Le ministre iranien signataire de cet accord, Poor-Mohamadi, est lui même sous le coup de graves inculpations pour atteinte aux droits de l’Homme, aurait pu être arrêté par la police grecque... mais contrairement à ceux que nous pouvions attendre de la patrie initiatrice de la démocratie dès l’antiquité, il n’en a rien été.

Poor-Mohamadi est allé à Athènes et malgré tout le sang sur ses mains, il a eu droit au tapis (rouge). Peut être que les pays dits démocrates ont oublié que la démocratie dans la bouche d’un islamiste n’a pas le sens commun du mot, mais signifie seulement liberté obligé pour les autres à se soumettre aux lois édictées au nom d’une religion.

Poor-Mohamadi a déclaré que maintenant tous les Iraniens, qui quittent illégalement l’Iran et que les Grecs rendront, feront l’objet de poursuites en Iran.

Immigrant économique fuyant l’enfer iranien ou opposant politique ou religieux s’exilant par tous les moyens, s’évadant du paradis de la justice islamique, tous seront punis avec sévérité, avec cruauté et sans discrimination.

Nous en profitons aussi pour rappeler que les poursuites dites judiciaires des opposants au régime islamique de Téhéran se solde très souvent par la mort de ces mêmes opposants. De nombreux opposants sont condamnés à la peine capitale et exécutés après avoir été inculpés pour toutes sortes de délits car la « République Islamique » ne reconnaît pas l’existence des prisonniers politiques.

Et qu’ils ne nous parlent pas de lutte contre le terrorisme alors que c’est justement le Gouvernement du régime des mollahs qui fournit aux terroristes islamiques les passeports et autres documents leur permettant de passer les frontières sans être inquiétés.