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Iran : Des réponses nucléaires invérifiables ! Jeudi soir, la délégation de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et les officiels du régime des mollahs ont terminé à Téhéran leur dernier cycle de négociations à propos des centrifugeuses P1 et P2 qui seraient actuellement en activité sur le site de Natanz. Téhéran affirme avoir répondu à toutes les questions du directeur général adjoint de l’agence Olli Heinonen. Iran : La Russie soutient les manœuvres dilatoires de Téhéran Une équipe de l’AIEA est à Téhéran pour poser des questions sur l’achat par les mollahs de composants d’une variété de centrifugeuse très performante. Les premiers résultats de ce dialogue sont attendus pour la fin du mois d’octobre. C’est-à-dire dans un mois, alors qu’il suffirait aux mollahs d’autoriser des inspections à Natanz pour permettre à l’AIEA de se prononcer sur la nature du programme nucléaire iranien. Mais l’objectif des mollahs est de faire allonger les délais et leurs alliés les soutiennent dans ce sens. Iran : Etat des lieux de la crise nucléaire iranienne Ces derniers jours, on parle beaucoup de nouvelles sanctions et la France se retrouve en première ligne de l’offensive anti-mollahs, cependant, selon notre analyse, il n’y a non seulement pas eu d’avancée dans cette crise ou d’évolution vers une solution, mais au contraire la crise piétine et les différents acteurs de la crise ont fait un retour vers le passé. Iran : 4 initiatives pro-dialogue pour empêcher les sanctions</HTML> Comme en décembre 2006, à l’approche des nouvelles sanctions, le régime des mollahs esquisse des initiatives pro-dialogue. Mais il laisse entendre, par la voix des commentateurs politiques, que ces ouvertures pourraient se refermer si de nouvelles sanctions étaient adoptées. Iran : Quand Rafsandjani prône la diplomatie – décodage Pendant son sermon de la Prière de Vendredi à Téhéran, Rafsandjani, le patron du régime des mollahs, l’homme sous deux mandats d’arrêt international pour crime contre l’humanité, a estimé que l’Occident devait poursuivre par la voie diplomatique ses efforts visant à régler ses différends avec la république islamique d’Iran. Iran-Nucléaire : Rencontre à rallonge à Téhéran L’AIEA avait accepté l’invitation des mollahs pour envoyer une délégation à Téhéran afin de discuter avec les mollahs sur le calendrier d’une éventuelle reprise des négociations. Entre temps les communiqués de presse de la délégation ont changé de contenu : ils ne mentionnent plus « le calendrier » précédemment évoqué et parlent de discussions sur une plus grande transparence du programme nucléaire iranien ! Iran : Un grand pas, mais en arrière ! Le 20 juin dernier, nous avons analysé un article écrit par un ex-ambassadeur de France en Iran : François Nicoullaud. Ce dernier parlait de l’inefficacité des sanctions imposées à l’Iran, même si dans les faits l’ONU n’a imposé aucune sanction économique handicapante à l’Iran. Nicoullaud proposait de « mettre entre parenthèses, au moins pour un temps, nos pressions et nos menaces de sanctions » et de revenir à une gestion du dossier par l’AIEA. Entre temps, les mollahs ont évoqué un gel des sanctions et leur appel a été entendu. C’est désormais clair, Téhéran ne se contentera pas de cette demi-mesure et exigera plus. | Décodages Iran : A propos des arrestations des « émeutes de l’essence » Le régime des mollahs ne reconnaît pas le délit d’opinion et emprisonne les contestataires politiques avec les droits communs. Mais il fait régulièrement des exceptions quand il s’agit de médiatiser certaines affaires afin de promouvoir la carrière d’opposants officiels de certains personnages. C’est ainsi que Sazgara, le fondateur des Pasdaran, a été lavé de tout soupçon de collaboration avec le régime et a pu infiltrer l’opposition en exil. Iran : Le nucléaire, vers un apaisement monnayé ? Une équipe d’experts dirigée par le directeur adjoint de l’AIEA, Olli Heinonen, doit se rendre à Téhéran du 11 au 13 juillet. C’est pourquoi, le