Quand les mollahs avaient pris le pouvoir en Iran, ils avaient déjà des complices en France du côté de l’UDF ; le parti socialiste avait dépêché en Iran un certain Lionel Jospin, ami des Moudjahiddines du peuple, pour nouer des contacts avec les révolutionnaires barbus.

En 2006, dans un entretien au journal Sud-Ouest, Jospin revenait sur son idée fixe : « Il serait souhaitable de nouer avec l’Iran, puissance régionale, une discussion globale, sur le nucléaire bien sûr, mais aussi sur le pétrole, la situation en Irak, au Liban… Il faut aider l’Iran à redevenir un interlocuteur de la politique internationale, sans manifester pour autant la moindre indulgence envers certains propos inacceptables de son président actuel. »

C’est donc très naturellement que les mollahs ont invité Jospin chez eux au moment où ils comptent faire miroiter un retour au pouvoir de Khatami, afin de trouver des alliés en faveur de leur maintien au pouvoir. On parle de ces mollahs qui ont dépénalisé la pédophilie et plongé l’Iran depuis 29 ans dans les ténèbres.

Après avoir assisté sans broncher à une conférence sur le rôle positif des mollahs dans la promotion de la tolérance religieuse, Lionel Jospin, le Père la Vertu du Parti Socialiste, celui qui reprochait son manque de vertu à Mitterrand et devient toute chose en présence d’un Le Pen, est allé à Yazd, ville natale de Khatami, pour rendre hommage à ce mollah qui détient le sinistre record du nombre des lapidations dans ce régime !

Le même mollah, dans une conférence à Washington, a soutenu sans sourciller la nécessité de la peine de mort pour les sodomites ! Sous sa présidence, on a coupé des bras, des pieds, arraché les yeux de quelques prisonniers, violé une journaliste avant de l’achever à coups de pied. Jospin a bien mangé et bien ri.

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