles !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine souhaitée par Trump et par Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne afin d’annoncer de nouvelles sanctionner contre les mollahs. Trump a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine avec l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Enfin, à l’approche de ses nouvelles sanctions,Trump a mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Des milliers de responsables se sont enfuis ! On a constaté un cas de mutineries dans une très importante base tactique du régime !

À 2 semaines du début des nouvelles sanctions pétrolières et financières américaines, le m-AE de Trump a apporté son soutien à l’opposition du peuple iranien au régime. Les opposants ont alors annoncé des actions de plus en plus fortes et continuelles pour profiter de ces sanctions !

Les mollahs, menacés de toute part, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens pour provoquer une pénurie pétrolière, mais ils n’ont pas provoqué la panique qu’ils souhaitaient. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Les mollahs ont simulé une ouverture au dialogue. Trump a exigé des preuves de leur ouverture. Ils n’en ont montré aucun et n’ont pu continuer leur plan.

À une semaine du début des sanctions, les mollahs ont renoué avec le terrorisme pour intimider les Américains et les 4+1 avant de les rencontrer à un sommet à Singapour ! Ils n’ont rien obtenu d’eux. Les Allemands et les Anglais ont même durci leur position en évoquant la saisie des avoirs des mollahs dans leur pays.

La semaine dernière, le début de nouvelles sanctions a confirmé l’isolement à 100 % du régime des mollahs ! Les affairistes ont augmenté leurs achats d’or et de dollar du régime à n’importe quel prix. Les députés qui n’en ont pas les moyens ont accusé Rohani de corruption pour forcer les mollahs à baisser le prix du dollar.

Les mollahs ont menacé de pendre les acheteurs de dollar, mais ils n’ont pas osé le faire. Ils ont aussi reconnu leur responsabilité dans l’attaque des pétroliers saoudiens sans oser surenchérir par de nouvelles attaques... Ainsi le début des nouvelles sanctions a démontré la fragilité des mollahs et leur manque de courage pour faire face aux menaces venues de l’extérieur ou de l’intérieur du pays et de leur régime.

Cette semaine, les mollahs ont tenté de se rallier la Russie ou l’Europe en jouant avec la détermination du statut de la mer Caspienne qui a de très importantes réserves d’hydrocarbures, mais ils ont échoué, ils ont perdu des gisements sans obtenir les soutiens espérés. Les paniques internes se sont intensifiées comme la colère du peuple pour avoir encore mis en danger l’avenir économique du pays.

30.08.2018

 
Iran : Le Kowsar, ça ne vole pas très haut !

Les mollahs viennent de présenter à la presse l’avion de combat Kowsar, à 100 % iranien, et de menacer à la même occasion, les intérêts et les alliés américains dans la région ! Voici quelques pistes pour comprendre la raison de ces annonces et pourquoi on devrait s’en réjouir au lieu de s’en inquiéter !

27.08.2018

 
Semaine 547 : La logique de la panique !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine souhaitée par Trump et par Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne afin d’annoncer de nouvelles sanctionner contre les mollahs. Trump a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine avec l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Enfin, dernièrement, à 3 semaines de ses nouvelles sanctions, Trump a mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les miliciens dissidents ont révélé la fuite de 1700 responsables ! Une explosion dans une importante base tactique du régime a signalé que les miliciens de base étaient en pleine insurrection ! Les opposants ont alors annoncé des actions de plus en plus fortes et continuelles pour profiter de la déroute internationale du régime !

Il y a deux semaines, à 2 semaines des sanctions, le M-AE de Trump a apporté son soutien à l’opposition du peuple iranien. Les mollahs, menacés de toute part, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens pour insinuer la capacité de provoquer une pénurie pétrolière, mais ils n’ont pas provoqué la panique qu’ils souhaitaient. Washington a riposté en leur envoyant 4 grands bâtiments de sa marine. Les mollahs ont alors simulé une ouverture au dialogue afin d’échapper aux sanctions et aux tensions internes qui les déstabilisent. Trump a exigé des preuves par une ouverture aux attentes du peuple iranien. Ils n’en ont montré aucun et n’ont pu continuer leur plan.

La semaine dernière, une semaine avant les sanctions, les mollahs ont inclus des menaces dans leur fausse ouverture pour imposer celle-ci ! Ils ont échoué ! Ils ont fait appel à leurs terroristes de Daesh et n’ont pas réussi à intimider les Occidentaux. Ils ont à nouveau simulé l’apaisement au moment d’un sommet Est-Ouest à Singapour ! Les Chinois n’y ont signé aucun contrat avec eux ! Les Allemands les ont punis en gelant leurs avoirs ! Les Anglais les ont exposés à une saisie d’avoirs et à davantage de sanctions en annonçant la saisie de pièces pour le développement des missiles nucléaires. Et leur soutien aux auteurs de l’attentat du 11 septembre 2001.

Vendredi dernier, après ces très mauvaises nouvelles, les mollahs ont sondé leurs associés à propos de l’ouverture pragmatique des négociations avec Trump par une lettre ouverte du député Motaharri (beau-frère d’Ali Larijani) aux chefs Pasdaran, leur interdisant d’outrepasser leur neutralité pour s’opposer à cette décision nécessaire à la survie du régime de Tutelle du Guide Suprême !

Les chefs Pasdaran n’ont pas réagi. On a compris qu’ils étaient d’accord pour les négociations avec Trump pour retarder ses sanctions et aussi celles des Allemands et les Anglais ! Mais il n’y a eu aucune réponse de la part de Trump, car il n’y avait aucun geste d’apaisement du côté des mollahs & associés. Il était clair qu’ils ne voulaient pas déposer les armes, mais trouver un deal pour éviter les tribunaux iraniens ou internationaux ou gagner du temps pour fuir vers une destination secrète avec tous les trésors du régime ! Les députés révoltés par cet égoïsme des mollahs leur ont déclaré la guerre en s’attaquant aux bilans de leur président et la presque totalité de ses ministres !

Cette semaine, Trump devait mettre en application ses sanctions. Les mollahs étaient confrontés à des sanctions inattendues, à la colère du peuple et au désaveu de leurs collaborateurs et redoutaient le pire ! Ils ont tenté de se préserver en faisant de belles promesses au peuple qui veut leur disparition, à leurs collaborateurs et à certains de leurs adversaires internationaux. Ces initiatives n’ont pas réussi à éviter la crise qu’ils redoutaient. Voici le récit d’une semaine trépidante pour expliquer leur échec, et pourquoi cela continuera !

22.08.2018

 
Semaine 545-546 : La fin des feintes

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Ce changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs au Moyen-Orient.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné leur rupture en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Depuis, l’administration Trump a poursuivi avec brio sa guerre contre les mollahs grâce à cette unité internationale pour combattre les nuisances de ces derniers. Tout d’abord, Trump s’est retiré de l’accord de Vienne en imposant la nécessité d’un nouvel accord pour garantir la fin du terrorisme des mollahs et pour limiter les relations économiques avec eux. Puis, il les a privés des missiles de Kim Jung Un en pactisant avec ce dernier ! Puis, il a contré les menaces de pénuries pétrolières formulées par les mollahs grâce à un pacte pétrolier russo-saoudien pour augmenter la production pétrolière mondiale.

Les mollahs, totalement menacés par cette mesure, ont diminué la distribution de l’eau en Iran pour augmenter leurs fournitures d’eau aux Irakiens et aux Koweitiens pour s’assurer leur soutien et en faire des sorties de secours au cas où la contestation interne et les pressions externes les feraient chuter. Ce choix improvisé n’a pas pu casser le pacte pétrolier russo-saoudien et a aussi entraîné de graves troubles en Iran et au sein du régime. Tous les gens du régime se sont mis à acheter de l’or et des dollars. Les mollahs ont alors augmenté le prix de ces produits pour garder ces trésors pour eux-mêmes et ont ainsi déçu leurs collaborateurs, perdu des alliés et gagnés de nouveaux ennemis !

Trump a alors continué son plan anti-mollahs en reconnaissant la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver les bases russes en Syrie en échange de l’expulsion des mollahs de ce pays et l’engagement des Syriens d’assurer la sécurité d’Israël.

Dernièrement, Trump a finalisé son entente avec Poutine à Helsinki jetant ainsi les bases d’un nouveau Moyen-Orient assurément plus stable. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump et bien plus intéressant d’un point de vue économique ! Les Européens ont vite choisi cette stabilité en affirmant qu’ils ne pouvaient pas garantir les investissements promis aux mollahs ! Les amis palestiniens des mollahs les ont aussi lâchés ! Les chiites irakiens ont profité de la confirmation de l’isolement des mollahs pour attaquer les symboles de leur présence dans leur pays ! Assad a aussi vite mis en œuvre ses engagements pour assurer son avenir !

La panique s’est alors graduellement amplifiée au sein du régime. Les dissidents ont révélé la fuite de 1700 hauts responsables du régime ! Les mollahs ont nié leur défaite et ont menacé leurs serviteurs agités pour les empêcher de fuir ou d’encourager l’insurrection en cours ! Les Larijani ont critiqué les choix des mollahs sans proposer une alternative ! Les mollahs les ont rendus responsables des problèmes de corruption pour les calmer !

Dans ce contexte de guerre interne bien nuisible au régime, une explosion et de nombreux morts survenus dans une importante base tactique du régime ont signalé que la milice était aussi en pleine insurrection ! Les dirigeants ont caché l’affaire et ont ainsi admis leur peur que l’insurrection se développe et ont aussi admis leur incapacité à l’empêcher et éviter l’explosion à très court terme de leur régime !

