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Iran : La France chouchoute implicitement nos mollahs dans ses médias 

Armita Garavand serait morte hier après une longue agonie. Sa mort n’a révolté aucun pipole notamment ceux de la grande famille du cinéma français ou encore des politiciens woke qui ne cessent de l’ouvrir pour tout et pour rien. Pourtant l’agression subie par Armita et qui a provoqué sa mort est riche en détails qui font état de la vivacité de la révolution Iranienne anti-mollahs. C’est justement ce qui gêne la France et ses employés médiatiques, culturels et politiques. La chute des mollahs n’est pas une priorité pour la France et ses employés se taisent. 

En parallèle, les médias parlent bien certes de l’implication assumée des mollahs au côté dans les conflits larvés de la région. Evidemment il y a le conflit actuel qui oppose le Hamas et Israël, et on évoque les risques d’escalade et la puissance terroriste des mollahs, mais sans entrer dans les détails, car ceux-ci montrent une autre réalité que celle décrite  : la faiblesse et l’isolement régional des mollahs et encore leur vulnérabilité. Comme dans le cas d’Armita, il s’agit d’éviter un débat sur les possibilités infinies de renverser les mollahs. L’Occident ne veut pas leur chute, ils sont utiles à ses desseins. 


31.10.2023

Iran : L’opposition se prépare pour le grand soir

Il y a une semaine, après l’annonce de la "victoire de Biden" (ami des mollahs) [1], les Iraniens avaient annoncé une reprise forte de la contestation anti-régime pour profiter des derniers jours de présidence de Trump qui les soutient pour renverser le régime. Cela semblait bien engagé, mais depuis, les mollahs ont coupé l’accès à l’Internet et ont privé les opposants de coordonner leur mouvement. Tout n’est pas compromis pour autant.


21.11.2020

Iran : Avec ou sans embargo, de mal en pis

Les mollahs, ébranlés par des grèves ouvrières, la rupture de la majorité de leurs miliciens, les sanctions américaines ne parviennent pas à empêcher la fuite de leurs proches et l’effondrement de leur régime. Pour inverser ce mouvement, ils viennent d’annoncer des soutiens internationaux en raison de l’expiration de l’embargo onusien sur les ventes et achats d’armes malgré les efforts de Trump. Mais il n’y a eu aucun changement à leur isolement depuis cette expiration, leur situation s’est même empirée !


21.10.2020

Iran : Nouvelles Alliances contre les mollahs

Les mollahs sont en très grande difficulté, car ils ont perdu le soutien de leurs miliciens de base pour avoir volé leurs épargnes afin de résister aux sanctions de Trump au lieu de puiser dans leurs propres réserves en devises. Ces nouveaux opposants ont crié le nom de Pahlavi, le pire ennemi des mollahs qui est le choix du peuple pour son avenir. La situation des mollahs s’est dégradée en avril 2019 avec la fuite du chef de leur contre-espionnage Ali Nasiri aux États-Unis et l’émergence d’une cinquième d’officiers des renseignements. Cela a permis le soulèvement d’octobre 2019 et dernièrement les grèves demandées par Reza Pahlavi pour renverser le régime. Les proches du régime ont tenté de fuir. Les mollahs ont misé des pendaisons des proches et ont affaibli leur régime.

Les mollahs ont misé sur la déstabilisation de la région et ont perdu les Russes qui ont besoin d’un Moyen-Orient stable pour étendre son influence en Méditerranée.

Il y a une semaine, Trump a davantage affaibli les mollahs en sanctionnant leurs violations des droits de l’homme, en rétablissement des sanctions onusiennes d’avant l’accord nucléaire et en imposant la paix au Moyen-Orient. Les Européens, les Russes et les Chinois (P5-1) n’ont pas applaudi Trump en espérant monnayer leur adhésion.

