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Grippe Aviaire : Les bons poulets d’Erdogan !
18.10.2005

Les Gardiens de la Révolution importent de nombreux produits en Iran. Les cas les plus connus de ces activités commerciales étaient jusque-là l’importation de produits interdits par le régime comme par exemple du rouge à lèvres ou des paraboles. Les produits étaient alors vendus sur le marché noir, confisqués puis revendus. Les barbus en treillis viennent de faire très fort en achetant discrètement du poulet contaminé turque.



Le péril était déjà en Iran et là, les barbus semblent décidés à tout faire pour l’accroître. Non seulement ils jouent avec la santé des Iraniens mais encore par voie induite avec celle du reste du monde !

Et la Turquie trop pressée de se débarrasser d’une cargaison invendable ailleurs se frotte les mains de pouvoir tout écouler en Iran grâce aux barbus.

Selon nos sources, les volailles turques à destination du marché iranien seraient exportées vivantes ou abattues en fonction des tonnages. On ne rappellera pas ici encore combien les oiseaux vivants sont susceptibles de contaminer les volatiles en Iran mais aussi les hommes.

La commission européenne a annoncé que suite aux examens menés dans des laboratoires de Londres, le virus découvert, sur les volailles turques, est potentiellement mutagène et que donc le risque de le voir se propager à l’homme est des plus élevé. Ce virus a déjà tué en Asie au moins une centaine de personnes d’après les chiffres « officiellement » transmis.


Virus Mutagène - Une équipe de chercheurs a identifié une souche du virus H5N1 de la grippe aviaire résistante au « Tamiflu », le principal médicament antiviral stocké à travers le monde en prévision d’une éventuelle pandémie, a rapporté vendredi la revue scientifique britannique Nature.

Cette souche a été isolée, en février 2005, chez une adolescente de 14 ans au Vietnam, qui aurait pu être contaminée par son frère et non pas par des oiseaux infectés. Cette jeune Vietnamienne qui a survécu fait partie des trois cas où une éventuelle contamination interhumaine a été suspectée par les épidémiologistes.

Le décodage du génome de cette souche particulière du virus H5N1 a montré qu’elle avait subi une mutation la rendant résistante à l’antiviral Tamiflu qui est jugé par les experts comme susceptible de réduire la gravité et la durée des symptômes.