Ainsi la république islamique d’Ahmadinejad se retrouve détentrice d’un record du monde, un record que ce dernier se gardera bien de proclamer alors même qu’il ne cesse de dire à toutes et à tous qu’il est le premier dans tous les domaines.

Chaque année, 27000 personnes perdent la vie dans des accidents de la circulation en Iran et près d’1/4 de million sont blessés plus ou moins grièvement. Même le directeur du service des routes et communications à Téhéran a admis le chiffre de 72 tués par jour. Le régime des mollahs est bien conscient du problème, mais ne semble pas prêt à prendre des mesures nécessaires pour améliorer l’infrastructure routière du pays ou bien encore à contrôler l’état des véhicules. En effet, dans ce pays, du fait d’une économie désastreuse et d’une hyper-taxation des véhicules importés on se retrouve avec un parc automobile très âgé et vétuste sans pour autant être très nombreux, ce qui du même coup rend ses chiffres encore plus dramatiques.

Des sommes qui seraient là encore utilement employées pour le bien-être et la sécurité des Iraniens sont octroyés aux organisations terroristes palestiniennes ou aux centres islamiques dans le monde, la vie des iraniens étant sans nul doute de peu d’importance au yeux des responsables de ce régime. Ce que la Banque Mondiale ne dit pas mais qui a choqué bon nombre de nos compatriotes sont les 2 milliards de $ qu’Ahmadinejad a trouvé pour faire une autoroute, celle de Djamkaran vers le cimetière dans la perspective de la venue du « mahdi ». Pendant que les Iraniens se tuent sur les routes leur gouvernement fait une autoroute pour les morts !

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