Les mollahs ont alors fait appel aux adversaires démocrates de Trump. Ce choix a fâché leurs parrains historiques anglais qui ont révélé des liens bancaires passés entre les mollahs et les démocrates pour empêcher le deal. Les Russes ont aussi puni les mollahs en les menaçant militairement et en leur imposant un embargo bancaire (conforme aux attentes de Trump).

Les mollahs ont zappé les Russes (trop puissants) et ont incendié une grande usine liée aux Anglais pour les forcer à cesser leur sabotage. Ces derniers, mais aussi la France et l’Allemagne ont craint de nouveaux coups contre leurs agents et ont condamné les violations des droits de l’homme par les mollahs, mais ont aussi continué à les draguer en aidant leurs faux opposants. Les Iraniens ont rejeté ces gens et ont appelé à une plus forte mobilisation autour du prince Reza Pahlavi. Il a entendu leurs demandes et a posé un nouveau défi au régime. Récit de tous ces rebondissements et bien plus.


28.09.2020

Iran : Mort de Navid et ses conséquences

Récemment, grâce à l’action démocratique du prince Reza Pahlavi, seul nom acclamé lors des manifestations en Iran, les Kurdes ont rejoint la lutte contre le régime sans faire référence à leurs revendications séparatistes susceptibles de démotiver le reste des Iraniens. Cette adhésion a entraîné de nouvelles adhésions importantes à la lutte et la grève générale anti-régime. Les mollahs également gravement affaiblis par les prémices de la paix dans la région et la fin de leur pouvoir de nuisance ont constaté l’envie de rupture et de fuite de leurs proches. Ils ont accentué leur chantage terroriste pétrolier contre les adversaires internationaux. Ils ont aussi intensifié la pression psychologique sur les opposants iraniens et les partisans de rupture en menaçant d’exécuter le champion de lutte Navid Afkari, opposant à Chiraz, ville qui avait échappé au contrôle du régime pendant plusieurs jours lors des dernières manifestations. Le prince Reza Pahlavi a pu lancer une campagne internationale pour lui venir en aide et presque tous les pays ou organisations internationales sont intervenus en sa faveur. Mais samedi matin, tel un défi, le régime a annoncé l’avoir pendu pour affirmer son autorité. La nouvelle a provoqué une vague d’indignation en Iran et hors Iran ainsi que des appels et des réactions concrètes et fortes qui ont accentué la panique au sein du régime.


15.09.2020

Iran : Nouvelles preuves de la disparition du général milicien Hajizadeh

Il y a peu, en nous référant à une rumeur des officiers rebelles luttant contre le régime, nous avions affirmé que les mollahs avaient sacrifié le général milicien Hajizadeh, principal accusé dans le tir de 2 missiles sur un avion ukrainien, afin qu’il n’y ait aucun procès possible impliquant le régime dans ce crash. Les mollahs ont fait, mardi, état de sa présence lors de leurs dernières manœuvres navales et balistiques pour nier son sacrifice. Mais les photos du reportage sur la présence de Hajizadeh semblent être des montages photographiques et elles confirment plutôt son absence.


31.07.2020

Iran : Offensives et défaites secrètes des mollahs en Irak et au Liban !
+ nouveaux liens et de nouvelles vidéos sur les événements de dim. en Irak et sur les condamnés à mort d’Ispahan. (ajoutées le 30.07.20 à 10H00)

Les mollahs sont chaque jour ébranlé par des sabotages perpétués par des officiers de leurs renseignements, ceux-mêmes qui sont censés les protéger. C’est pourquoi au début de la semaine dernière, les mollahs ont joué la carte du chantage terroriste en Irak pour obtenir un couloir de fuite dans ce pays. Mais le PM irakien Kazemi a tenu bon et a contre-attaqué en arrêtant des membres du Hezbollah irakien. Les mollahs ont exporté des armes lourdes vers le Hezbollah Libanais et ont provoqué une chaîne de réactions négatives au Liban et en Syrie et aussi en Iran. Ils ont tenté de restaurer leur image par une manœuvres balistiques, mais suite à un sabotage, leurs missiles ont détruit leurs propres stocks de missiles sol-mer  ! Voici les derniers événements survenus depuis :de nouvelles initiatives ratées qui ont lourdement pénalisé les mollahs.