Dans ce contexte explosif, Pompeo devait parler au peuple iranien et les assurer du soutien de l’administration Trump... La contestation et les insurrections internes devaient se renforcer à l’issue de ce discours et déstabiliser le régime dès le début des sanctions ! Les mollahs devaient trouver des solutions pour contenir les insurrections internes et les pressions externes pour empêcher le début du compte à rebours de leur chute. Voici le récit de ces efforts au cours des deux dernières semaines !

11.08.2018

 
Semaine 544 :
Poutine chauffe la marmite des mollahs !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Ce changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs au Moyen-Orient.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné leur rupture en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen terroriste et concret pour assurer leur survie par le chaos.

Depuis, en profitant de l’unité internationale contre la nuisance avérée des mollahs, l’administration Trump a poursuivi avec brio son projet pour les combattre. Tout d’abord, Trump s’est retiré de l’accord de Vienne en imposant la nécessité d’un nouvel accord pour garantir la fin du terrorisme des mollahs et pour limiter les relations économiques avec eux...

Dernièrement, Trump a continué son projet anti-mollahs en privant ces derniers des missiles de Kim Jung Un ! Puis il a demandé un embargo énergétique à 100% contre les mollahs et a constaté avec joie la présence des Russes au côté des Saoudiens pour conclure un pacte anti-mollahs au sein de l’OPEP.

Les mollahs ont alors diminué la distribution de l’eau en Iran pour augmenter leurs fournitures d’eau aux Irakiens et aux Koweitiens pour s’assurer leur soutien, mais aussi pour gagner l’amitié de Moqtada Sadr en Irak et aussi le soutien des Koweitiens pour fuir via ces deux pays chiites au cas où la contestation interne ferait chuter le régime en Iran. Ce choix improvisé de couper l’eau en Iran a entraîné de graves troubles en Iran et des ruptures parmi les derniers miliciens de terrain !

Les mollahs, désemparés par leur isolement et leurs erreurs, ont aussi augmenté le prix de leurs devises pour empêcher les paniqués d’en acheter. Les Bazaris souffrant de cette dévaluation de facto de la monnaie iranienne ont marché contre le régime avec l’aide des policiers dissidents en se disant partisans de Reza Pahlavi donc de l’effacement de la révolution islamique !

Trump a continué son plan anti-mollahs en reconnaissant la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver les bases russes en Syrie en échange de l’expulsion des mollahs du Proche-Orient.

La semaine dernière, Poutine a dit oui à l’offre en accueillant chaleureusement Netanyahou et en lui promettant sa défense par Assad avant d’accueillir bien froidement l’envoyé des mollahs tout en refusant d’étudier les contrats très juteux qu’ils comptaient lui proposer. La panique avait sans cesse augmenté tout au long de la semaine !

Au dernier jour de la semaine dernière, après cette nouvelle défaite et un nouveau pacte présageant de nouvelles défaites et la fin de leur régime, leurs amis ont disparu ! Les mollahs sont alors devenus réalistes et ont annoncé la possibilité de quitter la Syrie pour déguiser leur expulsion en volonté et éviter de perdre des collaborateurs de leurs crimes en Syrie et ailleurs !

Cette semaine, les mollahs n’étaient pas à la fête, car ils devaient célébrer le 3e anniversaire de l’accord du nucléaire qui ne les a jamais protégés ! Ils risquaient de commencer la semaine par une grosse crise interne ! Par ailleurs, leur nouveau plus grand ennemi, Poutine, devait aussi rencontrer leur plus grand ennemi, Trump, afin de finaliser avec lui les ententes qu’ils ont esquissées au cours des dernières semaines contre les mollahs... Les menaces ont forcé les mollahs à choyer leurs rivaux internes, mais ils n’ont pas pu satisfaire tout le monde et ont encore eu une semaine très difficile !

31.07.2018

 
Semaine 542-543 :
Les grimaces des vaincus !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Ce changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs au Moyen-Orient.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné leur rupture en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, fragilisés par la rupture de leurs miliciens chargés de leur sécurité, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en renouvelant le classement des mollahs sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme et en les privant ainsi de tout investissement étranger.

Les mollahs fragilisés en Iran ont intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a alors profité de cette unité internationale et régionale contre les mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne et demander un nouvel accord pour garantir la fin de leur terrorisme. Il a aussi annoncé le rétablissement progressif des précédentes sanctions américaines contre eux et leurs partenaires pour y parvenir.

Les autres signataires, les 4+1 dont les Européens, qui étaient ces partenaires, ont critiqué Trump tout en lui donnant raison sur le fonds et ont tenté d’obtenir des compensations (économiques ou stratégiques) contre leur soutien à son plan. Trump a contré ses manœuvres qui retardaient son succès en proposant un deal aux Russes sur la Syrie et en évoquant des sanctions contre les Chinois et les Européens et pu obtenir l’adhésion de ces derniers à sa lutte contre les mollahs terroristes.

Dans la foulée, les mollahs, de plus en plus contestés et de plus en plus isolés en Iran, ont aussi perdu leur fournisseur de missiles par la faute du deal proposé par Trump à Kim Jung Un. Les mollahs ont aussi perdu leurs bases en Irak et au Liban par la faute de la défaite de leurs alliés locaux ou leur adhésion au bloc arabe pro-Trump ! Les mollahs ont de fait perdu des pays par où fuir au cas où la combinaison de leurs problèmes provoquerait leur chute !

La Russie a alors confirmé son envie d’alliance avec Trump en s’alliant selon ses vœux à l’Arabie Saoudite pour augmenter la production de l’OPEP et faciliter l’embargo pétrolier contre les mollahs !

Cette dernière annonce a amplifié la panique interne. Les mollahs ont alors coupé l’eau des régions du sud du pays pour augmenter leurs exportations d’eau vers l’Irak et le Koweït afin de bénéficier de leur soutien à l’OPEP ou obtenir un droit d’asile chez eux... Les habitants privés d’eau se sont révoltés contre le régime ! Les mollahs ont maintenu la fourniture de l’eau à voisins chiites pour se préserver un corridor de fuite si leur régime était menacé.

La panique s’est intensifiée au sein du régime ! Les mollahs ont alors encore augmenté les taux de vente de leur or et leurs dollars et ont provoqué la révolte des Bazaris et les dizaines de milliers de gens qui travaillent au Bazar. Les miliciens de la police les ont aidés à marcher sur le Parlement et en finir avec les mollahs qui manœuvraient seulement pour leur intérêt personnel, mais leur coup a échoué par la faute de l’inexpérience des manifestants.

Les mollahs très affectés par ce coup ont mis en scène une opposition interne à Rohani pour calmer la contestation. Ils ont aussi baissé les taux de vente de leur or et leurs dollars pour calmer leurs nantis nantis et les Bazaris. Ils ont enfin annoncé une tournée diplomatico-commerciale en Suisse et en Autriche et la possibilité de signer de grands contrats avec ces pays pour forcer les grandes puissances européennes à les soutenir

Avant cette tournée, Washington a encouragé la révolte des collaborateurs du régime en révélant que les mollahs avaient déposé 148 milliards de dollars des revenus du pays dans les banques américaines et a semé la panique chez les mollahs en saisissant cet argent qui pouvait les aider à acheter des soutiens en Suisse et en Autriche ! Les autres grandes puissances ont pris position contre les mollahs en les préservant les mollahs sur la liste noire du FATF pour entrer dans le secret des avoirs saisis et sans doute pour saisir d’autres avoirs des mollahs déposés sur leurs territoires !

Les mollahs ont maintenu leur tournée tactique en Suisse et en Autriche pour insinuer qu’ils avaient une chance de survie pour retenir leurs collaborateurs à leurs côtés. Voici le récit de cette tournée, de son échec programmé, les conséquences positives de cet échec pour Trump et ses terribles conséquences de tout ceci pour les mollahs et leur régime agonisant !

24.07.2018

 
Semaine en images n°539-540-541 :
Défaite avant les sanctions !

.En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

.En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur américain, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs dans le golfe Persique et le bassin méditerranéen. Moqtada Sadr et le Hezbollah ont aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive en Irak et au Liban.

.Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, incapables de riposter, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme  ! Ils ont intensifié ce terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser cette coalition. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a alors profité de cette unité contre les mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne et demander un nouvel accord pour garantir la fin de leur terrorisme. Il a aussi annoncé le rétablissement progressif des précédentes sanctions américaines contre eux et leurs partenaires pour y parvenir.

Les autres signataires, les 4+1 dont les Européens, qui étaient ces partenaires, ont critiqué Trump tout en lui donnant raison sur le fonds et ont tenté d’obtenir des compensations pour leur soutien à son plan. Trump a contré ses manœuvres qui retardaient son succès en s’approchant des Russes tout en annonçant des sanctions contre les Européens et les Chinois.

Les mollahs ont alors tablé sur un revirement des Européens en leur faveur, mais ces derniers n’ont pas choisi les mollahs. Les collaborateurs du régime ont paniqué et se sont rués sur le dollar et l’or pour se remplir les poches et fuir. Les opposants du régime ont profité de ce désordre pour manifester à tout prétexte.

Les mollahs ont alors provoqué une émeute populaire d’une ville de garnison de Kazeroun avec l’espoir d’écraser les habitants pour rassurer les collaborateurs. Mais les miliciens présents sur place ne sont pas intervenus contre le peuple et Kazeroun est devenu la vitrine de l’incapacité des mollahs à assurer leur sécurité. Les routiers iraniens ont alors cessé de travailler pour les paralyser et les faire chuter !