régime des mollahs estime que le Conseil de Sécurité ne devrait pas adopter une nouvelle résolution avec de nouvelles sanctions pendant cette période qu’il qualifie de « reprise des négociations ». Iran : L’AIEA et le Conseil de Sécurité traînent des pieds Le régime des mollahs avait proposé un nouveau round de négociations et une nouvelle forme de coopération avec l’AIEA et ce presque un mois après la fin du délai accordé par le Conseil de Sécurité. L’AIEA avait accepté et le Conseil de Sécurité n’avait pas protesté offrant ainsi un délai supplémentaire aux mollahs. Les deux partis se sont alors engagés à mettre en place de nouvelles inspections dans les centres atomiques du régime. Iran : L’AIEA retourne en Iran Larijani avait invité l’AIEA à envoyer une équipe à Téhéran pour développer un plan d’action afin de résoudre les questions en suspens liées au programme nucléaire passé des mollahs. Une équipe de l’AIEA se rendra sous peu en Iran. Iran : Nouvelles sanctions ou nouvelles négociations ? Le régime des mollahs et l’Union européenne ont repris samedi à Lisbonne leurs discussions, 30 jours après la fin du délai de 2 mois que le Conseil de Sécurité avait accordé aux mollahs pour régulariser la situation. En tout cela fait 4 ans que les mollahs et les Européens se retrouvent régulièrement sans avancer d’un iota et tout en déclarant vouloir tenter une dernière fois d’éviter une aggravation de la crise. Iran : Des progrès, des progrès et des pourparlers constructifs ! Javad Vaeedi, adjoint d’Ali Larijani le négociateur iranien pour le nucléaire, et Robert Cooper, collaborateur de Javier Solana, ont eu des discussions à propos du programme nucléaire des mollahs. Il n’y a eu aucun progrès mais l’UE affirme que ces pourparlers ont été « constructifs ». Iran : Le G8 n’a pas avancé Les pays du G8 ont menacé vendredi de prendre de « nouvelles mesures » à l’encontre du régime des mollahs si Téhéran continuait à refuser de suspendre l’enrichissement d’uranium comme le lui demande la communauté internationale. Iran : Pourquoi Téhéran refuse la proposition Suisse Le principal négociateur de Téhéran dans le dossier du nucléaire iranien a repoussé une proposition suisse de sortie de la crise entre l’Iran et les Occidentaux. L’excuse avancée frise la mauvaise foi pure. Iran-nucléaire : L’Europe contre l’Europe Ali Larijani, le négociateur en chef des mollahs sur le dossier du nucléaire, rencontrait hier et le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier mardi à Berlin. Leur rencontre s’est achevée sans progrès concrets, selon Berlin. Iran : Notable changement diplomatique du côté Français Ces derniers jours, Ali Larijani, le représentant des mollahs devait rencontrer à Madrid, Javier Solana, le Haut représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère et de sécurité commune. Les déclarations qui ont précédé cette rencontre et les conclusions post-rencontre de Solana, nous ont mis sur une piste inédite. Iran : Ahmadinejad plaît-il au Quai d’Orsay ? Ahmadinejad, l’ex-milicien qui achevait les prisonniers agonisants, a exclu jeudi de suspendre le programme nucléaire iranien. Nous vous rappelons que cet homme n’est pas l’instance décisionnaire selon la constitution de la république Islamique de l’Iran et si le régime l’utilise aujourd’hui, c’est bien parce qu’il fait peur. Le régime des mollahs veut vous intimider. Iran - Nucléaire : Les Russes et les Américains à égalité Le chef de l’Agence fédérale russe de l’énergie atomique (Rosatom) Sergueï Kirienko a dénoncé une nouvelle fois des paiements insuffisants de la part de Téhéran qui contribuent, selon lui, à freiner la construction de la centrale iranienne de Bouchehr. La Russie avait conclu avec l’Iran un accord sur la construction de la centrale de Bouchehr en 1995, et le projet devait être livré en 1999 ! Iran-UE : Echec à Ankara Le représentant du régime des mollahs Larijani et le Haut représentant de la diplomatie européenne Javier Solana se sont rencontrés pendant deux jours à Ankara pour trouver un terrain d’entente sur