Moscou a proposé d’effectuer pour le compte de Téhéran la phase finale du processus d’enrichissement de l’uranium afin d’éviter tout risque de détournement.

Mattéi a également présenté l’hypothèse d’un recours de l’AIEA auprès du Conseil de Sécurité comme une « option » possible, mais pas une « menace ».

« Ce n’est pas une menace, c’est une option qui existe. Il s’agit simplement de l’éventualité d’un rapport au Conseil de sécurité des Nations unies », a-t-il dit.

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