Le site gouvernemental Roozna, dans un article sur le sujet, estime à 30 litres seconde, la quantité d’eaux usées qui se déverse vers le sud de façon permanente et en entraînant régulièrement des catastrophes, des pollutions et des gênes pour les habitants.

De surcroît ces eaux sales se dirigent encore plus au sud en direction de terres agricoles qui se retrouvent souillées elles aussi. Interrogé sur le sujet, le responsable du système des égouts de la ville a annoncé qu’un grand projet était à l’étude et que les habitants de la capitale iranienne en bénéficieraient (dans le meilleur des cas d’ici à 20 ans...). À ce sujet, il a admis que sur les 10,000 kilomètres d’égouts qui auraient dus être posés au cours des 16 dernières années, seul 2000 l’avaient été.

Une chose est certaine, c’est que dans le budget de l’an passé de la capitale iranienne, pas un rial n’a été prévu pour les égouts et certains des membres du conseil municipal (y compris de la majorité) s’en sont émus et ont demandé si d’ici un siècle Téhéran aurait enfin des égouts à sa mesure. Ceci alors que certaines habitations du sud de Téhéran voient leurs fondations déjà légères à la base, sérieusement menacées par un torrent d’eaux putrides. Mais il est vrai qu’avant de s’occuper des égouts de Téhéran, le régime iranien a parlé de financer celui de la bande de Gaza...

Comprendra qui pourra, car ces chers palestiniens qui prennent nos sous et se forment chez nous (au terrorisme), en dilapidant notre budget, n’hésitent pas à scander « Mort aux Iraniens » [1] pour rendre hommage à Saddam ! Ils ont vraiment besoin d’égouts !

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