l’ouverture des négociations sur le dossier nucléaire iranien et finalement, ils ne sont même pas parvenus à produire un communiqué commun ! Iran : Ahmadinejad et le feuilleton médiatico-nucléaire de l’été Ahmadinejad, ex-assassin élu président par la volonté de Rafsandjani, est devenu par la même occasion celui qui permet au régime de réalimenter la machine des polémiques. L’utilité de ce personnage est de créer des situations où d’autres pourront jouer le rôle de modérés, et à l’issue de cette mise en scène surmédiatisée, prétendre qu’il existe en Iran une certaine forme de démocratie à la sauce mollah. Iran-Europe : Rencontre en Turquie Solana, représentant de l’UE pour la politique étrangère, rencontrera mercredi à Ankara Larijani, le négociateur du régime des mollahs pour parler du programme nucléaire iranien. et ce alors que la république islamique a réaffirmé qu’elle n’avait pas l’intention de cesser ses activités nucléaires. Iran : Manœuvres militaires, manœuvres de diversion et manœuvres dilatoires Actuellement, la guerre d’information et de désinformation bat son plein et le régime des mollahs et ses alliés exploitent toute situation propice à la création de rumeurs. L’Internet est devenu le média par excellence de cette diffusion de rumeurs et parfois la presse écrite se laisse avoir. On a vu un cas exemplaire avec le Rapport Stern qui présageait l’effondrement de l’exploitation pétrolière en Iran et justifiait, à demi-mots, le programme nucléaire des mollahs. Dans le cas de Stern, tout était faux, voici un autre cas où il y a un fond de vérité mais exploité à la sauce de la désinformation. Iran : La Russie a fait échec aux Etats-Unis et à L’Europe Comme dans les cas précédents des autres résolutions onusiennes concernant le nucléaire iranien, le régime des mollahs a qualifié la résolution 1747 d’inacceptable et d’illégale tout en affirmant sa volonté de poursuivre son programme d’enrichissement d’uranium et son refus de toute concession. On revient donc 90 jours en arrière... L’Iran prêt à offrir des « garanties » sans suspendre l’enrichissement Le régime sinistre des mollahs s’est dit prêt mardi à garantir que son programme nucléaire ne sera pas détourné à des fins militaires, si ce dossier quitte la table du Conseil de sécurité de l’ONU. Cette demande qui cherche à briser le processus engagé et ramener le dossier dans une nouvelle série de négociations stériles a été proposée aujourd’hui par le ministre des affaires étrangères devant la Conférence du désarmement de l’ONU à Genève. Iran : Nouveaux doubles manoeuvres dilatoires Le régime des mollahs insiste pour que son « dossier nucléaire » soit examiné par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et non pas au Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies, a déclaré lundi le ministre iranien des Affaires étrangères, Manoucher Mottaki. L’Iran demande l’arrêt de toutes les centrales nucléaires du monde ! A la veille de la date butoir fixée par le Conseil de Sécurité, Ahmadinejad a déclaré que l’Iran était favorable à des négociations sur ses programmes nucléaires mais il a exclu toute condition préalable comme le gel de ses activités d’enrichissement d’uranium. C’était prévisible et ceci ne risque pas d’évoluer car pour l’actuel régime en Iran, l’enrichissement nucléaire est un atout dans son jeu de chantage et il est exclu d’y renoncer. Iran : Mission Impossible pour Larijani Le secrétaire du Conseil supérieur de sécurité nationale de l’Iran, Ali Larijani, le barbu rouquin qui a une tête de pirate, a été dépêché à Munich dans l’espoir de s’entretenir avec des responsables Européens et éventuellement des Américains. Il l’a reconnu lui-même par inadvertance au cours d’une séance de QR avant qu’il ne quitte Téhéran pour Munich où aura lieu la 43e Conférence internationale sur la Sécurité. L’Iran et la valse des centrifugeuses La situation nucléaire en Iran paraît confuse aux agences de presse internationales car ces dernières négligent continuellement la principale caractéristique de la crise nucléaire