Dans notre dernière analyse, nous avons signalé qu’il y a trois semaines, alors que le régime était déstabilisé par cette grève, Trump a accéléré son jeu en annonçant qu’il allait rencontrer leur seul fournisseur balistique, Kim Jung Un ! La Russie consciente du renforcement de Trump à l’issue de cette rencontre a vite confirmé son deal avec Trump en mettant fin au projet d’investissement de Lukoil en Iran. La Chine a aussi choisi Trump en payant de lourdes pénalités qu’il exigeait pour continuer à être présent sur le marché américain. L’Europe a renoncé à sa demande d’exemption des sanctions pour ses grandes entreprises partenaires des mollahs !

Les compagnons du régime ont alors pris leur distance à l’occasion de plusieurs journées officielles, dont celle de la communion annuelle avec Khomeiny. Les routiers ont mis en évidence ce boycott en bloquant l’accès des villes empêchant les mollahs de déployer des réfugiés afghans afin de combler le manque de participation de leurs collaborateurs à la journée du refus du sionisme !

Les mollahs, totalement déstabilisés, ont menacé de quitter l’accord de Vienne, mais n’ont pas osé mettre à exécution leur menace. Rohani est parti en Chine en annonçant qu’il allait obtenir le soutien de la Russie et de la Chine lors du sommet à venir de l’organisation de Coopération de Shanghaï alors que les dirigeants de ces pays les avaient rejetés ! On a compris qu’il bluffait pour empêcher la propagation de la panique chez les derniers fidèles au régime !

Voici le récit compact ce qui est passé depuis : tous les bluffs et les mensonges qui devaient sauver les mollahs ont conduit à une crise irréversible qui menace sérieusement le régime des mollahs !

14.07.2018

 

Iraniens, encore un effort si vous voulez
être libres !

L’Iran est en ébullition depuis plusieurs mois. Les Iraniens manifestent sans cesse dans la rue. Des slogans appelant sans ambiguïté à la chute du régime pourri des mollahs et louant la dynastie des Pahlavi sont scandés sur l’ensemble du territoire avec souvent la complaisance des forces en charge du maintien de l’ordre public.

10.07.2018

 
Iran : Contestation générale J+7 !

Le régime a menacé ses riches compagnons de mort s’ils continuaient à aggraver la situation en cherchant à acquérir ses réserves d’or et de dollar. Mais le danger vient de la rue, de ceux qui ne peuvent pas acheter une bouteille de lait pour leur enfant, car celle-ci coûte 26,000 tomans alors que leur seul revenu est une allocation de 42,000 tomans. Les policiers escortent les gens qui chantent : Reza Shah, que ton âme soit beni ! Les policiers divulguent les adresses des Safe houses du régime et donnent des conseils pour attaquer les convois de miliciens fidèles au régime.

Les images arrivent lentement, car le régime a évidemment diminué la vitesse de connexion à internet. Mais l’espoir grandi, car on trouve même des pages Instagram en faveur d’un changement de régime et en faveur du Prince de l’Iran sur le réseau internet russe !

Voici quelques images de la contestation en son 7e jour.

29.06.2018

 
Iran : Contestation générale J+5 !

Les Iraniens ne désarment pas ! La France censure leur contre-révolution et reste fidèle à Khomeiny ! Elle fait aussi la promotion de faux opposants du régime avec les experts placés par le régime à Paris ! Ils nient l’hostilité des manifestants au régime.

Voici le point en vidéos depuis lundi soir.

28.06.2018

 
Semaine en images n°538 :
Un régime vaincu et apeuré

.En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

.En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur américain, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs dans le golfe Persique et le bassin méditerranéen. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

.Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, incapables de riposter, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme ! Ils ont intensifié ce terrorisme en Syrie pour diviser cette coalition. Ils ont excédé les Européens, mais aussi la Russie et la Syrie qui pouvaient en souffrir. Ces deux pays ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos.

L’émergence de cette coalition mondiale large hostile a renforcé la contestation interne en faveur de la dynastie Pahlavi ! Les mollahs ont tenté une passation de pouvoir douce en rendant indirectement hommage à (Reza Shah), idole incontesté du peuple iranien avant de renoncer en raison du renforcement de la contestation. Ils ont alors encore tenté de provoquer une guerre entre Israël et la Syrie et ont prouvé leur insolvabilité.

Quand Trump a quitté l’accord de Vienne, les autres signataires, les 4+1, ont critiqué sa décision n’ont pas aidé les mollahs. Ils ont seulement mis des conditions à leur adhésion pour obtenir des compensations dans leurs relations avec les États-Unis.

Les collaborateurs du régime ont paniqué et se sont rués sur le dollar et l’or pour se remplir les poches et fuir. Les opposants du régime ont profité de ce désordre manifester à tout prétexte. Les mollahs ont misé sur la désinformation pour retarder leur chute.

Les mollahs ont aussi provoqué une émeute populaire d’une ville de garnison de Kazeroun avec l’espoir d’écraser les habitants pour rassurer les collaborateurs. Mais les miliciens présents sur place ne sont pas intervenus contre le peuple et Kazeroun est devenu la vitrine de l’incapacité des mollahs à assurer leur sécurité. Les Bazaris et les routiers iraniens ont cessé de travailler pour les paralyser et les faire chuter !


Les mollahs et leurs complices les chefs Pasdaran se sont ainsi retrouvés confrontés à une véritable guerre économique du peuple contre leur régime alors qu’ils étaient menacés par les sanctions de toute part !

La semaine dernière, les mollahs (dépassés par la contestation en Iran) ont évoqué la possibilité d’adhérer au FATF afin de calmer la guerre économique internationale contre leur régime, mais ils ont seulement réussi à paniquer leurs nombreux terroristes qui se trouvent à des postes clefs et pouvaient se retrouver en danger.


Les mollahs ont alors improvisé un rapprochement avec les Indiens pour faire pression sur les Russes et les Chinois pour les détourner de leur envie de deal avec Trump, mais ils n’ont pas pu entraîner les Indiens dans leur complot.


Trump a profité de la colère évidente des Russes pour conclure un deal avec eux sur la Syrie tout en faisant pression sur les Européens et les Chinois. La Russie a stoppé les projets de Lukoil en Iran en échange d’un retrait des troupes américaines d’Idlib. Les Chinois ont ouvert des négociations pour diminuer les indemnités qu’on leur réclamait. Les Européens se sont retrouvés seuls pour exiger des compensations à Trump, mais n’ont quand même pas choisi d’aller vers les mollahs, laissant supposer qu’ils allaient revoir leurs revendications et s’aligner sur Trump...


Les mollahs ont alors minimisé l’impact des sanctions et ont ainsi déçu leurs collaborateurs. Ils ont alors mis en avant leur soutien au Hamas et au Hezbollah à l’occasion de la célébration à venir de leur journée anti-israélienne, mais les deux organisations islamiques n’ont pas répondu à leurs avances.

Les mollahs ont fini la semaine en optant pour une provocation prudente : Salehi, leur chef de leur programme nucléaire, a reconnu que Velayati, le m-AE plénipotentiaire du régime avait dit juste récemment, en affirmant que les négociateurs du régime avaient manqué de préparations lors des négociations aboutissant à l’accord de Vienne. Il a aussi dit qu’il allait suivre ses recommandations et sortir le régime de ce mauvais cycle en réassemblant activement dans le cadre de l’accord leurs équipements nucléaires démantelés au moment de l’accord pour être prêts à rompre l’accord et à reprendre immédiatement l’enrichissement nucléaire à un niveau très important au même moment !

Les Européens ont esquivé cette provocation. L’administration Trump aussi. Trump lui-même a maintenu la pression sur les mollahs lors de sa rencontre la nord Coréen Kim Yong Chol en insistant sur l’efficacité de ses sanctions....

27.06.2018

 
Semaine en images n°536-537 :
Désespoir, désinformation et désastres !

.En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

.En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur américain, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs dans le golfe Persique et le bassin méditerranéen. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

.Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, incapables de riposter, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme ! Ils ont intensifié ce terrorisme en Syrie pour diviser cette coalition. Ils ont excédé les Européens, mais aussi la Russie et la Syrie qui pouvaient en souffrir. Ces deux pays ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos !

L’émergence de cette coalition mondiale large hostile a renforcé la contestation interne ! Les miliciens hostiles au régime ont en défilé lors de la journée de l’armée au rythme de l’hymne national en vigueur sous le Shah ! Les mollahs ont tenté une passation de pouvoir douce en rendant indirectement hommage à (Reza Shah) , idole incontesté des Iraniens avant de renoncer en raison du renforcement de la contestation.

Les mollahs ont alors encore tenté de diviser la coalition internationale hostile à leur encontre en tirant des missiles depuis leur base du Golan en Syrie sur Israël pour provoquer une guerre entre ces deux pays et forcer les Russes à entrer en conflit avec les Occidentaux ! Ils ont seulement mieux soudé les pays qui leur sont hostiles.

Quand Trump a quitté l’accord de Vienne, les autres puissances signataires de l’accord, les 4+1, ont critiqué sa décision sans s’y opposer concrètement en aidant les mollahs. Les mollahs ont compris que Trump avait obtenu le soutien des autres signataires pour les sanctionner.

