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Iran – Israël : Bush cherche à relancer la polémique Le président américain George Bush qui prépare son arrivée au Moyen-Orient a décidé d’accorder un entretien à la radio militaire israélienne afin de préciser que les Etats-Unis soutiendraient Israël « sans réserve » s’il était attaqué par l’Iran. Il a également rappelé qu’il fallait prendre au sérieux les menaces formulées par Ahmadinejad d’« effacer Israël de la carte ». Ces propos donnent un avant-goût de la fin du mandat présidentiel de Bush. Amérique – Iran : La drague infernale ! Fin décembre 2007, poussé par les Etats-Unis, le président irakien Jalal Talabani a signifié à Téhéran son intention de remettre en cause l’Accord d’Alger qui avait mis un terme aux différents frontaliers entre l’Iran et l’Irak en 1975. Pétrole : Qui dépend du Golfe Persique ? Selon le Wall Street Journal, les Etats-Unis, le Japon et l’Europe sont les principaux clients du pétrole provenant du Golfe Persique. A ce groupe, il convient d’ajouter la Chine et l’Inde, deux autres grands consommateurs d’énergie. Iran : La Russie déploie ses missiles contre les américains La Russie doit livrer à l’Iran 5 batteries de missiles sol-air S-300 PMU-1, a déclaré le 27 décembre 2007 le ministre iranien de la Défense sans préciser la date des livraisons. Le lendemain, Alexandre Lossioukov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, a confirmé la nouvelle en précisant que la Russie aidait l’Iran à renforcer son système de défense antiaérienne. Cette livraison a deux aspects ; économiquement, Moscou se débarrasse de ses vieux stocks d’armes et géopolitiquement, il prend position contre Washington. Iran : Vitol et un embargo sur l’essence téléguidé par Washington Vitol, courtier britannique en pétrole basé à Rotterdam et principal fournisseur de carburant (et kérosène) du régime des mollahs, a menacé de mettre un terme à son contrat d’approvisionnement. | Décodages | Courrier Int. | Gazeta : L’assassinat de Poutine vu de Washington Par Alexandr Artemiev | Dans le cadre d’une analyse prospective, un think-tank américain envisage un scénario politique du futur de la Russie pour le moins inédit : l’actuel maître du Kremlin serait la victime d’un meurtre commis le soir du Noël orthodoxe. Iran : Vers une résolution mais n’importe laquelle ! Le chef de la diplomatie américaine Condoleezza Rice a indiqué que des « divergences tactiques » séparaient toujours les six grandes puissances engagées dans les discussions sur le programme nucléaire iranien. Selon elle, il y aurait aussi bien des divergences sur le calendrier que sur le contenu de la résolution à venir... Irak : Les Etats-Unis changent d’avis et accusent à nouveau les mollahs Au cours des deux derniers mois, les Etats-Unis ont coup sur coup pris deux initiatives pour faciliter le dialogue avec Téhéran. Le 19 novembre, le Général de division James Simmons, l-’un des principaux chefs du commandement américain en Irak, avait affirmé que le régime des mollahs respectait sa promesse du 1er novembre d’-arrêter le flux d-’engins explosifs arrivant en Irak. Et par la suite le 3 décembre, un rapport des 16 services secrets américains a neutralisé les soupçons sur l’existence d’un programme nucléaire militaire en Iran. Les américains ont même encouragé leurs alliés arabes à faire des gestes d’apaisements en direction de l’Iran. Mais sous la pression des russes et des chinois, Téhéran a refoulé les américains après d’avoir accepté leur offre. Aujourd’hui, Téhéran tarde à donner une réponse pour fixer une nouvelle date de reprise de dialogue. L’Amérique a réagi de manière à prouver qu’elle peut fermer les fenêtres d’opportunité qu’elle avait ouvertes. Iran : La livraison du combustible russe relance la crise nucléaire Alors que dimanche soir, au cours de son point de presse hebdomadaire, le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères affirmait qu’il n’avait aucune nouvelle information sur Bouchehr, et lundi toutes les agences de presse ont affirmé que la Russie