iranienne : pour le régime des mollahs, la crise nucléaire est moins un objectif qu’un moyen efficace pour contraindre les Américains à négocier avec eux. L’objectif est de négocier avec l’hyper puissance en vue d’obtenir des « Garanties de Sécurité » pour le régime dans sa totalité (la république islamique + le Hezbollah). Iran : Au risque d’être ennuyeux… Le régime des mollahs continue d’insister sur son droit à continuer ses activités nucléaires contre vents et marées. Au risque d’être ennuyeux, nous insistons sur le fait que le but de ces déclarations déraisonnables est d’amplifier la crise pour susciter une peur panique d’une nouvelle guerre. Une peur panique qui forcerait le Conseil de Sécurité à suivre le conseil des ex-membres de la troïka pour organiser une conférence internationale avec la participation des mollahs. Iran-Nucléaire : La logique des propos iraniens Le 4 janvier, l’Iran affirmait ne pas rompre complètement sa coopération avec l’AIEA [1]. Le 5, le régime des mollahs affirmait que l’Iran pourrait se retirer du TNP [2] et le même jour, l’auteur de la première déclaration, Aghahzadeh, réaffirmait que son pays n’envisageait pas de rompre ses relations avec l’AIEA [3] Iran : le Bis est à la mode ! Cette semaine, le régime des mollahs vit des heures de panique et d’improvisation. Surpris par une adoption impensable d’une résolution à leur encontre, les dirigeants du régime réagissent souvent en répétant d’anciens propos. Nous avons vu un exemple avec Rafsandjani et les autres ont également fait pareil, nous avons donc eu hier les 3 bis : Ahmadinejad Bis (avec sa « claque historique », un réchauffé d’un slogan de Khomeiny 03.01.2007 L’Iran infléchirait sa position sur le nucléaire : décodages Actuellement le régime des mollahs s’illustre de manière expressive en multipliant des prises de contacts internationaux afin de démontrer qu’il compte encore de nombreux alliés. Ainsi a-t-on vu à Téhéran défiler des représentants Irakiens, Algériens, ou encore du Zimbabwe, chacun repartant vers son chez soi les bras chargés de bonnes promesses des mollahs. Iran-Irak : La Grande-Bretagne s’allie aux démocrates Le 1er ministre britannique, Tony Blair, a déclaré qu’il incitera l’administration américaine à entamer des discussions avec l’Iran et la Syrie dans le but de surmonter l’impasse en Irak. Blair lancera cet appel lors d’une vidéo conférence qui aura lieu mardi avec le panel présidé par l’ancien secrétaire d’Etat James Baker. Iran : Le régime des mollahs se rassure Ahmadinejad a appelé Vladimir Poutine. C’est ce que l’on a appris par un bref communiqué du Kremlin. Au cours de l’entretien, Poutine a rassuré son inimitable ami que selon Moscou, les négociations sans fin étaient la seule voie possible pour résoudre la crise nucléaire iranienne. Iran : Week-end chargé pour les mollahs « L’Iran veut à terme enrichir de l’uranium à grande échelle », a indiqué le négociateur en chef iranien dans le dossier du nucléaire, Ali Larijani, au magazine allemand Focus [5] qui est paru ce lundi. La ronde schizophrène Iran-Europe Désormais nous rentrons dans une phase schizophrénique incompréhensible en Europe car les mollahs font des pieds et des mains pour demander de nouvelles négociations avant de fermer la porte et refuser tout compromis. Pourquoi l’Iran propose-t-il une trêve de 90 jours ? Samedi, Jacques Chirac et Vladimir Poutine [6] étaient entièrement d’accord sur l’Iran et à peine trois jours après, leurs ministres des affaires étrangères se contredisent. Dans le docu-fiction de France 2, Douste-Blazy parlait de fermeté, d’un délai de quelques semaines, d’hypothèse de la coercition et d’une nouvelle dynamique au Conseil de Sécurité en cas de refus iranien. Quelques heures après depuis la Cité des Anges (Los Angeles), son homologue russe se déclarait catégoriquement hostile aux ultimatums pour résoudre les problèmes du Proche-Orient et de l’Iran. La France imite l’Iran Les mollahs refusent avec véhémence la clause de la suspension de l’enrichissement. Ce refus est délibéré et leur