29.07.2020

Iran : Décryptage des boites noires du régime !

Sous la pression internationale, les mollahs viennent de livrer les boites noires de l’avion qu’ils avaient abattu en janvier dernier pour empêcher la fuite de nombreux proches nantis avec leurs magots. Mais les mollahs ne risquent rien, car en même temps, ils ont aussi tué le principal accusé de cette affaire, le général milicien Hajizadeh [2]. Récit & conséquences.


22.07.2020

Iran : 5 explosions à Téhéran

Il y a quelques heures, nous avions formé l’hypothèse d’une forte dissidence voire de rébellions au sein de la milice des Pasdaran. Des explosions dans plusieurs bases de la milice, uniquement possible grâce à des éléments hostiles au régime, confirment ces rébellions et la volonté des rebelles d’accélérer la chute du régime !


19.07.2020

Iran : Rébellions mortelles au sein du régime

Les Iraniens sont à nouveau descendus dans les rues jeudi dernier avec l’intention de continuer et virer les mollahs. Les membres de la milice ont marqué cette soirée par l’absence de charge contre les manifestants faisant état de leur soutien à la lutte contre les mollahs. Depuis, ces derniers ont coupé l’internet et affirment avoir pris le dessus par des vidéos diffusées malgré cette coupure ! Voici les images et un scoop faisant état d’un grand échec pour le régime !


19.07.2020

Iran : La semaine en images n°195

Au cours des semaines et des mois précédents, le régime a été confronté à un boycott permanent de toutes ses manifestations politiques, religieuses et sécuritaires par les Bazaris, les membres du clergé et surtout par les Pasdaran trentenaires et quadras qui doivent assurer la sécurité du régime sur le terrain. Le régime a été sans cesse désavoué.

Il est important de rappeler que la milice des Pasdaran a une structure partitionnée à l’image des organismes de renseignements : ses membres ne se connaissent pas d’un service à l’autre, ils ne peuvent pas créer une coalition hostile au régime, ils ne peuvent que le boycotter pour montrer leur mécontentement ou leur hostilité. On ne peut donc s’attendre à une action hostile au régime de leur part, mais une désobéissance militaire : comme pendant le soulèvement de l’été 2009, pour laisser le peuple renverser le régime. C’est pourquoi, le régime a pris très au sérieux ce boycott devenu permanent et a rapidement inventé une fausse rumeur de coup d’Etat utra-islamiste des Pasdaran pour diaboliser ces gens et empêcher leur rapprochement avec le peuple.

Mais pour les associés économiques du régime, qui sont issus des clans au pouvoir, le régime était condamné et en conséquence, ils devraient s’en désolidariser, vendre leurs biens pour acheter de l’or et des dollars avant de quitter le pays.

Sous l’effet de la vente de leurs biens, la bourse de Téhéran s’est effondrée et parallèlement, sous l’effet de leurs achats, l’or, le dollar puis d’autres devises étrangères comme l’euro, le dollar canadien, le Franc Suisse et même le Ringitt malaisien ont sans cesse augmenté. Les associés du régime vidaient littéralement ses réserves en devises, alors que, sous l’effet des sanctions, il ne peut plus signer de nouveau contrat pétrolier pour rester à flot.

Le régime a d’abord parlé d’une embellie de transactions boursières pour dissimuler la gravité de la situation et la crise de confiance chez ses associés, mais la focalisation des transactions sur l’or et le dollar en dehors de la bourse, dans les souks du Bazar et après chaque boycott n’avait rien d’une embellie jouissive. Cela résultait de la peur d’un effondrement et ne pouvait que déstabiliser tous les autres collaborateurs du régime en particulier les nervis de base ou les vétérans de la guerre qui ont été engagés comme fonctionnaires, mais qui ne sont pas assez riches pour envisager la fuite et doivent en conséquence, rester aux côtés du régime du moins presque jusqu’à la fin. La crise est devenue polymorphe.