avait livré du combustible pour Bouchehr. D’un point de vue technique, il s’agit en fait d’un premier lot de combustible sur un total de 80 tonnes nécessaires pour la mise en marche de Bouchehr. Mais ce qui importe dans la crise nucléaire iranienne n’est pas l’aspect technique mais l’aspect géopolitique de l’affaire et ce jeu d’échec se joue à trois entre l’Iran, la Russie et les Etats-Unis. Cette livraison n’a pas la même signification pour les mollahs que pour les américains et modifie la relation entre ces deux camps. Iran : Washington sonne la cloche de ralliement pour ses arabes Le rapport américain de dévaluation de la menace nucléaire des mollahs n’en finit pas de nous surprendre. Si les mollahs rechignent à lâcher leur stratégie de base qui est de promouvoir la crise pour pousser l’adversaire à accepter un consensus made in mollahs, d’autres pays, principalement, les alliés arabes des Etats-Unis, ont compris que ce rapport trahissait la volonté de Bush d’arriver à un accord avec les mollahs avant la fin de son mandat. Ces Etats ont entrepris des opérations de séduction envers les mollahs avec l’accord de Washington. Iran : Les mollahs préparent une entente avec les Etats-Unis Le rapport du renseignement américain affirmant que l’Iran avait suspendu son programme nucléaire militaire depuis 2003 a suscité des mécontentements importants au niveau des britanniques, mécontentements qui ne sont compréhensibles si l’on méconnaît l’histoire contemporaine de l’Iran. Iran : Le projet ABM et le rapport de réévaluation du danger nucléaire C’est au cours de l’été 2007 que les américains ont intensifié leurs efforts pour le déploiement du bouclier anti-missile ABM au prétexte d’une menace balistique nucléaire iranienne. Les russes insistaient sur l’absence d’une telle menace et voyaient dans ce bouclier un projet hostile à leur pays. Le rapport américain de réévaluation du danger nucléaire iranien aurait normalement dû désactiver ce projet. Il n’en est rien : Tony Fratto, un porte-parole de la Maison-Blanche, a déclaré que les États-Unis avaient l’intention de poursuivre leur projet antimissile ABM ! Iran – Amérique : Jamais deux sans trois ! La décision des américains de réévaluer à la baisse la menace nucléaire des mollahs a réellement inquiété les pétromonarchies arabes qui ne sont pas dupes des intentions non déclarées des Etats-Unis de rechercher une entente avec cette république révolutionnaire qui cherche sans cesse à les déstabiliser. Iran : Le rapport américain pourrait relancer Ahmadinejad Ahmadinejad a déclaré que la publication du rapport américain sur le nucléaire iranien était une victoire pour la république islamique. En dehors des mollahs, El Baradei et la Russie ont également revendiqué une victoire de leurs thèses et nous avons consacré des articles à leurs cas. La victoire et des réajustements diplomatiques sont à la mode du côté des amis des mollahs, mais qu’en est-il de la république islamique après ce bouleversement inattendu ? Iran : Le rapport américain a rehaussé le rôle de la Russie Le rapport des services secrets américains a changé la donne et comme nous l’écrivions dans notre première et seconde analyses consacrées à son sujet, le rapport a remis en cause la possibilité d’adoption d’une nouvelle résolution par le Conseil de Sécurité. C’était l’objectif de cette publication : il profite pleinement à la Russie. Iran : Bush s’embrouille et embrouille son entourage Depuis que les américains ont diffusé un rapport pour casser l’urgence de la menace nucléaire iranienne, c’est la crise chez eux ! La Maison-blanche a été submergée de questions sur la contradiction existante entre les précédentes déclarations de Bush et ce rapport diffusé en décembre, car selon ses propres aveux d’aujourd’hui le rapport lui avait été présenté par Mike McConnell, le directeur des Services de renseignement nationaux, dès le mois d’août 2007 ! Rapport sur l’Iran : Réactions des alliés et des adversaires des Etats-Unis Le rapport conjoint des 16 services secrets américains a radicalement changé la