objectif est d’amplifier la crise afin de pousser les Américains à accepter un compromis à la fois nucléaire mais aussi concernant le rôle régional de l’Iran. ElBaradeï défend les intérêts économiques et sécuritaires de l’Iran Le directeur de l’AIEA, Mohamed ElBaradeï, a profité de la 50e conférence générale annuelle de l’AIEA pour appeler à l’ouverture de négociations avec l’Iran sur son programme nucléaire ! L’Iran résiste au Conseil de Sécurité La rencontre entre Solana et Larijani qui devait avoir lieu aujourd’hui à Paris a été annulée sine die. Du côté de Solana, on continue de dire que les deux hommes doivent se rencontrer alors qu’au même moment, il était annoncé que le G6 (P5+1) allait examiner les mesures à prendre contre la république islamique d’Iran dans le cadre du Conseil de Sécurité de l’ONU. 11 septembre : L'Iran sème la zizanie Larijani, principal négociateur iranien dans la crise sur le nucléaire, a proposé que l’Iran suspende pendant deux mois ses activités d’enrichissement d’uranium. | Décodages | Nucléaire : L'Iran a repris l'initiative des provocations Le régime des mollahs a de nouveau pris l’initiative des « négociations » car rappelons le, le délai qui lui a été accordé depuis un mois n’a pas encore pris fin, officiellement. Chacun a su et a écrit que la guerre du Liban, qui opposait le Hezbollah à Israël, était commandée par les mollahs pour créer une diversion sur le dossier nucléaire. Au premier jour de ce conflit nous avons écrit qu’il ne s’agissait pas d’une diversion mais d’une volonté permanente d’amplifier la crise. Iran : du 22 au 31 août, la semaine des processions Au cours d’une étonnante déclaration, Peter Mac Kay, le ministre canadien des Affaires Étrangères, s’est dit convaincu que Téhéran était responsable des actions du Hezbollah au Liban durant cet été. Que vaut la dernière offre de l’Iran ? Le 16 Août, la Chine a prié l’Iran de répondre favorablement à l’offre des six Etats visant le règlement du problème nucléaire : le 17, le régime des mollahs s’est dit prêt à négocier sur tous les éléments de l’offre, qui inclut la suspension de l’enrichissement. Pourquoi l’Iran n’accepte aucune condition préalable? Les mollahs refusent de suspendre tout enrichissement d’uranium préalablement aux négociations avec les grandes puissances, même s’ils veulent poursuivre ces négociations : Larijani estime l’offre des grandes puissances «globalement» «acceptable». Mais selon lui, la condition même de suspension préalable de tout enrichissement d’uranium doit faire l’objet de négociations ! L’Iran explique ses motifs (défense de vous moquer) Le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a déclaré samedi que l’Iran refusait toute date limite pour répondre à l’offre des grandes puissances à propos de son dossier nucléaire, a rapporté l’agence officielle Irna. Il a qualifié cette condition d’illogique. Iran nucléaire : Enfin de la Transparence du côté iranien ! Extraordinaire suite de déclarations abracadabrantes qui nous rappellent les riches épisodes de l’été 2005, quand le régime des mollahs avait fermé la porte des négociations aux Européens. A suivi alors une année d’indécision occidentale, de complaisance Russe, de mutisme attentiste chinois et de provocations verbales ou diplomatiques du côté des mollahs. Iran nucléaire : Les leçons de Shanghaï Comme nous l’avions prévu dans l’article qui traitait de l’annulation de la visite de Larijani en Europe, il y avait un lien de cause à effet entre cette annulation annoncée le 14 juin et le voyage de Ahmadinejad à Shanghai le 15 juin [7]. Nous avions effectivement vu juste : le régime des mollahs voulait se concerter avec ses alliés du moment : la Chine et la Russie. Iran : Poutine sur la corde raide Vladimir Poutine affiche son amitié à l’égard de la république des mollahs d’une manière trop ostentatoire pour n’y voir que la marque d’une sympathie sincère entre deux états voisins. En réalité chacun utilise l’autre comme un atout dans sa politique « américaine ». 0 | 50 | 100 [Retour à l'index des mots-clés] |