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Le revêtement d’un bâtiment furtif se fait avec de la peinture très spéciale, très technique avec des conditions de température et d’hygrométrie très précises : on ne peut peindre qu’à l’abri d’un hangar ou sous un cocon pour éviter les écarts de température et surtout la rosée de la nuit. Mais d’après les photos, la peinture est faite en plein air et avec des feuilles de papier journal pour protéger les différentes teintes, ce qui ne se fait pas en matière militaire !

Par ailleurs, un patrouilleur furtif doit être long et étroit pour fendre les vagues et aller vite (en ligne droite) en restant stable pour pouvoir tirer. Or, ces coques sont larges comme un yacht de loisir et comme on le voit sur la photo (ci-dessous), il lui faut déjauger pour avancer ou tourner rapidement.

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Toujours concernant l’aspect visuel : il ne peut jamais y avoir de grands hublots sur un patrouilleur furtif. Ces modèles sont aveugles (voir photo en fin d’article). Ces précisions supplémentaires confirment le premier diagnostic que nous avions déjà publié : ces Patrouilleurs Furtifs sont de petits yachts d’occasion avec des coques en plastique polyester (voir explications).

Selon notre spécialiste, ces photos sont intéressantes en ce sens qu’elles montrent que ces Pasdaran que l’on prétend à la pointe des techniques militaires ou balistiques ne maîtrisent rien en matière militaire au point qu’ils ont été incapables de déceler les erreurs visuelles de leur projet furtif.

En revanche, notre spécialiste s’est montré très impressionné par la qualité de réalisation des enrochements surdimensionnés (ci-dessous) visibles en arrière plan (vestiges de l’époque du Chah).

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