donne dans la crise nucléaire iranienne, et semé la zizanie la plus totale chez ceux (experts ou Etats) qui s’étaient toujours alignés sur les précédentes accusations principalement formulées par les Etats-Unis et l’équipe Bush. Un tour des réactions s’impose et il est plutôt amusant. Nous les avons classées suivant deux ensembles : les réactions des alliés des Etats-Unis et les réactions des alliés et amis des mollahs. Iran : Deciphering a surprising report from US secret services © IRAN-RESIST.ORG – Dec 4, 2007 | According to a joint report by 16 different US intelligence services, Iran has stopped their nuclear arms program in the spring of 2003 following international pressures, but is continuing to enrich uranium. Yesterday it was for tomorrow. Now they announce that it’s for much later : According to this providential report, the continuation of Iran’s uranium enrichment program will permit it to develop a nuclear weapon between 2010 and 2015 ! Iran : Décodage d’un rapport inattendu des services secrets américains Selon un rapport conjoint des 16 agences de renseignements des Etats-Unis, l’Iran a arrêté son programme de fabrication de l’arme nucléaire au printemps 2003 suite aux pressions internationales exercées sur elle, mais continue à enrichir de l’uranium . Un jour c’est pour demain et ensuite on nous l’annonce pour beaucoup plus tard : selon ce rapport providentiel, la poursuite de l’enrichissement de l’uranium permettrait à l’Iran de développer l’arme nucléaire entre 2010 et 2015 ! Décodages... Iran : Les Six se réunissent pour évoquer de nouvelles sanctions Au lendemain d’une dernière réunion prévue pour le 30 novembre entre le Représentant des mollahs et Javier Solana à Londres, les représentants des Six se rencontreront le 1er décembre à Paris afin d’examiner le texte d’une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU envisageant des sanctions à l’encontre de l’Iran. Iran : Arrestation de 11 membres de la branche iranienne du PKK Les Pasdaran ont arrêté onze membres d’une cellule du groupe terroriste Pejak, l’antenne iranienne des PKK. Annapolis et le paradoxe irano-syrien La Syrie a annoncé dimanche sa participation à la réunion internationale sur le Proche-Orient qui se tiendra mardi à Annapolis, après avoir obtenu vendredi des Etats-Unis qu’y soit abordé son conflit territorial avec Israël sur le plateau du Golan. Israël a immédiatement salué la décision de Damas, estimant que la présence syrienne pourrait permettre de débloquer les relations bilatérales. La Turquie a également réagi, se disant « très satisfaite » de la participation syrienne à Annapolis. Mais les mollahs n’ont pas commenté la nouvelle. Irak : Statu quo dans l’offensive de charme américano-iranienne Très récemment les américains avaient insisté sur le rôle positif du régime des mollahs dans la baisse des attaques terroristes en Irak contre leurs troupes et les civils irakiens. Dans un article consacré à ce sujet, nous avions affirmé que cette baisse n’était pas due à une volonté des mollahs et que pour les américains, il s’agissait uniquement d’attribuer des bons points aux mollahs afin de reconnaître leur influence en Irak et sur la base de cette reconnaissance molle, d’entamer une nouvelle rencontre pour trouver une entente régionale ponctuelle. Moins d’une semaine après cette offensive de charme, les évènements confirment la justesse de notre analyse car ces mêmes américains débordants d’enthousiasme viennent de reconnaître l’implication d’une milice chiite soutenue par l’Iran dans un attentat qui a ensanglanté Bagdad vendredi dernier. Iran : La route de Bagdad passe par Annapolis Solana doit rencontrer le 30 novembre Saïd Jalili, le nouveau négociateur iranien pour le nucléaire. Le rendez-vous qui devait se tenir cette semaine a été retardé d’une semaine pour avoir lieu après la conférence internationale d’Annapolis où les représentants du régime des mollahs n’ont pas été conviés. Les mollahs entendent peser sur Annapolis afin de dicter leurs conditions à Solana : lier comme il se doit le