Les mollahs ont encore tenté de provoquer une guerre est-ouest en Syrie. Les Russes les ont encore punis en laissant les Israéliens les attaquer avec plus d’intensité. Les mollahs ont alors renoncé à leur option militaire et ont misé sur la désinformation en promettant un dénouement heureux grâce aux Européens lors d’une rencontre prévue dans 7 jours à Vienne, mais ces derniers ont confirmé leur soutien à Trump en les sanctionnant avant lui !

La semaine dernière, les mollahs ont tenté de déstabiliser les Européens avant leur rencontre en proposant des contrats aux Chinois et aux Russes. Mais ce plan avait été neutralisé par ces derniers.

Au même moment, le chiite irakien anti-mollahs, Moqtada Sadr, a gagné les élections législatives de son pays et a privé les mollahs de la capacité de s’y réfugier en cas de problème ! Les députés voyous du régime ont alors fait chanter les dirigeants pour assurer après leur difficile rencontre avec les Européens.

Les mollahs menacés de toute part ont tenté de s’affirmer en provoquant les habitants de Kazeroun avec l’espoir de les écraser avec leurs forces spéciales formées dans cette ville. Mais ces derniers ont laissé faire les habitants qui ont pu attaquer et incendier les principaux immeubles gouvernementaux de leur ville...

Les Européens ont profité de la situation des mollahs en leur reprochant les mêmes fautes que leur avait reprochées Trump. En l’absence d’une réponse de leur part. Ils les ont sanctionnés encore en les privant de Total, Siemens et Engie. Puis ils ont noué des contacts avec les Russes et les Chinois pour une action commune afin qu’ils ne puissent pas prendre la direction des hostilités contre les mollahs !

Les mollahs ont alors fui les hostilités grandissantes à leur encontre en s’opposant bruyamment au transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem pour capter le soutien du monde arabe, mais ils n’ont pu imposer leurs mesures anti-américaines lors de la rencontre extraordinaire organisée par les Saoudiens pour calmer ces tensions.

Cette semaine, les mollahs devaient gérer les effets de la guerre psycho-économique des grandes puissances et la contestation qu’ils avaient développée. Ils n’ont pas su y faire et ont amplifié la panique au sein de leur régime.

19.06.2018

 
Semaine en images n°534-535 :
La méthode Trump pour terroriser les mollahs !

-En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

-En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur américain, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs dans le golfe Persique et le bassin méditerranéen. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

-Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, incapables de riposter, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme ! Ils ont intensifié ce terrorisme en Syrie pour diviser cette coalition. Ils ont excédé les Européens, mais aussi la Russie et la Syrie qui pouvaient en souffrir. Ces deux pays ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos !

Les miliciens de base qui avaient permis le soulèvement de l’hiver dernier ont profité de cette adhésion des Européens à Trump pour rappeler leur disponibilité pour un changement de régime lors de la journée de l’armée en jouant l’hymne patriotique en vigueur sous le Shah ! Cela n’était pas possible sans la complicité des Renseignements.

Les mollahs ont tenté de trouver un arrangement pour une passation de pouvoir douce avec le prince Reza Pahlavi en annonçant la découverte du cadavre momifié de son grand-père (Reza Shah) et en se montrant respectueux de cet immense réformateur anticlérical ! Mais le peuple a exprimé avec une telle force son attachement pour son œuvre et à la nécessité d’une contre-révolution islamique qu’ils ont préféré oublier cette option !

La semaine dernière (28 avril-4 mai 2018 | 7-14 Ordibehesht 1397), les mollahs presque condamnés à mort par la faute de l’intensification de la contestation populaire, qui devait s’intensifier le 1er mai, ainsi que l’adhésion de Macron, Merkel et même Poutine à Trump ont encore tiré des missiles depuis leur base du Golan en Syrie sur Israël pour provoquer une guerre entre ces deux pays et forcer les Russes à entrer en conflit avec les Occidentaux ! La Syrie et la Russie ont évité le piège et ont puni les mollahs en autorisant Israël à bombarder le plus grand dépôt des missiles du régime en Syrie.

Dans la foulée, Israël a dit avoir des preuves que les mollahs avaient encore un programme nucléaire militaire et toutes les grandes puissances et les pays du Moyen-Orient lui ont encore donné raison, se montrant prêts à adopter les sanctions américaines contre les mollahs !

Les manifestations anti-régime du 1er mai et le boycott de l’anniversaire de l’Imam Caché ont alors confirmé l’opposition du peuple et des miliciens de base aux mollahs, mais ces derniers ont nié leur déclin et déçu leurs derniers miliciens en leur promettant une victoire grâce à l’Imam caché, leur sauveur imaginaire et impopulaire.

Cette semaine finissait l’ultimatum de Trump aux Européens pour accepter la révision de l’accord de Vienne. S’ils n’adoptaient pas les sanctions pour punir le terrorisme du régime, il allait quitter l’accord. Celui-ci devait donc se terminer pour déboucher sur quelque chose d’autre accompagnée de nouvelles sanctions contre les mollahs.

Les mollahs devaient éviter tout conflit pour ne pas aggraver leur situation, mais toute complaisance pouvait désespérer leurs camarades miliciens insolvables, les encourager à fuir et précipiter leur chute.

Avant le début de la semaine, ils ont dit qu’ils ne reculeraient jamais afin de satisfaire leurs camarades miliciens insolvables qui sont leurs derniers gardes du corps. Ils ont de facto inquiété leurs interlocuteurs étrangers.

Ils ont alors modéré leur propos pour améliorer leur image ! Mais ils n’ont fait aucun vrai effort et n’ont rien obtenu en échange de ce faux apaisement de dernière minute. Ils ont alors tenté le tout pour le tout et ont tout perdu provoquant aussi des effets inattendus contraires à leurs intérêts ! Voici le récit d’une semaine palpitante et des 7 jours suivants qui l’ont été encore davantage pour tous les ennemis des mollahs.

01.06.2018

 
Semaine en images n°533 :
Décadence, naufrage et Alzheimer volontaire

En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences| Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacités, les failles et les lieux de stockages de ces engins. Au même moment, un des plus importants stocks de missiles des mollahs a explosé en Iran. Après ces performances politiques hors du commun, Trump a aussi vaincu la résistance des Européens en prenant John Bolton comme ministre des Affaires étrangères.

Les mollahs en très grand danger ont multiplié les tentatives osées pour déstabiliser la région afin de déstabiliser leurs ennemis. Ils ont excédé les Européens, mais aussi la Russie et la Syrie qui pouvaient en souffrir. Ces deux pays ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos !

Les miliciens de base qui avaient permis le soulèvement de l’hiver dernier ont profité de cette défaite majeure pour rappeler leur envie de changement de régime en défilant à l’occasion de la journée de l’armée, en jouant lors de ce défilé l’hymne patriotique en vigueur sous le Shah ! Cette démonstration de force n’était pas possible sans la passivité complice des miliciens du ministère de l’Intérieur. Les mollahs ont conclu que ces miliciens avaient rejoint la 5e colonne de l’opposition au sein de leur régime.

La semaine dernière (21-28 avril 2018 | 1-8 Ordibehsht 1397), Macron et Merkel devaient rencontrer Trump et officialiser leur soutien pour sanctionner les mollahs pour leurs tentatives incessantes de garantir leur survie grâce à la pour déstabilisation du Moyen-Orient par l’intermédiaire de la guerre des Houthis contre l’Arabie Saoudite.

Les barbouzes parlementaires ont attaqué les dirigeants pour les forcer à leur accorder des dollars pour qu’ils puissent aussi s’enfuir ! Les mollahs ont limité l’accès aux leurs dollars pour les garder eux-mêmes ont de facto engendré une grande manique financière notamment chez leurs serviteurs affairistes.

Cette panique et les coups portés contre le régime ont paniqué les ayatollahs au pouvoir ! Ils ont essayé de rallier leurs commandants miliciens pour contredire leur rupture, mais ils n’y sont pas parvenus ! Ils ont tenté de réanimer leur fausse opposition (le Mouvement Vert), mais ils n’y sont pas parvenus. Ils ont tenté de se donner une bonne image et un arrangement pour une passation de pouvoir volontaire avec le prince Reza Pahlavi en prouvant qu’ils n’avaient détruit les restes de son grand-père, Reza Shah, fondateur de l’Iran moderne et l’inspirateur du peuple. Mais le peuple a exprimé avec une telle force son attachement pour son œuvre et à la nécessité d’une contre-révolution islamique qu’ils ont préféré oublier cette option !

Les mollahs ont alors multiplié les improvisations passant d’un allié à un autre, de l’apaisement à la menace d’une guerre nucléaire, pour forcer Macron et Merkel à renoncer à leur adhésion à Trump. Ils ont échoué car ces deux dirigeants et deux premières puissances européennes ont annoncé que l’accord sur l’arrêt des activités nucléaires du régime ne suffisait pas à garantir leur sécurité et qu’ils allaient soutenir l’adoption de nouvelles sanctions contre les mollahs ! L’Italie, principale partenaire économique européenne des mollahs a alors rejoint le concert des critiques à leur encontre, laissant envisager l’adhésion tout entière de l’Europe aux sanctions souhaitées par Trump.

Le ministre des AE du régime a annoncé qu’il partait à Moscou dans l’espoir d’obtenir le soutien de Poutine.

Cette semaine, les mollahs devaient obtenir le soutien des Russes pour survivre. Rien n’était moins incertain. Ils devaient donc accentuer la guerre au Yémen ou provoquer une guerre entre Israéliens et les Palestiniens. Ils devaient agir vite car la mobilisation pour Reza Shah avait permis de constater la vigueur de l’opposition et par ailleurs des centaines de milliers d’ouvriers en grève espéraient bénéficier du soutien des Européens, désormais anti-régime, à l’occasion du 1er mai !

