Le lundi 12 juillet, 3 détenus non identifiés ont été pendus dans la prison centrale d’Arak.

Le mardi 14 juillet, une femme a été pendue dans la cour de la prison des femmes de la ville de Ghazvine, une ville très agitée en juin dernier.

Le mardi 21 juillet, deux jeunes prisonniers – Ismaël, 23 ans et Moslem, 25 ans – ont été pendus à la prison centrale d’Ispahan, a rapporté le quotidien Etemad.

Le même jour, quatre détenus (Reza, Gholam-Hossein, Javad et Hossein) ont été pendus dans la prison centrale de Qom.

Le mercredi 22 juillet, Edris 21 ans et condamné pour le viol et le meurtre d’une adolescente de 15 ans, Mohammad-Reza d’âge inconnu, Hossein 45 ans et Nasser 35 ans pendus à Ispahan.

Le même jour, un certain Mahmoud Mahmoudpour a été pendu dans la prison centrale de Naghadeh dans la province d’Azerbaïdjan occidentale. La publication de l’identité de la victime évoque une condamnation de nature politique.

Le samedi 25 juillet, le régime a exécuté deux autres prisonniers politiques baloutches de la mouvance Jundallah : Ayoub Riggi et Massoud Gomchadzeh. 13 autres membres du Jundallah ont récemment été pendus et le régime garde en réserve le frère cadet du chef du groupe et menace régulièrement de la pendre.

Le mercredi 29 juillet, un homme et une femme, condamnés pour meurtre, ont été pendus à Chiraz.

Ces pendaisons portent à au moins 215 le nombre des personnes exécutées en Iran depuis le 1er janvier 2009 (soit 30,7 par mois). En 2008, à la même date, le bilan était de 169 pendaisons.

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Pour en savoir + :
 Iran : La génération Khomeiny meurt à 28 ans
 (6 mai 2009)