Le régime est alors passé à l’offensive. Tout d’abord, il a mis en avant sa capacité de répression avec des annonces d’arrestations ou de pendaisons collectives pour rassurer tous ses associés qu’il pouvait sauver la situation en misant sur la terreur. Mais le manque de personnel pour réprimer un soulèvement rendait cette propagande superflue.

Le régime a alors inventé une fausse affaire de fraude bancaire et arrêté une quarantaine d’hommes d’affaires. Il a relié cette fraude à son scénario de coup d’Etat des Pasdaran pour insinuer qu’il pouvait pendre les « fraudeurs ». Cet avertissement a incité ses associés à accélérer leurs achats. Parallèlement, ce geste a déplu à ses collaborateurs de base (nervis, fonctionnaires, vétérans). Ils ont refusé de participer à une importante mise en scène sécuritaire destinée à intimider le peuple. Le régime a alors changé de direction : il a mis en veille l’affaire de la fraude, il a libéré la moitié des personnes arrêtées et à défaut d’intimider ses associés paniqués, il a diminué la distribution de l’or et du dollar aux revendeurs agréés pour geler la crise et ses pertes. Parallèlement, il a tenté de rassurer ses collaborateurs de base en parlant de grands rassemblements en faveur du Guide à Kermânchâh, région réputée hostile au régime.

L’annonce de nouvelles sanctions européenne affaiblissant davantage les ressource du pays a provoqué une nouvelle panique. Par ailleurs, le régime n’a pas pu apporter la preuve photographique de sa popularité en dehors de Téhéran. La demande de l’or et du dollar est devenue plus forte. En l’absence, de l’or et du dollar en quantité suffisante, les acheteurs se sont orientés vers la bourse de Téhéran pour acheter par avance des pièces d’or non encore émises et livrables dans 1 à 9 mois. L’or livrable dans 1 à 9 mois a augmenté en flèche. L’or livrable pour ce mois a entraîné la hausse du marché gelé par les soins de la banque centrale iranienne. Le régime a d’abord dissimulé à nouveau les infos avant de reconnaître les hausses et entraîner par cette reconnaissance tardive une nouvelle panique et de nouvelles hausses.

Dans cette ambiance électrique, la semaine dernière, les mollahs devaient célébrer la prise en otage de l’ambassade américaine, événement qui leur a permis de chasser du pouvoir les islamistes pro-américains et prendre leur place. Selon le programme, il y avait trois grands rassemblements officiels de jeunes collégiens, symboles de la relève et l’avenir du régime islamique révolutionnaire. Le régime craignait de nouveaux boycotts qui auraient confirmé ses problèmes. La situation a été pire que ce qu’il imaginait car il n’a pas même eu droit à la présence de ses collaborateurs de base (nervis, fonctionnaires, vétérans actifs) qui sont près de 5000 personnes à Téhéran : selon les photos, il n’y avait uniquement 350 personnes à Téhéran et une centaine de personnes à Tabriz !

Il était clair que cette semaine, les associés économiques du régime qui comptent sur cette base allaient être encore plus agités et qu’en conséquence, ils voudraient acheter plus provoquant une nouvelle crise polymorphe à la fois financière et politique.

Par ailleurs, le programme de la semaine était très chargé et fort pénalisant. A partir du dimanche jusqu’à lundi soir, le régime devait organiser de grands rassemblements religieux pour Eyd é Ghorban (fête de sacrifice des moutons). En raison de son incapacité à remplir les mosquées pendant le Ramadan, il ne pouvait pas espérer un succès et craignait que ces deux journées se soldent par des boycotts qui révèleraient la rupture de sa base.