Le 2 mai, la situation des mollahs pouvait s’aggraver en raison de la journée de l’Instituteur car les instituteurs iraniens vivent sous le seuil de la pauvreté. Leur situation pouvait aussi aggraver car en raison de la journée des déshérités car tous les Iraniens se considèrent ainsi ! Les mollahs devaient déstabiliser le monde pour être entendus avant qu’ils soient déstabilisés par leurs problèmes intérieurs. Ils n’ont pas pris garde à leurs ennemis extérieurs et ont subi une défaite encore plus grande !

18.05.2018

 

Semaine en images n°532 :
Terres brûlées et soldats de papier !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences| Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacités, les failles et les lieux de stockages de ces engins. Trump a aussi vaincu la résistance des Européens en prenant John Bolton comme ministre des Affaires étrangères.

Les mollahs en très grand danger ont multiplié les tentatives osées pour déstabiliser la région afin de déstabiliser leurs ennemis. Ils ont excédé les Européens, mais aussi la Russie et la Syrie qui pouvaient en souffrir. Ces deux pays ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos !

La semaine dernière (14-21 avril 2018 | 24-31 Farvardin 1397), les mollahs privés de leur principale arme (leur terrorisme) devaient se montrer forts pour sauver leur peau avant que Macron et Merkel finalisent l’entente sur de nouvelles sanctions à leur encontre. Ils ont comme toujours misé sur un effort de leurs subalternes sans leur proposer une sortie de secours en cas d’échec, réservant cette option pour eux-mêmes et leurs familles. Leurs subalternes ont refusé de se sacrifier.

La panique interne s’est amplifiée. Ils ont craint de manquer de miliciens à l’occasion de la journée de l’armée, ils ont misé sur les miliciens vétérans ! Mais ces derniers ont montré qu’ils préféraient la contre-révolution en jouant lors de leur défilé l’hymne patriotique en vigueur sous le Shah et en se constituant comme une formidable et décisive 5e colonne de l’opposition au sein du régime !

Les mollahs ont soupçonné les miliciens du ministère de l’Intérieur d’avoir laissé les miliciens de l’armée agir à leur guise pour préparer ce coming out contre-révolutionnaire ! Ils n’ont pu les convaincre de servir leur pouvoir, car ils ont laissé faire des manifestations très hostiles au régime à Kazeroun où des milliers de gens se disaient prêts à prendre les armes contre le régime !

Au même moment, Macron et Merkel ont souligné leur soutien à Trump. Les mollahs désespérés par les menaces qui venaient de toute part ont menacé les 5+1 de se lancer dans une fuite avant déstabilisatrice pour l’acquisition de l’arme nucléaire si les Européens aidaient Trump à les sanctionner pour leur tentative de déstabilisation de la région !

Cette semaine, Macron et Merkel devaient enfin rencontrer Trump. Les mollahs étaient très en danger. Le peuple était activement engagé contre eux. Ils manquaient de miliciens pour se défendre. Ils ont pris des décisions inattendues qui ont eu des conséquences encore plus inattendues !

10.05.2018

 
Semaine en images n°531 :
L’avènement d’une cinquième colonne surprenante et motivante au sein du régime

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacités, les failles et les lieux de stockages de ces engins. Il a aussi vaincu la résistance des Européens en prenant John Bolton comme ministre des Affaires étrangères.

Les mollahs en grand danger ont tenté de diviser leurs ennemis, mais ces tentatives ont soudé les Iraniens et ont intensifié leur lutte contre le régime. Les mollahs ont aussi tenté de séparer les Européens de Trump en leur proposant un accès aux réserves de gaz de l’Asie Centrale, mais les pays de l’Asie Centrale ont refusé de faire partie de leurs manœuvres politiciennes et de fait, les mollahs ont perdu tout intérêt aux yeux des Européens.

La semaine dernière (6 au 13 avril 2018 | 18-25 Farvardin 1397), les mollahs menacés par des sanctions européennes et une manifestation générale, ont intensifié leurs nuisances régionales au Yémen contre l’Arabie Saoudite et contre la stabilité du golfe Persique. Ils ont désespéré les Européens et aussi les Russes et les Chinois qui ont besoin d’un Moyen-Orient apaisé stable pour consolider des liens tissés dans la lutte contre Daesh.

Les mollahs ont aussi tenté de diviser le peuple en introduisant leurs slogans pour permettre à leurs faux opposants d’intervenir, mais ces derniers n’ont pas osé défier le peuple et la manifestation générale que l’on espérait a finalement eu lieu ! La panique de leurs financiers s’est décuplée ! Ils ont finalement dû empêcher les agents de change et les marchands de l’or de faire bénéfices pour éliminer leurs activités afin d’empêcher leurs compagnons financiers à fuir !

Alors que les mollahs étaient confrontés à des manifestations dans toutes les villes du régime, le Qatar a rejoint la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite pour dénoncer leur ingérence nuisible dans la région !

Washington a aussi profité d’une fausse accusation anglaise d’usage de gaz chimique par Assad pour bombarder les positions du régime des mollahs en Syrie. Grâce à la passivité des Russes et des Syriens et le soutien des Anglais et des Français, il a ainsi détruit l’immeuble « Glass House » situé à Al Qisa qui abritait le centre de programmation du commandement des actions terroristes du régime, réduisant gravement la capacité de nuisance des mollahs et des chefs Pasdaran !

Cette semaine (13-20 avril 2018 | 24-31 Farvardin 1397), les mollahs devaient subir les effets de cette frappe contre leur seule assurance vie et s’attendre à une vague de ruptures internes au sein de leur régime ! Manque de pot, ils devaient commencer la semaine en réunissant tous ceux qui avaient à présent envie de fuir à l’occasion de l’anniversaire de la révélation de l’islam à Mahomet. Puis, ils devaient rassembler leurs derniers miliciens fidèles d’abord en milieu de la semaine pour la journée de l’Armée (milice affectée à la défense du pays) et à l’occasion de l’anniversaire de la création de la milice ! Ils ont misé sur des manœuvres et manipulations pour diviser leurs nombreux ennemis et duper leurs derniers compagnons afin d’empêcher leurs ruptures. Ils ont déçu les leurs sans réussir à diviser leurs ennemis. Ils ont ainsi intensifié la contestation interne et aggravé leur isolement. Voici le récit en images d’une semaine explosive !

03.05.2018

 
Semaine en images n°529-530 :
La chute du château de verre !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacité, les failles et les lieux de stockages des missiles des mollahs. Les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont aussi annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime.

Les autres Européens, dont les Français, se sont retrouvés obligés d’annoncer des sanctions tout en espérant un arrangement en faveur des mollahs pour préserver leurs contrats avantageux avec ces derniers. Les mollahs ont profité de ce laxisme pour intensifier leur terrorisme et ont eux-mêmes encouragé l’adoption de sanctions contre leur régime. Le 16 mars dernier, les 3 plus grandes puissances européennes se sont finalement prononcées en faveur de nouvelles sanctions après un regain d’actions hostiles au régime durant la fête du feu !

Il y a deux semaines (17 au 24 mars 2018 | 26 Esfand 1396 au 04 Farvardin 1397), Trump a profité de cette annonce pour assurer les Iraniens de son soutien dans des vœux de Norouz alliant l’éloge de leur identité persane et la promesse des sanctions pour neutraliser le ralentissement d’internet imposé par les mollahs pour les empêcher de faire connaître leur mouvement et obtenir des aides pour atteindre leur objectif.

Les Iraniens ont adoré ce message et ont immédiatement renforcé leur hostilité au régime ! À Ispahan, des milliers d’agriculteurs ruinés par le régime ont montré qu’ils étaient prêts à se battre !

Trump espérait alors le même engagement anti-régime du côté de ses alliés. Les Saoudiens ont demandé un sommet arabo-américain au Camp David pour en finir avec le régime. Mais les Européens n’ont rien fait. Trump a alors remplacé son conseiller en sécurité Mac-Master par John Bolton pour insinuer qu’il pouvait préférer la guerre aux sanctions et se passer du soutien des Européens. Pour rester dans le jeu, ces derniers ont confirmé à contrecœur leur décision de sanctionner les mollahs. Les Russes ont profité de cette hésitation pour améliorer leur place dans le processus en promettant d’aider Bolton et en votant en faveur des pressions onusiennes sur les violations des droits de l’homme par les mollahs.

Les mollahs ont remis en cause l’appartenance des Arabes iraniens (réfugiés en Iran depuis des siècles et complètement assimilés) à la nation iranienne pour les inciter à renier cette appartenance et défiler avec des slogans indépendantistes pour la séparation de la région pétrolière de Khouzestan, où ils résident majoritairement, pour convaincre les Iraniens qu’ils provoqueraient l’éclatement de leur pays en continuant leur protestation. Mais les Arabes iraniens ont déçu les mollahs en affirmant leur identité iranienne et en renforçant leur contestation contre le régime !

La semaine dernière, du 23 au 30 mars 2018 | du 03 au 10 Farvardin 1397, les mollahs, déstabilisés par ces annonces et l’intensification de la contestation populaire, ont vite tenté conclure des accords avec le Turkménistan de l’Azerbaïdjan pour l’acheminement de leur pétrole et leur gaz vers l’Europe sans passer par la Russie qui s’enrichit à leurs dépens afin de détourner les Européens de Trump. Les Européens ont ralenti les démarches pour sanctionner les mollahs, mais le Turkménistan et l’Azerbaïdjan n’ont pas accepté, car ils allaient perdre de nombreux autres marchés. Les mollahs ont perdu tout intérêt aux yeux des Européens. Ces derniers ont annoncé qu’ils allaient sous peu définir leurs nouvelles sanctions contre les mollahs !