règlement de la crise nucléaire à une reconnaissance de leur rôle d’arbitre du conflit Israélo-palestinien. Irak : L’Iran accepte une 4e discussion avec les américains - décodages Le régime des mollahs avait exigé une invitation directe des américains sans passer par l’intermédiaire de l’ambassade de suisse à Téhéran pour accepter de s’asseoir à la table des négociations en Irak en face des représentants américains. Nous y avions vu une demande de reconnaissance explicite de son rôle d’arbitre du conflit. Après un délai de réflexion, les américains avaient trouvé une solution ambiguë reconnaissant à demi le rôle de Téhéran et nous y avions vu une invitation non refusable. Deux jours après cette invitation implicite, Téhéran a accepté l’offre américaine sans rester (comme nous l’avions prévu) intransigeant sur le principe d’une invitation directe. Iran : La Turquie signe un accord avec les mollahs - Décodages La Turquie a signé mardi avec le régime des mollahs un accord pour des projets communs de production d’énergie en dépit des pressions américaines contre les investissements en Iran. Les turcs avaient jusque-là refusé les offres iraniennes en prétextant manquer d’ingénieurs pétroliers pour mener à bien les projets. | Décodages d’un retournement compréhensif | Irak : Les Etats-Unis lancent une invitation à l’Iran Très récemment, les mollahs avaient affirmé qu’ils accepteraient de rencontrer les représentants américains en Irak si les Etats-Unis le leur demandaient officiellement et directement. L’objectif des mollahs était évidemment que les américains reconnaissent officiellement le rôle régional de l’Iran. Cette demande est aussi impossible que les rencontres entre les deux camps sont indispensables pour les américains. Rappel de la situation et trouvaille américaine pour répondre à la demande des mollahs ! Iran - sanctions : Le bras de fer entre les Etats-Unis et la Chine Le rapport d’El Baradei qui traitait non pas de l’état des activités nucléaires iraniennes, mais de la qualité de la coopération entre les mollahs et l’AIEA a suscité des réactions très différentes. Téhéran a accueilli avec bonne humeur ce rapport qui lui a décerné des bons points, les mollahs ont même rebondi en réaffirmant qu’ils souhaitaient continuer cette bonne coopération qui semble satisfaire l’AIEA. Tour d’horizon des autres réactions. Iran : Unité de vue entre Bush et Merkel Les Etats-Unis et l’Allemagne pensent qu’il y a une solution diplomatique au différent nucléaire avec l’Iran même s’il faudra peut-être imposer de nouvelles sanctions internationales pour faire plier Téhéran. Selon Bush et Merkel, il faut attendre les résultats du rapport d’El Baradei avant de se prononcer. Iran-Pakistan : Un accord gazier qui en dit long ! Selon le régime des mollahs, l’Iran et le Pakistan ont concrétisé samedi la version définitive d’un accord sur la construction d’un gazoduc qui doit relier l’Iran à l’Inde (via le Pakistan). Or, l’Inde n’a pas vraiment d’autre choix que de refuser de signer un accord avec les mollahs car les américains s’y opposent. Cette annonce d’un accord avec l’intermédiaire pakistanais est à l’image des difficultés rencontrées par les mollahs pour commercialiser leur pétrole ou leur gaz. Iran et Pakistan : Des amis américains qui nous veulent du bien ! Ces derniers jours, tous ceux pour qui le régime des mollahs est une nécessité régionale, un facteur utile pour la suprématie des Etats-Unis au Moyen-Orient et en Asie Centrale ont pris la parole pour affirmer l’absolue nécessité de poursuivre le dialogue avec Téhéran. Les deux interventions les plus significatives ont été celle de Bush, l’actuel décideur n°1 des Etats-Unis, mais aussi celle de Brzezinski, le concepteur de cette politique de ré-islamisation de ces régions au prétexte de leur démocratisation. Iran : La Banque Mondiale joue avec les nerfs des mollahs Il y a quelques jours, Robert Zoellick, le Président de la Banque mondiale, ami du clan Bush, accordait un nouveau crédit de 900 millions de dollars aux mollahs en affirmant qu’il continuerait