Mardi, après ces deux journées difficiles, l’AIEA devait publier un nouveau rapport très salé laissant supposer des frappes ou de nouvelles sanctions bien pénalisantes…

Jeudi, en fin de semaine, le Guide et l’ensemble des commandants des Pasdaran qui ne commandent que les hauts officiers devaient assister à la parade de la fin d’études des jeunes officiers des Pasdaran. Ils craignaient un boycott très démoralisant. Ils avaient aussi peur d’aller à la rencontre de jeunes gens armés.

Le régime était donc dans une semaine très difficile dominé par la certitude d’échouer. Il a misé sur la propagande et la désinformation pour éviter les problèmes, mais il a collectionné les boycotts et des échecs économiques.

Voici les images qui nous montrent les boycotts qu’il redoutait. En réponse, le régime a reparlé de la fraude bancaire et de nouvelles arrestations tout en évoquant une embellie boursière pour expliquer la ruée vers le marché de la pièce livrable dans 3 à 9 mois. Ce sont des solutions qu’il a jadis utilisées et n’ont pas réussi à l’aider. Voici un nouveau rapport sur une nouvelle semaine de crise pour un régime de plus en plus isolé et de plus en plus brouillon.


14.11.2011

Iran-Jundallah : La gestion médiatique des attentats par les mollahs

Jeudi soir, le groupe armé Jundallah financé par les Etats-Unis a frappé les Pasdaran par un double attentat suicide contre une mosquée de la ville de Zahédan où ils se réunissaient pour prier. Quelques minutes après, dans un communiqué, le Jundallah a expliqué son geste tout en annonçant plus de 100 victimes, tous des miliciens. Téhéran a démenti. À l’heure de ce démenti, on ne pouvait pas se faire une idée de l’attentat car Téhéran ne diffusait pas ses images. Elles ont été finalement publiées vendredi à une heure assez tardive sur plusieurs sites. Elles sont les mêmes sur tous les sites d’info du régime, seules les signatures en bas à gauche changent. Elles correspondent à une version particulière. Selon Téhéran, aucun Pasdaran n’est mort jeudi soir à Zahédan, toutes les victimes seraient toutes des croyants locaux.


17.07.2010

Iran : Le retour de la punition américaine par le Jundallah

Le groupe islamo-sépératiste, le Jundallah, financé par Washington, a encore frappé les Pasdaran en visant une mosquée de la ville de Zahedan où ils se réunissaient pour prier. Selon le Jundallah, 2 bombes humaines se sont fait exploser à quelques minutes d’intervalles devant la porte d’entrée de l’établissement en faisant plus de 100 morts. Téhéran a parlé de 20 morts et 55 blessés pour minimiser la frappe. Il est cependant impossible de vérifier car le régime n’a diffusé aucune image d’ensemble du site frappé. En revanche, il a accusé Washington.


16.07.2010

Iran : Discrétion sur un assassinat humiliant

Il y a une semaine, le directeur de la section atomique de l’université de Téhéran a été tué dans l’explosion d’une bombe devant son domicile. Le régime a immédiatement accusé Washington. Il y a trois jours, le procureur du régime des mollahs dans la région iranienne frontalière de la Turquie a été abattu par balles devant son domicile et le groupe armé Pejak que Téhéran associe à Washington a revendiqué l’assassinat, mais le régime se garde d’accuser le Pejak ou Washington et attribue le coup à des usuriers organisés en bande jadis arrêtés par le procureur. Une explication s’impose.


21.01.2010

Iran : Mauvais deal au Baloutchistan !

Il y a un mois, le Jundallah, groupe armé financé par Washington, décimait l’Etat major des Pasdaran, milice chargée (selon sa charte) de la sécurité du régime. En guise d’apaisement et afin d’encourager Téhéran à reprendre le dialogue, Washington a poussé le Pakistan à annoncer la capture de trois suspects iraniens dans ce pays.