Les mollahs ont tenté d’envenimer les relations avec les Arabes iraniens pour les excéder, mais ces derniers ont durci davantage leur action anti-régime !

Le régime a basculé dans la panique, car sa fin lui semblait proche. La demande de l’or et du dollar a augmenté. Les dirigeants du régime ont alors augmenté le prix vente de ces deux produits pour empêcher leurs serviteurs d’en acheter et de fait garder les réserves du régime pour eux-mêmes (pour une fuite difficile en raison de leur isolement).

En fin de la semaine dernière, les mollahs, désespérés par leur conflit avec le monde, le peuple et leurs propres derniers serviteurs, ont tenté de faire reculer leurs ennemis étrangers en menaçant, via l’intervention du chef des Houthis sur une chaine française, d’augmenter leur aide balistique aux Houthis pour l’invasion de l’Arabie Saoudite. Les Saoudiens ont riposté via les médias russes en affirmant qu’ils avaient des missiles chinois capables de raser Téhéran. Les mollahs effrayés par cet axe inédit (Riyad-Moscou-Pékin) ont cessé de provoquer les Saoudiens.

Ils ont alors tenté d’agiter le Moyen-Orient et casser la coalition entre Israël et l’Arabie Saoudite en provoquant des confrontations lors de la marche palestinienne vers Gaza pour déclencher une intifada contre les Israéliens. Les dirigeants palestiniens ont tenté d’arrêter ces provocations, mais ils n’y sont pas arrivés. Les Israéliens ont riposté. Toutes les grandes puissances ont adopté une position neutre pour empêcher l’escalade souhaitée par les mollahs ! Ces derniers vaincus par l’esquive de tous les pays au monde n’ont pas prendre la défense des Palestiniens qu’ils avaient si bien manipulés !

Depuis, nous avons assisté à deux semaines d’efforts des mollahs pour provoquer une nouvelle crise régionale ou trouver un pays refuge. Ils n’y sont pas arrivés, mais ont augmenté le nombre et la détermination de leurs ennemis internationaux et iraniens. Leur isolement grandissant a permis à leurs ennemis de les attaquer sur de nombreux fronts. Voici le récit en images et l’analyse des efforts et terribles échecs des mollahs qui les ont peu à peu privés de toutes leurs armes.

26.04.2018

 
Semaine en images n°528 :
Dans l’oeil du cyclone !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers . Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacité, les failles et les lieux de stockages des missiles des mollahs. Les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont aussi annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime.

Les autres Européens, dont les Français, se sont retrouvés obligés d’annoncer des sanctions tout en espérant un arrangement en faveur des mollahs pour préserver leurs contrats avantageux avec ces derniers. Les mollahs ont profité de ce laxisme pour intensifier leur terrorisme et ont eux-mêmes encouragé l’adoption de sanctions contre leur régime. Le 16 mars dernier, les 3 plus grandes puissances européennes se sont finalement prononcées en faveur de nouvelles sanctions après un regain d’actions hostiles au régime durant la fête du feu !

La semaine dernière (17 au 24 mars 2018 | 26 Esfand 1396 au 04 Farvardin 1397), Trump a profité de cette annonce pour assurer les Iraniens de son soutien dans des vœux de Norouz alliant l’éloge de leur identité persane et la promesse des sanctions pour neutraliser le ralentissement d’internet imposé par les mollahs pour les empêcher de faire connaître leur mouvement et obtenir des aides pour atteindre leur objectif.

Les Iraniens ont immédiatement renforcé leur hostilité au régime ! À Ispahan, des milliers d’agriculteurs ruinés par le régime ont montré qu’ils étaient prêts à se battre !

Trump espérait alors le même engagement anti-régime du côté de ses alliés. Les Saoudiens ont demandé un sommet arabo-américain au Camp David pour en finir avec le régime. Mais les Européens n’ont rien fait. Trump a compris qu’ils utilisaient leur annonce pour parvenir à un arrangement avec les mollahs. Il a alors remplacé son conseiller en sécurité Mac-Master par John Bolton pour insinuer qu’il pouvait préférer la guerre aux sanctions et se passer du soutien des Européens. Pour rester dans le jeu, ces derniers ont confirmé à contrecœur leur décision de sanctionner les mollahs !

Trump a alors sanctionné le ralentissement de la vitesse de connexion à l’internet en Iran en ciblant la section cyberterrorisme du régime. Les Anglais ont rejoint la guerre économique, juridique et psychologique de Trump contre les mollahs en insistant sur leur cyberterrorisme. Les Russes ont fait mieux en promettant d’aider Bolton et en votant en faveur des pressions onusiennes sur les violations des droits de l’homme par les mollahs. Les Français et les Allemands ont rejoint le mouvement en cherchant à se distinguer en annonçant des rencontres mardi en Israël pour la journée d’hommages aux victimes de la Shoah et pour discuter de l’avenir des mollahs (qui se définissent par la négation de ce génocide) ! Cela sentait le règlement de comptes...

Cette semaine, 24 au 31 mars 2018 | 04-11 Farvardin 1397, les mollahs étaient dans l’œil du cyclone ! Ils risquaient des sanctions de toute part ! Ils pouvaient aussi perdre leurs derniers serviteurs ! Ils devaient trouver un scénario pour intimider leurs ennemis ou trouver des alliés pour fuir. Ils ont tout tenté et ont tout échoué s’enfonçant ainsi par leur propre faute dans l’œil du cyclone !

11.04.2018

 
Semaine en images n°526-527 :
Pas de Nouvel An pour les mollahs !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski , car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux islamistes Houthis de Yémen en leur fournissant des missiles pour attaquer l’Arabie Saoudite qui les combat et in fine pour s’emparer de l’entrée du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens et les Asiatiques contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus.

Mais ces pays, effrayés par le terrorisme des mollahs, s’y sont opposés par une résolution en faveur d’un embargo du Yémen sans les accuser pour autant afin de ne pas perdre les contrats qu’ils leur proposaient.

Les mollahs ruinés par leurs démarches et leurs échecs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Les miliciens se sont révoltés et ont permis le soulèvement du peuple en décembre dernier. Incapables de riposter sans leurs miliciens, les mollahs ont intensifié le soutien aux Houthis !

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant par le FATF (GAFI) leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme ! Les hommes d’affaires du régime ont commencé à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime qui semblait condamné en raison de son incapacité à se faire respecter.

Les mollahs ont alors menacé directement la sécurité du détroit d’Ormuz ! Les Européens ont alors accepté de rencontrer les Américains dans une dizaine de jours à Berlin pour parler de nouvelles sanctions contre les mollahs !

La semaine dernière (1er au 8 mars 2018 | du 3 au 10 Esfand 1396), les mollahs ont invité les Français en Iran en faisant semblant qu’ils voulaient plier pour diviser le bloc européen et in fine refuser tout compromis afin de provoquer une crise pour déstabiliser la région, mais ils n’y sont pas parvenus. La panique de leurs associés s’est amplifiée.

Au même moment, les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime. Trump a aussi créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, l’unique partenaire balistique des mollahs qui pouvait vendre les informations sur leur capacité, leur faille ou encore leurs dépôts pour garantir sa survie.

Les associés financiers des mollahs ont davantage désespéré ! Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance en annonçant une loi pour saisir les biens confisqués illégalement par les dirigeants du régime. Ils ont aussi remis en question Rohani et ses ministres de l’Emploi et de l’Agriculture pour plaire à des milliers d’ouvriers et d’agriculteurs qui étaient dans les rues pour réclamer la fin du régime. Ils ont aussi visé le ministre des Transports pour annuler l’achat des Airbus afin de fâcher les Européens et les éloigner définitivement du régime.

La situation devait d’abord se dégrader d’abord mardi soir avec la fête du feu qui est une occasion traditionnelle pour contester le régime, puis après le vendredi 16 mars au moment de la réunion de Berlin. Voici le récit palpitant de cette semaine et la suivante qui ont plongé les mollahs dans un désespoir sans limites !

07.04.2018

 
Semaine en images n°523-524-525 :
3 semaines de défaites et de bluffs !

Les mollahs sont arrivés en 1979 (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à au pouvoir grâce à la diplomatie pétro-islamiste des Américains conçue par Brzezinski en évinçant les pions islamistes iraniens de ce dernier. De Carter à Obama (en passant même par Reagan), Brzezinski a tenté de rétablir le modèle initial en sanctionnant les mollahs, sans jamais réussir. Il a essayé de s’en sortir avec les printemps arabes ou avec Daesh. Ces projets n’ont pas réussi. Ils ont aussi effrayé tous les dirigeants du Moyen-Orient et les ont poussés dans les bras de Poutine. Les mollahs ont aussi profité de ce désordre pour s’infiltrer dans Daesh grâce à leurs réseaux terroristes au Moyen-Orient et surtout en Afghanistan.

En 2016 (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à , les pétroliers qui finançaient le gourou Brzezinski ont mis fin à son influence en apportant leur soutien à Trump qui avait toujours critiqué les effets de ses projets. Dès son arrivée à la Maison-Blanche, il a tenté de remédier à 38 ans de fuite en avant en s’attaquant aux islamismes soutenus par ses prédécesseurs et aux mollahs qui s’étaient incrustés dans ce projet islamiste raté et restaient au pouvoir grâce à leur terrorisme et la récupération des réseaux qui avaient échappé à Brzezinski et ses apprentis sorciers.

