Il y a des rumeurs selon lesquelles il pourrait y avoir un accord évitant à l’Iran d’être renvoyé devant le Conseil de Sécurité. El Baradei, le directeur de l’AIEA, s’est dit optimiste sur les chances de parvenir à un accord pour éviter un recours au Conseil de Sécurité.

Les courtiers auraient pu craindre que l’Iran ait recours à l’arme pétrolière en cas de sanctions de l’Onu, c’est-à-dire à une suspension de ses exportations de pétrole pour créer une pénurie passagère sur le marché. Cependant cette crainte ne crée pas de psychose car l’OPEP a dit clairement qu’elle ne réduirait pas sa production.

L’OPEP réunit ses membres mercredi 8 mars à Vienne, c’est-à-dire le jour même de l’examen du dossier nucléaire iranien par l’AIEA. Le pays le plus influent du cartel, Arabie saoudite, s’est prononcé lundi pour un maintien de la production de l’organisation, jugeant inappropriée une baisse dans un contexte de vives tensions internationales.

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