07.11.2009

Iran : La semaine en images n°88

Deux événements iraniens ont une large répercussion dans les médias occidentaux : l’attentat contre les Pasdaran et surtout les négociations à Vienne qui devait être la première étape de coopération des mollahs avec les Six conformément aux engagements pris par Téhéran pendant la reprise des négociations à Genève le 1er octobre 2009. Aucun des deux n’a eu de couverture photographique. Téhéran a censuré les images de l’attentat et les Six ont censuré les images des négociations notamment parce que les mollahs refusaient de parler aux autres (selon les aveux d’El Baradai). En revanche, la semaine était riche en images dérivées de ces évènements : l’exploitation par Téhéran de l’attentat pour accabler ses ennemis et montrer que le régime était encore debout, et la préparation du climat politique pour mettre en avant la contestation de la légitimité du président afin de contester l’accord que ses collaborateurs ont cédé à Vienne. (Vous pouvez cliquer puis zoomer sur certaines images pour les agrandir une ou deux fois)


25.10.2009

Iran : Washington frappe les Pasdaran via le Jundallah

Plus d’une trentaine de commandants des Pasdaran dont le vice commandant des forces terrestres de cette milice et 9 chefs tribaux ont trouvé la mort dans un attentat à l’explosif dans la région de Sistan et Baloutchistan. Le groupe armé du Jundallah dont les membres se réfugient régulièrement au Pakistan a revendiqué l’attentat. Téhéran a accusé les Etats-Unis.


19.10.2009

Iran : Washington strikes the Pasdaran via the Jundallah

More than 30 commanders of the Pasdaran, including the vice-commander of the ground forces of the militia and 9 tribal chiefs were killed in a terrorist bomb attack in the Sistan-Baluchistan region of Iran. The armed terrorist group Jundullah has claimed the attack. This group regularly carries out attacks in the region from the Pakistani border. Tehran has accused the United States of carrying out the attack.


19.10.2009

Iran : Le PEJAK reprend du service

Samedi dernier, les combattants du groupe terroriste Pejak financés par Washington avaient attaqué des postes frontaliers iraniens et tué 21 miliciens des Pasdaran chargés des frontières. En représailles, les hélicoptères iraniens ont bombardé trois villages kurdes du nord de l’Irak.


04.05.2009

Iran : La réponse secrète d’Obama au Guide de la Révolution

Obama a encore tendu la main aux mollahs et ces derniers l’ont envoyé promener. Comme d’habitude, le refus de Téhéran est puni par une sanction : cette fois, l’enlèvement d’un responsable des services secrets du régime par le groupe des séparatistes Baloutche du Jundallah, groupe armé financé par Washington.


24.03.2009

Iran : La bombe qui n’était pas dans la cuisine

Une explosion a détruit partiellement une mosquée chiite de la province du Sistan-Baluchestan, une région qui est le théâtre d’affrontements entre les Pasdaran et le Jundallah, un groupe armé sunnite financé par Washington. Téhéran affirme qu’il ne s’agissait pas d’un attentat mais d’un accident.


20.02.2009

Iran : Les mollahs cherchent à piéger Obama dans le dialogue

Depuis, hier date du 30e anniversaire de la révolution islamique, Téhéran se montre très actif et multiplie les déclarations en direction des Etats-Unis, déclarations en apparence contradictoires qui ne le sont en fait point.


13.02.2009

Iran : Des miliciens de Pasdaran tués en Irak

La semaine dernière un attentat suicide a fait 35 morts et 79 blessés devant un sanctuaire chiite du nord-ouest de Bagdad. Téhéran vient d’annoncer que les victimes iraniennes de cet attentat étaient en fait des membres des Pasdaran.


17.01.2009

Iran-Gaza : Un mouvement sunnite accuse les mollahs de trahir l’Islam

Le régime avait annoncé la capture de tous les chefs du groupe séparatiste baloutche de Jundallah qui est financé par Washington. Alors que le mouvement est réellement touché et son chef en fuite, il a réussi à porter un coup terrible au régime par un audacieux attentat au camion piégé dans la pure tradition du Hezbollah.