C’est ainsi qu’en 2017 (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à , les mollahs se sont retrouvés en très grand danger. Ils ont alors tenté d’obtenir le soutien des Européens en leur vendant du pétrole à très bas prix et en leur achetant n’importe quoi à des prix très élevés, mais l’Europe manquait de force face à Trump pour les aider. Ils ont alors apporté un plus grand soutien aux terroristes de Daesh en Syrie et en Afghanistan et aussi aux Houthis de Yémen pour contrôler l’entrée du golfe Persique et l’accès à 60% des réserves mondiales. Ce choix leur avait valu leur maintien par les grandes puissances sur la liste noire du FATF ou GAFI et le blocage des investissements nécessaires à leur survie.

Confrontés à un risque de pénurie alimentaire (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à , ils avaient réduit la consommation en ruinant leurs serviteurs les plus fidèles de la milice et en augmentant démesurément tous les prix. Le résultat avait été la rupture de leurs miliciens et leur soulèvement contre le régime qui avait permis le début d’un mouvement contre la révolution et explicitement en faveur du rétablissement de la monarchie laïque et progressiste des Pahlavi. Les riches du régime avaient aussi paniqué et avaient tenté de se débarrasser de leurs avoirs et leurs rials pour acheter des dollars fuir.

Washington s’était réjoui et avait soutenu le peuple (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à , mais les Européens notamment les Français, complices de Brzezinski et ses projets irréalistes durant des décennies, s’étaient gardés de soutenir le peuple par peur de la disparition des contrats lucratifs acceptés par les mollahs aux dépens des Iraniens. Mais le mouvement avait persisté malgré une vague de froid qui a paralysé le pays et persiste encore avec des dizaines de grèves et de manifestations chaque jour et des actions armées nocturnes contre les bases du régime grâce à la passivité délibérée de ses derniers miliciens de rang moyen.

Dernièrement (10-17 février 2018 | 18-25 Bahman 1396 | semaine en images n°522 | Les mollahs, désespérés par leur incapacité à contrer Washington et l’implosion de leur régime, ont tenté un deal avec Washington via les Kurdes puis un deal contre Washington avec l’aide des Français. Ces derniers ont proposé la visite de son m-ae à Téhéran à condition (de la fin du programme balistique des mollahs et de leur ingérence au Yémen, dans l’espoir de marquer des points sur la scène internationale et préserver les mollahs et leurs contrats avec eux !

26.03.2018

 
Semaine en images n°522 :
Le dernier anniversaire du régime !

Récemment, les mollahs avaient été accusés d’aider les terroristes Houthis et s’étaient retrouvés menacés d’être sanctionnés à l’issue des rencontres prévues entre m-ae américain et ses homologues d’EU3.

Les gens du régime avaient paniqué et avaient tenté de se débarrasser de leurs avoirs et acheter des dollars pour fuir... Le gouvernement désigné par le clergé avait alors tenté un deal avec Washington via les Kurdes puis un deal contre Washington avec l’aide des Français.

La France avait accepté la proposition en annonçant la visite de son m-ae à Téhéran dans l’espoir de marquer des points sur la scène internationale et aussi pour préserver ses contrats d’achats pétroliers bon marché avec les mollahs ! Mais sous la pression des Anglais et des Allemands, elle n’avait s’était alignée sur la position américaine en acceptant la formation d’un groupe pour réviser les contraintes imposées aux mollahs.

Le président français avait tenté de relancer son projet en formulant secrètement 3 pré-conditions à sa visite (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à une table ronde -comme ils l’avaient formulée eux-mêmes avec les Américains et les Saoudiens pour régler leurs différents). Les mollahs avaient gardé secrète la demande qui leur semblait humiliante et l’avait rejetée en affirmant que personne ne pouvait leur dicter leur conduite et qu’ils développeraient tous les missiles qu’ils voudraient. Mais ils n’avaient pas annulé le projet de la visite de Macron, espérant sans doute négocier un deal sur leur idée de la table ronde afin d’imposer leur ingérence comme un droit et pour sortir de leur isolement et mettre fin aux pressions économiques et humanitaires qui les condamnent même à court terme.

La semaine dernière, 03-10 Février 2018 (que nous avons analysée pour nos auditeurs en Iran, sans traduire nos conclusions en français), les cadres miliciens qui espèrent participer à la chute du régime pour sauver leur peau avaient d’emblée révélé les trois conditions humiliantes de Macron et l’absence d’annulation de son voyage pour souligner la détresse des mollahs et avaient réussi à provoquer une très grande panique. Le gouvernement avait dû augmenter le taux du dollar pour dissuader leur ruée vers le dollar, mais n’avait pu l’endiguer...

07.03.2018

 
Semaine en images n°520 :
Le point de vue d’Akila !

Récemment, les mollahs avaient été accusés d’aider les terroristes Houthis et s’étaient retrouvés menacés d’être sanctionnés à l’issue des rencontres prévues entre m-ae américain et ses homologues d’EU3.

Les gens du régime avaient paniqué et avaient tenté de se débarrasser de leurs avoirs et acheter des dollars pour fuir... Le gouvernement désigné par le clergé avait alors tenté un deal avec Washington via les Kurdes puis un deal contre Washington avec l’aide des Français.

La France avait accepté la proposition en annonçant la visite de son m-ae à Téhéran dans l’espoir de marquer des points sur la scène internationale et aussi pour préserver ses contrats d’achats pétroliers bon marché avec les mollahs ! Mais sous la pression des Anglais et des Allemands, elle n’avait s’était alignée sur la position américaine en acceptant la formation d’un groupe pour réviser les contraintes imposées aux mollahs !

La lutte contre le régime avait alors été renforcée par de nombreuses grèves et aussi des attaques fortes contre les mollahs en plein jour avant un grand rassemblement des retraités de la fonction publique et de la milice à Téhéran pour lancer une grève générale contre le régime !

Les mollahs avaient tenté de sauver leur peau en sacrifiant certains collaborateurs dans le cadre de leur adhésion à la Convention de Palerme. Les gens en danger s’étaient braqués et avaient imposé aux mollahs de rejeter tout apaisement et tout flirt avec les Français (du Quai d’Orsay) qui avaient à présent besoin de n’importe quel succès pour assurer leur propre carrière.

Les mollahs avaient dû renoncer à leur fausse alternative d’une alliance avec la France pour faire front contre le monde entier. Ils avaient commencé à rejeter la responsabilité de leurs erreurs sur leurs collaborateurs pour atténuer les charges à leur propre encontre après leur débâcle prévisible !

Trump avait alors confirmé son intention de s’opposer à leurs projets de déstabilisation dans son discours à Davos, puis il avait annoncé une rencontre lundi avec les autres membres du Conseil de Sécurité pour en parler et définir une ligne d’action commune !

Cette semaine, le régime devait basculer déjà dans l’horreur le dimanche 28 janvier 2018 en raison du rassemblement hostile des millions de retraités iraniens. Sa situation devait se dégrader le lundi 29 janvier, après la rencontre prévue entre les grandes puissances au Conseil de Sécurité ! Enfin, sa situation devait encore se dégrader davantage le mardi 30 janvier après le 1er discours de Trump sur l’état de l’union.

06.03.2018

 
Iran vs Mollahs | 11.02.18 :
Anniversaire raté de la révolution :
Images osées d’un boycott monstreux

Ce matin, à 10h, les mollahs n’avaient pas d’images pour la mobilisation monstrueuse qu’ils annonçaient pour le 39e anniversaire de la révolution qui les avait portés au pouvoir.

La raison de ce retard était une météo changeante qui les avait empêchés de préparer leurs images d’archive pour y incruster Trump et les slogans d’actualité au lieu de ses prédécesseurs qui s’y trouvaient ! Le ciel s’est révélé un peu nuageux et on a eu des images de ce genre, mais avec des défauts inattendus !

11.02.2018

 
Iran vs Mollahs | 11.02.18 :
Anniversaire raté de la révolution & + !

Aujourd’hui, les mollahs et leurs complices doivent fêter le 39e anniversaire de la révolution islamique. Les Iraniens avaient annoncé la volonté de manifester avec le drapeau national iranien, le drapeau de la royauté pour montrer au monde entier qu’ils veulent la chute de la République islamique et la punition de ces chefs ou ses instigateurs.

11.02.2018

 
Iran vs Mollahs | 08.02.18 : Estocades !

La lutte continue en Iran. Les jeunes défient le régime en plein jour et la miliciens de base montrent leur unité avec le peuple en se gardant d’intervenir.

08.02.2018

 
Semaine en images n°518-19 :
France-Iran : Dernières étreintes sur les poubelles de l’histoire !

Les mollahs arrivés au pouvoir en marge de la stratégie islamiste des grands décideurs pétroliers américains se sont retrouvés en difficulté quand ces grands décideurs pétroliers américains, échaudés par l’échec de leurs printemps arabes (islamistes) et de leur dernière trouvaille, Daesh, ont chargé Trump d’y mettre fin.

Les mollahs et leurs associés les chefs Pasdaran en danger ont alors récupéré Daesh et ont réactivé d’autres organes terroristes qu’ils entretenaient pour résister à Trump. Ils ont manqué d’argent. Les sanctions ont augmenté. Les mollahs & associés ont davantage manqué d’argent. Ils ont dû augmenter les prix pour diminuer le pouvoir d’achat des Iraniens surtout de leurs propres partisans pour éviter de se retrouver rapidement en pénurie.