dans cette direction malgré les pressions du gouvernement américian. La même personne a suspendu 5,4 millions de dollars de versements prévus dans le cadre d’un des 9 précédents projets d’aide à l’Iran (d’un montant total de 770 millions de dollars). Iran, Sarkozy et Bush : une autre politique Le voyage de Nicolas Sarkozy a enthousiasmé les médias. Le président français a été ovationné par les sénateurs et représentants américains réunis au Capitole, pendant plusieurs minutes. Ses propos ont été même très proches de certaines déclarations de Bush à propos de l’Iran, mais pour nous leur entente sera difficile toujours à propos de l’Iran. | Décodages | Iran : Vers une reprise du dialogue entre les Etats-Unis et les mollahs L’armée américaine a annoncé mardi la libération prochaine de neuf ressortissants iraniens arrêtés au cours des derniers mois en Irak. par ces neufs, il y a deux miliciens de la brigade Qods arrêtés en janvier 2007 à Arbil et un troisième arrêté le 20 septembre Soulaimaniyeh, également au Kurdistan pour son rôle dans la fourniture d’armes à des rebelles irakiens. Cette décision marque une très probable reprise du dialogue entre les américains et les mollahs au sujet de la sécurité de l’Iran. La Banque mondiale accorde de nouveaux crédits à l’Iran Selon le quotidien New York Sun, malgré les pressions de Washington, pour imposer de nouvelles sanctions au régime des mollahs, la Banque mondiale a décidé d’accorder un nouveau crédit de 900 millions de dollars aux mollahs qui étouffent du manque de devises malgré de jolis résultats pétroliers qu’ils affichent. Iran : Un cadeau empoisonné qui arrive du Kurdistan Selon Osman Öcalan, le frère cadet d’Abdullah Öcalan, président du PKK, les cadres du PKK seraient récemment passés du côté iranien de la frontière pour se mettre à l’abri, dans les villages kurdes, de l’éventuelle invasion militaire turque. Osman Öcalan se dit dissident ou repenti du mouvement, on est donc prié de le croire. Iran - sanctions : Un consensus qui cache de terribles divergences Les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne ont convenu d’oeuvrer en faveur d’une troisième série de sanctions contre l’Iran. Cette déclaration cache une absence totale de consensus aussi bien au sujet de ces sanctions qu’au sujet des conditions nécessaires à leur adoption. Sondage : L’Iran est le trouillomètre américain ! Selon un sondage réalisé du 25 au 28 octobre dernier par Gallup sur un panel de 1.000 personnes, le régime des mollahs est la première menace pour la paix dans le monde. Iran : 30 sénateurs interdisent à Bush d’envisager l’option militaire Trente sénateurs américains, 29 démocrates dont Hillary Clinton et John Kerry et un indépendant [1], ont écrit jeudi au président Bush pour affirmer qu’il n’avait pas l’autorité pour lancer une intervention en Iran. Sur un ton très polémique, les signataires rappellent les derniers propos de Bush sur une troisième guerre mondiale et condamnent toute utilisation de rhétorique « provocatrice » avec les mollahs. ANALYSIS : BUSH KNOWS THAT IRAN IS NOT NORTH KOREA North Korea agreed earlier to disable its main nuclear reactor located in Yongbyon and provide a complete dismantlement of all nuclear activities by the end of the year under an accord hammered out in six-party talks. President George W. Bush on Wednesday held up North Korea as a possible model for resolving the Iranian nuclear crisis. Should we doubt about his mental health? Yes and No ! | Deciphering | Iran : Washington est de plus en plus isolé Quand en août dernier les américains avaient parlé pour la première fois des sanctions à l’encontre des Pasdaran, nous avions évoqué la difficulté de cette entreprise. Depuis, plusieurs pays européens se sont montrés hostiles à ces mesures et Washington peine à inciter ses partenaires à suivre son exemple. Le sous-secrétaire d’État américain Nicholas Burns était hier à Paris ; les propos qu’il a tenus sont révélateurs à plusieurs titres. Iran : Les américains envoient des messages préventifs aux mollahs Dans la