30.12.2008

Iran : Le régime n’a plus peur du Jundallah

Le commandant adjoint de la police, le milicien Bassidji Ahmad Reza Radan, a annoncé hier l’exécution par le Jundallah des seize policiers enlevés en juin dernier. Le problème est que le régime n’avait jamais reconnu cet enlèvement.


05.12.2008

Iran : Le Jundallah promet de tuer tous ses otages sans tarder

Le Jundallah, le mouvement séparatiste baloutche qui est financé par Washington, a encore tué deux de ses otages des Pasdaran (Hassan Safari & Ahmad Keyvan Lou). En tout, 10 des 16 otages ont ainsi péri.


11.08.2008

Iran : Le Jundallah tue encore, mais laisse un sursis aux mollahs

Le groupe armé sunnite iranien Jundallah (les soldats de Dieu) a affirmé avoir exécuté deux autres miliciens des Pasdaran parmi les 16 qu’il a pris en otage en juin ou les 4 autres pris en otage début juillet.


28.07.2008

Iran : Les mollahs négocieraient avec le Jundallah

Alors que le New-Yorker a évoqué un soutien actif de Washington à des groupes armés pour déstabiliser le régime des mollahs, ce dernier n’a pratiquement pas réagi à l’article. Ce mutisme est entre autre lié à la prise d’otages des 16 gardes-frontière iraniens par le groupe armé Jundallah.


04.07.2008

Iran : Le Jundallah pose un vrai problème aux mollahs

La semaine dernière, le Pakistan a remis aux mollahs 4 membres du groupe armé Jundallah dont Abdol Hamid, le frère cadet de Abdol-Malek Riggi, le chef du groupe. La région de Baloutchistan vit à l’heure des représailles et mesures punitives dont le dernier épisode est l’exécution par balles de deux gardes-frontière iraniens pris en otage par le Jundallah.


21.06.2008

Iran : Le Baloutchistan est en état d’effervescence

Le Baloutchistan est en état d’effervescence depuis le vendredi 13 juin, date de la restitution à l’Iran par le Pakistan du frère du chef du mouvement séparatiste local, le Jundollah qui a le soutien des américains. Tous les jours il y a des représailles de ce groupe armé contre les représentants locaux du régime et des répliques punitives du régime.


18.06.2008

Iran : Recrudescence des embuscades contre les Pasdaran

Depuis quelques semaines, les milices liées au PKK sont redevenues actives dans l’ouest de l’Iran et régulièrement elles tendent des embuscades aux gardiens de la révolution. Dernièrement, 4 pasdaran ont trouvé la mort dans une attaque et au total il y a eu plus de 16 morts de différents grades et même des commandants dont un tué par un tireur isolé alors qu’il quittait sa caserne.


03.06.2008

Iran : Morts suspectes de Pasdaran

Le PEJAK, un groupe armé kurde d’Iran connu pour ses actions terroristes, a revendiqué dimanche l’attaque contre un hélicoptère des Pasdaran.


28.02.2007

A propos des avions qui tombent en Iran

Le crash d’un avion des Pasdaran a fait hier à Téhéran une trentaine de mort. Cette catastrophe aérienne soulève plusieurs questions auxquelles il est difficile d’apporter une réponse précise. Ainsi à cette heure, comme dans les autres cas de crash d’avions en Iran, personne ne peut affirmer le nombre des victimes (il n’a cessé de varier)… Par ailleurs, on ne sait à quoi attribuer le nombre étrangement élevé des membres de l’équipage pour un si petit appareil. D’autres doutes persistent quant à la défaillance présumée de l’appareil et son âge.


28.11.2006

Un autre gradé des Pasdaran abattu

Un groupe armé a fait savoir par voie d’affiches à l’ensemble de la population du Baloutchistan iranien que le colonel Hamid Reza Kaveh Birjandi, responsable des gardiens de la révolution de la province a été arrêté par leurs soins et traduit devant un tribunal d’exception. Le tribunal en raison de ses crimes l’a condamné à mort et a mis à exécution la sentence.