Les mollahs et leurs associés Pasdaran ont aussi détourné les épargnes de leurs collaborateurs de base pour limiter leur pouvoir d’achat. Ces gens se sont révoltés avec des slogans hostiles à cette décision. Les mollahs et leurs associés les ont ignorés et ont continué leur fuite en avant. Les miliciens trahis ont finalement rompu avec le régime peu avant la journée de fidélité à son principe fondateur du régime, en manifestant avec des slogans en faveur des Pahlavi qui jouissent d’une grande popularité en Iran.

Le peuple ravi par cette contre-révolution les a rejoints. Le régime a été dépassé par le soulèvement de ses sbires et du peuple. Washington était ravi. Les Arabes du golfe Persique aussi.

Mais l’Europe avait censuré l’existence de ce soulèvement et avait choisi de laisser mourir le soulèvement car les mollahs ne cessent de lui accorder de bon prix pour tout afin qu’elle les préserve.

Mais le soulèvement avait continué malgré cette inimitié et une vague de froid très inhabituelle en Iran. À défaut de pouvoir manifester contre le régime, des milliers d’Iraniens avaient cessé le travail dans les secteurs clefs de l’économie du régime pour en venir à bout.

De nombreux États européens avaient douté de la viabilité des mollahs. Certains États avaient commencé à critiquer leurs alliés enturbannés ou permettre la diffusion de nouvelles du soulèvement, mais la France avait renforcé sa censure et son soutien aux mollahs en diffusant leurs fausses nouvelles rassurantes.

Voici un petit résumé de ses efforts français. Vous jugerez si cela vaut la peine de continuer et s’il convient de nous aider à renverser les mollahs dans le but de limiter le nombre des morts en Iran et pour éviter que la France vogue tel le Titanic joyeusement vers son naufrage et qu’elle n’en reste qu’une triste légende.

06.02.2018

 
Iran vs Mollahs | Rapport de (23 au 28).01.18 :
Les cheminots paralysent les mollahs, les feux les terrorisent !

Les Iraniens devaient se mobiliser ce dimanche à Téhéran pour lancer un mouvement de grève nationale contre le régime, mais le froid (ennemi des va-nu-pieds) à retarder cette action. Ce n’est que partie remise, car les Iraniens avaient bien préparé le terrain et continuent à faire grève et à manifester contre le régime. Voici un petit résumé de leurs actions au cours des derniers jours.

29.01.2018

 
Iran vs Mollahs | 29.01.18 :
La grande manif. du 28 annulée par la neige

Tous les retraités des fonctions publiques et des forces armées avaient annoncé une grande manifestation hier (dimanche) à Téhéran contre le régime. Cette manifestation qui devait profiter de soutien de milliers d’ouvriers en grève dans différents secteurs économiques du pays pour déboucher sur une grève générale a été empêchée par une nouvelle vague de froids et d’importantes chutes de neige samedi à Téhéran et toute la partie nord et la partie ouest du pays.

Les mollahs ont parlé de leur joie à la vue de cette neige bien qu’elle paralyse tous leurs transports y compris les transports aériens dans 50% des zones urbaines, mais nous parions qu’ils ne sont pas aussi ravis qu’ils le prétendent car le reste du pays continue néanmoins à lutter contre eux. Nous vous en ferons part dans notre rapport de ce soir.

29.01.2018

 
Semaine en images n°516-17 :
Zigzags & Naufrage !

Les mollahs arrivés au pouvoir en marge de la stratégie islamiste des grands décideurs pétroliers américains se sont retrouvés en difficulté quand ces grands décideurs pétroliers américains, échaudés par l’échec de leurs printemps arabes (islamistes) et de leur dernière trouvaille, Daesh, ont chargé Trump d’y mettre fin.

Les mollahs et leurs associés les chefs Pasdaran en danger ont alors récupéré Daesh et ont réactivé d’autres organes terroristes qu’ils entretenaient pour résister à Trump. Ils ont manqué d’argent. Les sanctions ont augmenté. Les mollahs & associés ont davantage manqué d’argent. Ils ont dû augmenter les prix pour diminuer le pouvoir d’achat des Iraniens surtout de leurs propres partisans pour éviter de se retrouver rapidement en pénurie.

Les mollahs et leurs associés Pasdaran ont aussi détourné les épargnes de leurs collaborateurs de base pour limiter leur pouvoir d’achat. Ces gens se sont révoltés avec des slogans hostiles à cette décision. Les mollahs et leurs associés les ont ignorés et ont continué leur fuite en avant. Les miliciens trahis ont finalement rompu avec le régime peu avant la journée de fidélité à son principe fondateur du régime, en manifestant avec des slogans en faveur des Pahlavi qui jouissent d’une grande popularité en Iran.

Le peuple ravi par cette contre-révolution les a rejoints. Cela fait près de 3 semaines qu’ils harcèlent et malmènent les mollahs. Voici le résumé au jour le jour des deux premières semaines de cette lutte contre le régime ainsi que des décisions prises par les mollahs pour la neutraliser les effets qu’elles ont provoqués.

25.01.2018

 
Iran vs Mollahs | (18-19-20-21-22).01.18 :
Actions avant l’assaut final (J-7)

L’Iran et en feu et des miliciens fidèles au régime se font rares. Les manifestations avaient été ralenties par le froid, mais le bon, temps revient pour l’Iran et les combattants sa libération. Les grèves continuent à paralyser le régime. Il y a chaque soir de nombreuses attaques au cocktail Molotov contre les bâtiments officiels. Il y a désormais des exécutions d’agents fidèles au régime. On parle d’une vague décisive à partir dimanche prochain 8 Bahman 1396 / 28 janvier 2018. Voici un rapport sur les actions menées contre le régime les 18, 19, 20 et 21 janvier 2018.

23.01.2018

 
Iran vs Mollahs | Rapport de (15-16-17).01.18 :
Les Iraniens ont allumé des feux contre le froid qui paralyse leur lutte anti-régime

De nouvelles grèves ont renforcé la lutte des Iraniens contre le régime des mollahs au cours des trois derniers jours alors que le froid empêche la majorité des Iraniens de manifester ou frapper le régime et ses équipements. Mais ils manifestent là où le temps le permet ! Voici un rapport sur ces actions menées contre le régime les 15, 16 et 17 janvier 2018.

18.01.2018

 
Iran vs Mollahs | Rapport de (12+13+14).01.18 :
Plus de grèves paralysantes

Mauvaises nouvelles pour les mollahs et leurs associés : les grèves contre leur régime se multiplient pour les paralyser et les anéantir. L’absence d’intervention policière comme par le passé est la preuve de la participation des policiers à cette lutte contre le régime. Voici un rapport sur ces grèves et d’autres actions menées contre le régime les 12, 13 et 14 janvier 2018.

15.01.2018

 
Iran vs Mollahs | Rapport de (11+12).01.18 :
Le régime paralysé par des grèves et 3 rois !

En début de semaine la lutte contre le régime avait été handicapée par une importante vague de froid en Iran. Mais la lutte avait repris en milieu de la semaine avec des manifestations, des grèves et des sabotages. Mercredi soir, dans notre dernier rapport, nous avions annoncé un appel à manifester pour ce vendredi dans toutes les villes du pays et lors d’un match de foot Derby à Ispahan.

La lutte a continué depuis et elle s’est même renforcée avec la poursuite et l’extension des grèves dont celles des camions d’approvisionnement des Raffinerie d’Ispahan et de Zanjan.

La production de l’électricité du régime est désormais handicapée par cette grève des conducteurs de citernes et aussi celle de la centrale électrique du régime à Yazd ! Les mines iraniennes de fer ont aussi rejoint la lutte contre le régime ainsi que les ouvriers de l’usine ferroviaire Zagros. Les retraités de l’enseignement d’Ispahan ont aussi apporté leur soutien à la lutte du peuple iranien !

Mais le régime a réduit l’activité d’internet de 90 %, c’est pourquoi les images arrivent tardivement. Voici des témoignages et quelques images qui nous sont parvenues depuis jeudi sur d’autres fronts de lutte des Iraniens pour leur liberté.

13.01.2018

 
Iran vs Mollahs | Rapport de 8-9-10.01.18 :
Des grèves, des manifs et du feu !

Il y a une semaine, des tempêtes de neige avaient paralysé le pays et freiné la lutte contre le régime dans de nombreuses régions. Mais la contre-révolution anti-mollahs était restée très forte dans le sud du pays notamment à Ahwaz. Par ailleurs, les ouvriers et les commerçants de nombreuses régions avaient rejoint la contestation en faisant grève.

Depuis deux jours, la vague de froid a commencé à se dissiper et les actions hostiles au régime ont repris peu à peu dans les régions concernées. On assiste aussi à plus de manifestations dans le sud du pays et enfin à de nouvelles grèves très pénalisantes pour le régime à bout de souffle des mollahs. Voici un rapport sur journées de mardi 9 et mercredi 10 janvier 2018.

11.01.2018

 
Iran-Mardi 09.01.18 | Rapport Explosif :
Le feu couve sous la glace !

Depuis 3 jours, les médias français annoncent de la fin ou l’essoufflement de la contestation politique en Iran. Certains vont plus loin en niant la nature contre-révolutionnaire de ce mouvement. Mais tous oublient de préciser que depuis 3 jours, toues les régions contestataires sont sous d’impressionnantes couches de neige qui les ont coupées du reste du pays et empêchent les habitants de se déplacer. Le feu couve sous la glace !

09.01.2018

 


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