même journée d’hier nous avons eu droit à deux informations américaines intéressantes pour le régime des mollahs. La première est que 52% des américains seraient favorables à des frappes contre l’Iran. La seconde information est l’assurance « formelle » de la Maison -Blanche qu’il n’y (aurait) pas lieu de craindre une prochaine attaque contre l’Iran, propos i>en décalage avec le sondage réalisé par l’institut Zogby. Iran : Les personnes ou les organismes sanctionnés par les Etats-Unis L’administration Bush a décidé d’inscrire sur la liste noire du Trésor américain plusieurs responsables des Pasdaran ainsi que des organismes financiers liés à cette milice qui gère aussi bien des affaires pétrolières que les marchés noirs des produits de luxe ou encore le terrorisme des mollahs au Liban, en Irak ou en Afghanistan. Iran : Washington impose de nouvelles sanctions unilatérales Après avoir accusé les mollahs d’actions malfaisantes et de volonté hégémonique au Liban, en Palestine, en Afghanistan et en Irak, Rice a hier soir annoncé l’inscription sur la liste noire du Trésor américain la Brigade internationale des Pasdaran (Sepah Qods), des trois principales banques du pays : Bank Saderate, Bank Melli, et Bank Mellat . L’Etat américain avait déjà imposé en novembre 2006 des sanctions contre les banques Saderate et Sepah, et aujourd’hui, il radicalise ces mesures. La Turquie met momentanément fin à la politique Kurde de Washington Le président irakien Jalal Talabani a indiqué au chef de la diplomatie turque Ali Babacan, en visite mardi à Bagdad, que les membres de l’organisation terroriste PKK réclamés par la Turquie pourraient lui être livrés. Le ministre turc a répondu en soulignant que « si cela se réalise il s’agira d’un premier pas positif » de la part de l’administration irakienne. Iran : Cheney menace les mollahs mais carresse les chiites - Décodages Régulièrement, les dépêches font état de déclarations pro-guerre proférées par le vice-président américain Dick Cheney. Ce dernier joue le rôle du méchant de service pour laisser planer le doute quant à une intervention américaine en Iran. Cette intervention est impossible car le Congrès s’y oppose mais Cheney continue à réalimenter les médias en présomptions guerrières. Iran – Etats-Unis : Le Bouclier et le yoyo Au lendemain du Sommet de la Caspienne à Téhéran, les Etats-Unis affirmaient qu’ils pourraient renoncer à leur projet de bouclier anti-missiles si l’Iran renonçait à ses activités balistiques et nucléaires. Dans l’analyse consacrée à cette déclaration nous affirmions qu’elle s’adressait non pas à Téhéran, qui ne l’a d’ailleurs pas commentée, mais à Moscou et à Poutine qui protègent le régime des mollahs. Cette affaire vient de connaître un rebondissement spectaculaire. Iran : Poutine revient à ses fondamentaux Au lendemain de la visite de Vladimir Poutine, George Bush avait fait part de ses relations privilégiées avec Moscou et ses convergences avec Poutine sur l‘Iran. Bush se disait impatient d’entendre le rapport que lui ferait son ami Vladimir sur ses entretiens avec les mollahs. Mais au lieu de lui faire un rapport comme un vulgaire coursier, Vladimir Poutine s’est attaqué frontalement à Bush et à sa diplomatie irakienne en des termes qui montrent une totale absence de convergence à propos de l’Iran, son régime et le rôle régional de ce dernier. Iran : Les contradictions militaires de l’administration Bush Les Etats-Unis pourraient renoncer à leur projet de bouclier antimissile en Europe si l’Iran suspendait son propre programme d’enrichissement de l’uranium, a indiqué Daniel Fried, le secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires européennes. Iran : Schwarzenegger souhaite bon voyage à Mahmoud ! Le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger, a signé dimanche une loi qui empêchera deux des fonds de pension américains les plus importants d’investir dans les entreprises qui auraient des intérêts en Iran. 0 | ... | 50 | 100 | 150 | 200 | 250 | 300 | 350 | 400 | 450 | ... | 500 [Retour à l'index des mots-clés] |