07.05.2006

Acte de résistance : un Commandant des Pasdaran abattu en Iran

Un commandant des Pasdaran qui était responsable de la police de la vertu de la ville de Qom et qui était connu pour sa brutalité envers les femmes et les jeunes a été abattu par un appelé.


24.04.2006

Un homme pendu pour avoir tué un pasdaran [en 2006 : + 31]

Un jeune homme a été pendu dans la prison de la ville d’Ispahan. Il était accusé d’avoir tué un commandant de la police locale (le milicien Akbar Bayati) au cours d’une fusillade en août 2004.


20.04.2006

Un autre milicien des Pasdaran abattu dans l’Est de l’Iran

La chaîne satellitaire Al Arabiya a diffusé mardi soir une vidéo montrant un homme se présentant comme le chef d’un groupe sunnite iranien, donné pour mort la semaine dernière par des sources de sécurité iraniennes qui avaient affirmé l’avoir tué.


12.04.2006

La Guerre Sunnite-Chiite débarque en Iran

Le ministère de l’Intérieur du régime des mollahs avait affirmé le 4 Avril avoir éliminer physiquement les auteurs de la tuerie au cours de laquelle avaient péri une cinquantaine de hauts responsables nationaux et régionaux.


08.04.2006

Le régime des mollahs ne contrôle plus l’est du pays...

Le ministère de l’Intérieur du régime des mollahs avait affirmé le 4 Avril avoir éliminer physiquement les auteurs de la tuerie au cours de laquelle avaient péri une cinquantaine de hauts responsables nationaux et régionaux.


07.04.2006

Massacres des durs du régime par des mercenaires non identifiés

Vingt-deux responsables nationaux et régionaux iraniens ont été tués (7 autres gravement blessés) dans une embuscade dans la province du Sistan-Boutchistan dans le sud-est dans les premières heures de vendredi.


18.03.2006

Les mollahs ont-ils peur ?

Les pasdarans et les bassidjis viennent de faire des entraînements et des manœuvres en commun qui, selon les dires même d’un des responsables, consistait à s’entraîner à réagir à d’éventuelles manifestations de rues.


24.09.2005

Fusillade dans l’ouest de Téhéran

D’après les propos relatés par le journal pro gouvernemental Djamdjam, mardi 30 août vers 16 heures, des agents des Services Secrets après avoir été mis au courant que 3 hommes et 1 femme armés se cachaient dans une maison, ont tentés de procéder à leur arrestation. Mais des échanges de tirs ont eu lieu.


31.08.2005

Quatrième attaque de la semaine contre un représentant du régime des Mollahs

Un commandant des Gardiens de la Révolution attaché aux Services de Renseignements a été attaqué hier soir vers 22H.30 et laissé pour mort dans la rue. Mais l’homme aurait survécu à ses blessures en ayant été ramassé par une patrouille.


31.08.2005

Les juges de la République Islamique paient pour leurs crimes

Mohammad-Reza Aghazadeh, juge des Tribunaux Révolutionnaires, a été blessé à la joue droite par deux balles tirées à bout portant sous l’oeil droit. Le juge a été abattu quand il sortait de chez pour se rendre au tribunal.


28.08.2005

Un commandant des Pasdaran abattu

Les régions sunnites iraniennes comme le Kurdistan et le « Sistan & Balouchistan » sont une des cibles préférées de la discrimination religieuse en Iran. Depuis l’avènement de la République Islamique, le régime mène une répression impitoyable dans ces régions et répond à toute revendication sociale par la violence. Les manifestants sont qualifiés de « voyous », de « casseurs » ou de « rebelles ».


23.08.2005

Un colonel de l’armée de Qods assassiné à son domicile

Qods est le nom arabe de Jérusalem. L’armée de Qods est la section internationale des Gardiens de la Révolution dont la mission est définie comme « exporter la révolution islamique » vers d’autres pays musulmans et de soumettre Jérusalem à la loi islamique.


18.07.2005



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